Salut, on ne se connaît pas, je me presente: je m'appelle Erydia Celwyn, je suis née le 30 mars et j'ai 15 ans. Je suis hétérosexuelle, je suis assez méfiante: je ne donne pas mon coeur au premier venu ... Je suis une Sylvane. Mes amis disent de moi que je suis érudite , aventurière, susceptible, méticuleuse, stratège, autoritaire  mais aussi fidèle( en amour comme en amitié)et sociable.
J' ai de longs cheveux roux bouclés aux reflets argentés tombant jusque dans mon dos. J'ai des yeux verts clairs avec une "tâche" d'argent dans chaque oeil. J'ai une silhouette élancée à l'allure feline car je me tiens toujours un peu penchée en avant, comme une lione à l'affût de toute attaque. J'ai de longues jambes, des bras et des doigts fins. Une "taille de guèpe", comme dit ma meilleure amie. Je suis plutôt souple et agile. Jai un visage oval, aux traits fins et légers... Mes amis disent de moi qui je suis assez jolie et mignonne, ce n'est pas en ayant la grosse tête que j'avoue que j'avoue que je suis belle. Mes vètements sont tous plus ou moins clairs, neutres... Cependant, beaucoup de gens que je croise me trouvent indécente... Mes robes que j'avais longues et belles, sont désormais coupées en haut, de façon à n'avoir que le corset. En bas, j'ai couper le jupon au niveau de la cuisse, de manière à pouvoir deguenner facilement ma dague qui est accrochée juste un un peu plus haut que ma jupe. Comme je suis une Sylvane, mon pouvoir se trouve dans la catégorie terre. Je fait tomber les feuilles des arbres... Ne me dites pas que se n'est pas  utile! Sa peut être très utile quand il y a un pin a proximitée...


                       Mauvais souvenirs

 Il fait froid, (normal, je suis sur Freya...)Je suis cachée sous les ailes duveteuses de Syra… Ce contact me rappelle la fois où j’ai dû aller chez ma tante car mes parents sont morts.

                   *** Flash-Back ***


 Le Maire arrive, je joue à faire tomber les feuilles de l’arbre-maison, il a l’air très sérieux. Je me demande ce qui ce passe… Je m’apprête à lui dire que mon père n’est pas là quand il s’adresse à moi d’une voix u peu rauque :
_ « Erydia, j’ai quelque chose de très important à te dire… Je suis vraiment désolé… Tes parents… Tes parents sont morts, des Elfes les ont tués alors qu’ils sortaient d’une réunion…  
_ Quoi ?
_Tu devras vivre chez ta tante ta seule parente encore vivante
_Non ! Elle est trop méchante ! Je ne l’aime pas !
_Pourtant, tu vas devoir y aller…
_Non, non, non !
_Si, je suis désolé, mais c’est comme ça !
_Non !
 Et je me mis à pleurer, pleurer toutes les larmes de mon corps, mon petit corps de petite fille de 5ans ! Le maire qui était un ami de mon père, me serre dans ses bras, et me dit tout doucement :
_J’aimais beaucoup ton papa, c’était comme un frère pour moi !
 Je pleure toujours mais je n’ai pas le choix. Ma tante est la seule personne qui me reste alors … Je me dois d’y aller. Le soir même, Je suis devant la porte, armée de ma petite valise en cuir de dragon. La sœur de ma mère ouvre, vêtue d’une robe noire et verte, serrée par un corset encore plus foncé. Les traits de son visage sont stricts, ses lèvres minces sont pincées en une moue de dégoût devant moi. Je le sus dès le premier regard : Elle me haïssait. Je suis le portrait miniature de ma génitrice, les mêmes longues boucles rousses, aux reflets argentés et le même visage mangé de taches de son. Contrairement à elle qui est son opposée. Le visage sévère, Sillaste me fait entrer sèchement. Un mauvais pressentiment enserre mon estomac. J’ai peur et je sais que quelque chose allait mal se passer. Ma tante ferma derrière moi la lourde porte en chêne massif, et aussitôt, je me sens enfermée et je n’ai qu’une envie… Fuir.
 Au bout d’une semaine dans la maison de ma tante, je sais que je la détesterais toute ma vie !
 Dès que je sors de la maison ou que je m’exerce a mes pouvoirs elle me gronde, et quand j'ose lui répondre ou lui désobéir, elle me frappe.
 Je ne supporte plus cette horible demeure, ma chambre sent le moisi. Je suis enfermée dans cette pièce depuis deux jours, moi qui n'ait jamais souffert de la faim, je découvre ce que cela fait.
 Je sors de la chambre par la fenêtre, mais avant, pour amortir la chute, je fais tomber des feuilles en un petit tas. Je saute, je n'ai même pas eu mal! Je suis fière de moi, j'ai l'intention d'aller acheter a manger, je me souviens que pour acheter a manger il faut des Séops, mais je n'en ai pas, le peu que j'avais, ma tante les as pris, alors je décide d'aller les recupérer. Je rentre, essaye d'aller dans sa chambre, mais elle est fermée a clef, alors, je cherche dans toute la maison et trouve enfin dix Séops cachés dans un placard... Je sors de la pièce, mais elle est en train de rentrer, elle me voit, voit l'argent dans ma main et me demande d'un ton cinglant :
_" Où as-tu trouver ça ?
Je lui reponds, quand j'ai fini, avant même d'avoir pu faire un mouvement, , elle m'atrappe par le bras, m'entraîne dans la chambre ou j'ai étée séquestrée durant deux jours, commencer a me frapper, frapper plus fort qu'elle ne l'avait ait! Je pleure, je hurle, je gemis de douleur, appelle au secours mes parents morts, mais elle continue... Je sens un liuide chaud couler sur mon visage, un voile rouge obscurscit ma vision... Enfin, après ce qui m'a semblé etre des heures, elle arrête, sors de la chambre en claquant la porte et ferme a clef. Je continue de pleurer... J'appellee mon père, ma mère, que je ne reverrais plus jamais, je suis condamnée a vivre avec elle jusqu'à ce que sois majeure. Je l'entends remonter les escaliers... Une idée soudaine jaillit en moi... Je remets mes habits correctement, essuie le sang sur mon visage, utilise la même technique que le matin et saute par la fenêtre. Une fois en bas, je cours, cours a en perdre haleine, puis, une fois dans le coeur de la forêt, je m'arrête. Je me regarde dans un flaque d'eau et faillit prendre peur! une petite fille aux cheveux roux, emmêlés, sales, sales comme ses vêtements autrefois blancs et beaux sont en lambeaux. Mais le pire, c'est sans doute son visage, tuméfié, plein de sang et de bleus, comme son corps. Elle tremblait de rage et de peur. A ce moment, je me rends compte que c'est moi que je vois. Je regarde des arbrres onduler lentement dans la brise, et, pour me calmer, entreprends de faire tomber les feuilles de l'un d'eux. Je suis tellement énervée que je fait tomber toutes les feuilles en même temps, puis, me concentre et les fait tomber de plus en plus lentement, une par une. Je suis fière de moi, cel&a veut dire que je maîtrise mieux mon pouvoir. Maman m'avai dit que cela n'arriverait que dans longtemps. Je réfléchis et me dit que je suis douée... J'ai peur. Je marche, il commence a faire nuit, je ne sais pas ou je me trouve... Je peut bien être à des kilomètres de la maison. Je me sens seule, J'aurais aimée avoir quelqu'un avec moi ...
 Tout à coup,je sent une présence dans mmon dos, je me retourne et le vois, ou plutôt, elle... je la vois, elle est a près de dix mètres de moi... Avant qu'un seul mot n'ait pu sortir de ma bouche, cette belle hippogriffe blanche et argentée me dit sans ouvrir le bec:
_" Erydia ...
Sa voix rassurante résonna dans ma tête. Je la regarde dans les yeux, Ses yeux sont magnifiques, argentés, c'est comme s'ils brillaient de milles étoiles... Sans savoir comment je connaissait son nom, je le prononce:
_ Syra...
Elle s'approche de moi tout doucement, comme si elle a peur de m'effrayer... Moi aussi, je m'approche d'elle, et, sans m'en rendre compte, je fait tomber toutes les feuilles des arbres alentours... Enfin, après ce qui me paraît être des heures, nous nous retrouvons face-à-face, à cinq centimètres l'une de l'autre. Elle baisse la tête et je caresse  ses plumes duveteuses...
 Je ne serais plus jamais seule...

             *** Retour à la normale ***