Tout était allé un peu trop vite pour moi. Je ne suivais pas tout. Maïté m’avait embrassé, puis elle et Nicky avaient fait de même…. Heu… Très bien mes petites chéries. Elles voulaient me rendre dingue non de dieu. J’étais un fervent adepte des plans à trois, enfin plus précisément de moi avec deux filles. C’était mon petit plaisir personnel qui m’intéressait, pas celui de mes proies féminines. Lui, j’en avais strictement rien à foutre. Bref, la Nicky avait posé sa main sur mon caleçon, on peut dire qu’elle ne perdait pas de temps, et j’aimais ça. Je n’étais pas un romantique qui tourne autour du pot pendant des heures. On savait très bien ce que je voulais lorsque je sortais avec une fille. J’avais ma petite réputation non de dieu. Oui je n’étais pas le genre de mec à attendre 6 mois avant d’enfin pouvoir m’envoyer en l’air avec l’élu de ma bite. Je n’avais pas tord lorsque j’avais dis que Nicky était jalouse. Je n’avais jamais tord à vrai dire mais ça c’est une autre histoire. Elle dépoila entièrement la petite Maïté, franchement je crois que j’aimais vraiment bien la meilleure amie de ma copine. Elle savait comment faire plaisir à un footballeur, je n’étais pas quaterback pour rien. Elle me fit un suçon et je ne répondais plus de moi-même. Chacune d’un côté, qui choisir J’avais deux splendides spécimens de la gente masculine à mes côtés mais je n’avais pas deux bites. A la rigueur faire un doigter à l’une mais… ce n’étais pas mon kif. En tout cas qu’elles n’espèrent pas un cunit, là elles pouvaient toujours rêver.

Bon plouf plouf. Je prenais Nicky. Excuse-moi Maïté, mais je connaissais la brune depuis maintenant 5 ans et elle était très influente dans le lycée, et surtout auprès de Lydia. Troisième personne la plus populaire, ce n’était pas rien. Je la tenais fermement, désoler Maïté mais je suis occupé avec ta copine. Tu auras droit à ton heure de gloire plus tard, en se moment c’est Nicky qui m’intéresse. Ce que j’aimais chez cette fille ? Ses beaux yeux verts, ensorcelant. Son corps de déesse et surtout l’expérience qu’elle avait au pieu. J’avais entendu des choses très flatteuses sur elle de la part de des footballeurs à qui elle avait fait l’honneur d’offrir un moment très intime. C’est justement pourquoi il me la fallait, je voulais l’épingler à mon tableau de chasse, un très beau trophée. Et la honte pour le quaterback s’il n’arrivait même pas à mettre une fille que presque tout les membres de son équipe avaient baissés dans son lit. Mais maintenant c’était presque fait, de toute manière il était trop tard pour faire marche arrière. Lydia ne m’en voudrai pas, Nicky était son amie. Sa meilleure amie même. J’étais d’ailleurs presque sur que pour me faire plaisir elle serait capable de dire oui à un plan à trois. Oh oui ma chère petite, la fête chez moi allait finalement être LE moment idéal.

Tout en faisant jouer ce que je métrisai le mieux, je m’occupai de la belle Nicky. J’étais une bête de sexe, les filles revenaient toujours en redemander un coup après que je sois passé dans leur lit. L’avantage que prodigue la pratique. Je m’entrainais depuis tellement longtemps maintenant. Depuis la 5ème je n’étais plus puceau, grand bien m’en face. Alors Nicky prête à hurler ? Je n’étais pas comme tous les losers, je ne donnai pas des coups de hanche au hasard. Une véritable bête, je n’étais pas doux, loin de là. Désoler Nicky mais une fille comme toi, sa m’excite et c’est dangereux d’exciter Mathieu Alaric.

J’attrapai donc la jeune femme et la collai contre moi. L’une de mes mains se posa sur l’un de ses seins et je l’embrassai tendrement.

-Je vais m’occuper de toi ma belle, l’eau ne me dérange pas pour faire ce que je veux.

Je l’embrassai une fois de plus, et ma langue glissa dans son cou. Je lui défis son haut de maillot et mordilla l’un de ses tétons. J’avais une super paire de seins devant moi. Nicky avait vraiment la classe. Je la collais contre le mur, me glissant entre ses jambes. J’étais heureux comme un roi. J’avais ce que je voulais ! Et je ne me retenais plus. C’était un pur moment d’éclate, dans l’eau en plus. J’aimais bien ! J’avais déjà fait ça bien sur, mais pas avec une fille comme Nicky. Lydia, je ne lui avais jamais demandé et Kate ne voulait pas, c’était la seule chose qu’elle me refusait. Je savais pas pourquoi d’ailleurs. Je n’en avais pas fini avec Nicky, je n’étais pas quelqu’un de précoce, je prenais mon temps. La fille devait atteindre le 7ème ciel, c’était mieux avec le son. Pour moi l’amour c’était comme un match de foot, il faut les commentaires pour que sa vaille vraiment le coup. J’en avais rien à foutre du plaisir de ma partenaire, mais j’aimais qu’elle grimpe au rideau grâce à moi, unique raison qui me faisait durer plus longtemps. Mais pendant que je m’occupai de la belle Nicky je ne voyais pas ce que faisait Maïté. J’étais de dos moi. Chaud, elle pouvait préparer quoi derrière la jolie jeune femme ? Elle était à poil, pas oublier. Mais j’étais concentré sur ma proie actuelle, on s’occupera de l’autre biche plus tard. Ma respiration se fit plus rauque pendant que j’embrassai langoureusement le cou de Nicky, ma langue se perdit sur sa poitrine avant de remonter jusqu’à ses lèvres. Un seul mot… splendide.

Nicky était contente que je m’occupe de sa copine et elle aussi. Ca se voyait et surtout s’entendait. Elle prenait son pied et moi aussi. Maïté était un bon coup, mais j’étais sur qu’à côté de Nicky elle n’était rien. Juste une entrée avant le plat de résistance. Cinq minutes plus tard, Nicky revient chercher Maïté pour lui dire que c’était l’heure. Un dernier baiser plus tard et elles étaient partis. J’étais maintenant seul. Bon que faire ? Rester dans l’eau ? Je commençai à avoir froid moi. Je sortis, récupérant la serviette que m’avait laissé et la nouais autour de ma taille après m’être essuyé vite fait les cheveux. Je séchai vite, surtout que j’avais chaud (enfin j’étais chaud) après ce qu’il s’était passé. Cette soirée était prometteuse, c’est moi qui vous le dis. Deux pour le prix d’une, j’étais fière comme un paon. Je rentrai chez Nicky, qu’est ce que je pouvais faire ? Je me serai bien bu un verre moi. Mais je n’allais pas fouiller dans le bar de Nicky pour récupérer une bouteille. J’avais un minimum d’éducation. Je regardai les photos de Nicky enfant, son père à côté Elle était déjà belle enfant. Trop mignon. Sa mère était bonne non de dieu. Je me la ferai bien celle la. J’avais déjà tronché les mères de mes sexes friends ou de mes potes. Ils ne m’en veulent pas, de toute façon ils ne peuvent pas se le permettre. J’avais une brusque envie de fumer en se moment. Et oui, après l’amour le réconfort de la petite clope tant aimée. Mais je savais très bien que ma nuit était loin d’être finie. Cette nuit, j’allais remercier mon endurance hors du commun. Nicky n’avait pas l’air d’être le genre de fille à être satisfaite d’une simple baise. Non, il lui en faudrait sans aucuns doutes beaucoup plus. J’allais même je pense devoir faire quelque chose que je n’aimais pas du tout. Mais pour la calmer j’allais devoir le faire. Elle pourrait vraiment être heureuse, je ne faisai ça à aucunes meufs, ou alors vraiment à quelques rares femelles. Je ne sais même pas si Lydia avait eu droit au cunit… Mais je la sentais très bien partie à finir comme ça cette nuit. Mais je n’allais pas m’en plaindre ! Loin de là. J’entendis Nicky arriver deux secondes avant qu’elle ne me pousse sur le canapé. Mmmmmh, chaulasse va !

Je cherchai ses lèvres mais ne les trouvais pas, elle ne voulait pas. Tant pis, j’avais l’imprétion qu’elle avait d’autre idée en tête. Couché sur le canapé du salon, Nicky chevauchant mon corps d’étalon, je n’attendais qu’une chose, qu’elle passe à l’acte. Ce soir, elle avait envie de dominer, je le voyais très bien. Et bien qu’elle domine, qu’elle face ce qu’elle veut de moi, je suis tout à ses ordres. Elle vira sa serviette, bien, elle était nue et j’aimais ça. Toujours aussi chaud que tout à l’heure, Nicky devait très bien le sentir que je n’étais pas dans mon état normal. Elle pourrait dire merci à celle qui m’a fait découvrir le sexe en 5ème. Ta meilleure amie a fait de moi un véritable dieu bébé. Elle embrassait mon torse, laissant sa langue lécher ce corps pour lequel des filles seraient prête à mourir. Elle frottait son corps contre le mien, mon dieu Nicky tu me rends DINGUE !



-Oh Mathieu ! Hum..tu m'excites ! Grrr !


Putain pourquoi tu me dis ça maintenant ?! Tu me rends fou Nicky ! Elle m’embrassait dans le cou, je ne pus empêcher à un petit gémissement grave de s’échapper de mes lèvres, j’étais chaud comme la braise ! Et dire que j’avais encore ma serviette sur les hanches. Elle tenait pars l’opération du saint esprit et Nicky remédia très rapidement à cela pour s’attaquer à la partie de moi qu’elle voulait. Et ce qu’elle fit était un rêve. L’une des meilleures pipes de ma vie. ! Nicky Stewart j’ai l’honneur du vous annoncez que vous avez atteint la deuxième place des filles préférées dans le lit de Mathieu Alaric ! Putain ! Je prenais mon pied ! J’aime ce que tu fais Nicky, tu le fais si bien ! Je posai ma main sur sa tête, la prenant parfaitement en main, suivant le mouvement qu’avait mit en place la belle. J’étais heureux comme un roi ! Je poussai des gémissements rauques avant de dire à Nicky :


-J’aime ce que tu me fais Nicky, continue ton jeu petite salope !


Je lui claquai le cul de ma main gauche, l’autre toujours posée sur ses cheveux. Toi ma cocote, tu vas morfler ce soir ! C’est une bête que tu as déclenchée petite pute ! Tu vas comprendre à quel point c’est dangereux même si je sais que tu en seras totalement heureuse ! Heureusement que je n’étais pas précoce, les trois quart des gens que je connaissais auraient déjà vidangé la pompe. Mais je n’étais pas les trois quart des gens, j’étais unique en mon genre. Je fixai Nicky de mes splendides prunelles bleues, ne voyant pas son visage d’ange. Dés qu’elle eu fini, je ne perdis pas une seconde. Attrapant ses hanches, je la retournai brusquement, presque violement et la pris sur le canapé. Tu vas hurler ma salope ! Tu vas crier je te le jure.

Nicky était bonne ! Je ne pouvais dire le contraire. Cette petite chienne était à mes pieds ! Dominée, à la juste place d’une femme. Mais elle était parfaite. Oui les femmes sont faites pour cirer les chaussures mais aussi pour assouvir les passions de leurs hommes. Pour ma par, j’étais excité comme un étalon. Elle commençait à jouir suite à mon talent. J’en avais, oh ça oui. Les mecs m’avaient dit qu’elle jouissait difficilement mais au final ce n’était pas si difficile. Ou alors c’était que j’étais vraiment doué, ce qui était sur.


-Continue mon cochon ! J'en veux encore !

Je ne pus m’empêcher de sourire. Pourtant elle avait l’air d’en avoir marre de cette position et décida de changer. Très bien miss Stewart. Elle m’embrassa en passant, mmmmh, j’aime ça petite salope ! Elle se mit à quatre patte. Oh god ! Le rêve ! Je posai mes mains sur ses hanches et la prit violement. Une véritable chienne ! Mon petit toutou parfait ! J’aime ça Nicky je ne le dirai jamais assez ! Tu vaux toutes les filles de ce lycée. Finalement tu es presque aussi bien que Lydia. Vous vous valez mes chéries. Mes petites princesses, mes animaux sauvages. Je m’amusai énormément. Le cul de Nicky était un domaine passionnant. Je claquai ses fesses une fois de plus et lui dis en me mordant la lèvre inférieure :


-Tu vas jouir salope, je te le dis ! Tu vas comprendre qui je suis !


J’étais de plus en plus brulant. L’une de mes mains se posa sous son corps, attrapant l’un de ses seins que je caressai. Mon autre main se posa sur ses parties intimes, je jouai avec pendant que les miennes étaient collées à ses fesses. Je m’occupai très bien de toi ma belle pas vrai ?! Tu vas crier ! Crier comme tu ne l’as jamais fait ! Lydia ne t’a pas dit que les meilleurs de ses orgasmes elle les avait eu avec moi ? Vous devez bien parler de moi lorsque vous êtes entre fille non ? Mais là j’avais autre chose à penser ! J’avais un corps de princesse entre mes mains habilles, j’allais pas laisser passer ma chance. Mais je peux te dire quelque chose Nicky, ce n’était pas la dernière fois que l’on couchait ensemble. Dans la journée mais aussi dans le futur.

Nicky me rendait tout simplement fou. Je pouvais tout faire avec elle, rien ne la choquait ! Je jouais plusieurs minutes avec son cul et lorsque j’eu fini, Nicky se tourna et m’embrassa. Je lui rendis un baiser goulu, j’en voulais plus, toujours plus. J’étais très endurant, le sport de chambre était celui que je métrisai le plus. Les mains de la belle brune se glissèrent sur mes parties intimes, oh que oui elle allait recommencer ce qu’elle avait si bien fait tout à l’heure. Non elle se contenta de jouer avec l’humidité de mes parties. Elle était sensuelle, sexy et surtout féminine. Tout ce que j’aime ! Ses lèvres se posèrent sur mon cou, j’étais bien passif ce soir. Je voulais la prendre, encore et encore jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Mais avec Nicky, je savais qu’elle n’agiterait pas le drapeau blanc de sitôt. Oh mes amis vous aviez raison ! Cette fille est mieux que tout ! Mieux que la drogue, mieux que l’alcool, mieux que la clope ! Elle posait ses lèvres sur mon sexe, une fois de plus, nettoyant les dégâts. Pousse l’exploration un peu plus loin salope ! Tu vas pas t’arrêter en si bon chemin ! Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille et m’embrassa sensuellement, baiser que je lui rendis au centuple. Tu as affaire à un dieu Nicky. Les dieux ne se fatiguent pas, ils peuvent tuer en assouvissant leur besoin primaire, tuer de fatigue. Je ne me fatiguerai pas Nicky, j’ai très bien dressé ce qui fait de moi un homme.


Nicky se leva, m’entrainant à sa suite. Où voulait-elle aller ? Il était très bien son canapé ! Elle m’attira sur le sol du salon, mmmh, bestiale. Je me laissai faire, de toute façon si je n’en avais pas eu envie Nicky n’aurait pas fait ce qu’elle voulait. Ce que nous voulions. Elle aimait autant que moi le sexe, une véritable populaire ! J’aimais ça, au que oui ! Elle m’embrassai langoureusement, un baiser que j’aimais. Je lui rendis et écoutai ses paroles d’une oreille distraite.

-Prêt à recommencer mais si tu te sens pas à tenir la route, retire toi et on fait autre chose !

Elle me prend pour qui ? Un puceau de basse catégorie ? Un loser ? Il est vrai je pense que déjà quelque footballeur auraient lâché prise, c’était sportif avec miss Stewart. Mais j’étais le quaterback mes amis. Le roi des rocs. Je tenais la route. Elle posait ses mains sur mon torse musclé, ses mains fines typiquement féminines. J’en voulais plus, on fera la douceur plus tard. Je déposai mes lèvres sur les siennes, glissant ma langue dans sa bouche. Stoppant le baiser, je lui susurrai :



-Tu sais à qui tu as affaire beauté ? Tu me prend pour un puceau de bas étage ?


Je lui fis un magnifique sourire avant de laisser mes lèvres glisser le long de son cou puis de son ventre en un millier de baiser. Les filles aimaient ça. Je remontai ma langue jusqu’à son visage suivant la ligne tracée par son ventre. Puis je posai mes mains autour de son visage sur le sol et me postai sur elle, évitant de l’écraser quand même Je l’embrassai et la pris une nouvelle fois. J’étais toujours aussi sauvage que tout à l’heure, un lion et une lionne qui réinventaient des mouvements plus vieux que le monde sur le sol du salon de la propriété des Stewart. J’étais violent je sais mais Nicky ne cherchait pas la douceur. Je l’embrassai tout en donnant des coups qui allaient l’envoyer au 7ème ciel. Tu vas aimer le paysage là haut, je te jure, tout ceux qui y sont allé rêve d’y retourner, surtout en ma compagnie. Mon dos commençait à se couvrir de sueur, sexy, en plus je ne puai pas, je connaissais le parfum moi. Mes yeux bleus brillaient d’une flamme que rien ne pouvait éteindre. Au Nicky, je te jure que tu vas toujours les étoiles ! Ma salope tu vas gémir !

Nicky se laissait faire entre mes bras. J’étais parfait, je savais qu’elle allait aimer.


-Hum...je voulais pas dire ça mais quand tu seras fatigué, je te montrerais les meilleures choses que je peux faire avec ma bouche t'as l'heure c'était qu'un avant-goût.

Mmmh, tentant. Mais j’avais envie de finir ce que je faisais avant qu’elle ne me montre l’étendue de ses nombreux talents. Cette fille était parfaite, simplement parfaite. J’accélérai au fur et à mesure de mes mouvements de hanches. Je veux que tu cris ma salope, tu cris sous mes actions de dieu. Avant de me faire gémir c’est toi qui va hurler. On se sent puissant lors de ses moments en tant que mec. Lorsque le corps qu’on avait entre les cuisses se tordait de plaisir, on était le maitre du monde. On sentait tellement…. Important ! J’étais important, j’étais le roi de Milwaukee. J’étais fils d’une des familles fondatrices. Nicky commençait à suer sous mes coups répétitifs et tellement parfait. Je l’embrassai sauvagement et lui mordillai l’oreille. Je pouvais faire quoi d’autre. Je finis ce que je faisais si bien, et une fois que j’eus pris mon pied, je me retirai de Nicky et lui demanda :


-On fiat quoi maintenant ma belle ? Tu veux le refait ?



Je voulais bien, je n’étais pas fatigué mais commençait à ce faire tard. Et j’avais faim moi. Pis j’allais pas me nourrir du minou de la belle brune, j’avais besoin de protéine, j’étais un sportif. Et puis, c’était sportif de baiser. La preuve, les deux abdos du bas, il n’y avait qu’un seul moyen de les avoir, coucher souvent. Je souris à Nicky, me redressais. Ca devenait urgent, j’avais besoin de fumer. La faim était l’un des premiers symptômes, mes mains n’allaient pas tarder à trembler. J’étais en manque. Je me levai, abandonnant Nicky.


-Désoler poulette, mais faut que je fume.


Je savais pas si je pouvais fumer à l’intérieur alors je récupérai mon paquet de cigarette et ma serviette que je nouais autour de ma taille. J’allais pas sortir nu sur la terrasse non plus. Après avoir mis la clope dans ma bouche je l’allumai et tirais une latte. Non de dieu sa fait un de ses bien ! Je finis ma clope et la balançai loin de moi d’une pichenette. Je retournai vers la Nicky, mon ventre poussa un gémissement. Oh ta gueule, j’ai d’autre envie pour ce soir. On manera plus tard, j’avais pas bouffer depuis midi, il était loin le burger. Je retrouvai Nicky dans le salon. Elle devait surement se remettre de ses émotions. J’aurai bien aimé la trouver aux fourneaux, je trouvais ça sexy une meuf qui cuisine et en plus c’était utile. Mais bon elle ne cuisinait pas. Je l’attrapai par la taille et l’embrassai tendrement, je sais je faisais jamais ça normalement. C’était rare, elle pouvait être contente. Je la plaquai contre le mur, elle était encore nue. La soulevant et me posant entre ses cuisses, je l’embrassai. Et je la pris, encore une fois, faisant fis des préliminaires. Et voilà ma belle, contre le mur. On avait pas fait ça encore pas vrai ma salope !

-Oh , oui Mathieu ! Donne tout ce que t'as ! Fais rugir la bête sauvage ! Grrr !

Nicky était chaude comme la braise, faut dire que je la travaillai en profondeur si vous me permettez le jeu de mot. Elle mordilla et lécha mon oreille, oh my gosh, juste bon ! J’étais dangereux ce soir, pas un petit puceau de basse catégorie. Le grand Mathieu Alaric est dans la place, le danger est arrivé par le même avion que lui. Que moi, j’allais pas me mettre à parler de moi à la troisième personne, j’étais pas encore cinglé ! Elle passa sa main dans mes cheveux, je sais qu’ils ont la classe Nicky. Etre blond avait la classe, un vrai petit arien. Nicky respirai de plus en plus fort, il est vrai que je n’y allais pas en douceur mais excepter avec Lydia je ne pouvais jamais y aller à fond. Nicky était une rare exception, j’en profitai vous croyez quoi ? J’étais puissant, je métrisai parfaitement ce qui était devenu un art. L’art de foutre le plus de nom au tableau de chasse et de faire jouir le plus vite possible sa partenaire. Une sorte de concours entre footballeur. Oui nous avions des jeux stupides mais en même temps vu l’intellect des joueurs de foot du lycée, il ne fallait pas chercher plus loin. Leur QI frolait le zéro absolu, une valeur négative. J’étais l’un des rares à avoir un peu de cervelle et notre dernière recru n’était pas plus intelligente que la moyenne. Pfuuu, mon équipe me désespérait. Pas étonnant que nous ne gagnions plus aucuns matchs depuis quelques temps. Les cheerleaders commençaient même à se foutre de notre gueule, elle qui ne connaissaient pas la défaite. Je l’embrassai, et une fois que j’eus fini mon ventre poussa un sérieux gémissement. J’éclatai de rire et lâchais Nicky. Un petit sourire charmeur sur les lèvres, je lui demandai :

-Désoler ma belle mais t’aurai pas un truc à manger ? Je crève la dalle. J’ai du sport staprem moi, entrainement oblige.

Il continuait puis lorsque son ventre gargouilla , il se stoppa.Il avait faim, ah le pauvre.Si j'avais su , j'aurais foutu un truc dans le four ou j'aurais commandé ! Il me lâchait et se mit à rire.Je souris simplement.Il me demandait un truc à manger.Hum..je ne savais pas ce qu'il aimait ni ce qui lui faisait envie.N'étant pas une grosse mangeuse, je n'avais pas faim.Je le regardais puis lui demandais à mon tour :

-Dis moi ce qui te ferait envie et je me débrouille pour le faire mais tu aurais dû me le dire, que t'avais grave faim ! Je me serais occupée de toi, avant !

Je n'étais pas une pro en cuisine et j'aimais pas vraiment faire la cuisine mais bon, j'allais faire une exception.Je me voyais mal sortir des plats tout faits juste à passer au micro-ondes.Ce n'était pas mon genre puis je crois que mes parents n'achetaient jamais ce genre de choses.Ils investissaient plutôt dans de la bouffe de qualité ! On n'était pas bourge pour rien ! Bon quoi qu'était sa réponse, on cuisinait pas dans le salon !

Je prenais sa main ? C'était pas affectueux mais je n'allais pas le prendre par le torse ni par les burnes, sa c'était à éviter tout de même.J'espérais qu'il n'allait pas me faire de commentaires.Je ramassais nos serviettes , en tendant une à Mathieu puis entourant mon corps de la mienne.Je l'entraînais avec moi dans la cuisine.Je le laissais s'installer puis j'en profitais pour aller chercher de quoi se saouler un peu la gueule ! Quelques bonnes bouteilles que je déposais sur la table.Je sortis deux grands verres et posais mon derrière sur la table, à côté de tout.J'attrapais son visage d'où j'étais et déposais juste un baiser, plutôt court mais c'était le but.

Je redescendais et allais préparer ce qu'il m'avait demandé.Le problème des tabliers, c'était que y'avait celui que ma mère se servait tout le temps et bon, je ne sais pas combien de fois il avait été retiré par mon père et qu'il s'étaient amusés sur cette table.Alors, j'allais éviter de prendre celui-là.Je prenais le premier qui suivait celui-ci.J'allais l'enfiler mais m'arrêtais brusquement parce que avec la serviette s'était pas le top.Je virais ma serviette, de toute façon , ça n'apportais que du bonus.Le tablier étant tenu de juste une ficelle dans le dos, on voyait tout mon postérieur puis sa allait permettre à Mathieu de s'occuper un peu pendant que je préparais ce qu'il voulait bouffer.Pour éviter l'ennuie, je posais une première question :

-Sinon, Mathieu parle moi un peu plus de toi ! Plus que ce que je connais déjà !

Les mecs aimaient aussi qu'on s'intéresse à leur vie et dans son cas , ça ne pouvait pas lui déplaire.Etant une personne fière de lui, le fait de parler encore plus de lui, ça pouvait que lui faire plaisir, mon but.C'était aussi histoire de pas foutre un blanc énorme entre nous et ça allait me permettre d'en apprendre un peu plus sur lui.Peut etre que sa me serait utile plus tard et même si ca ne l'était pas, ça permettrait de nous rapprocher plus que de simples sex friends,devenir amis.Après tout, il avait peut-être un grand coeur au fond.Je n'étais pas moi non plus, quelqu'un de superficielle.J'avais un coeur , je méprisais pas tout le monde.Il y avait des personnes que j'appréciais profondément et avec qui, j'étais un véritable ange.Peut-être que Mathieu me connaîtra comme ça...