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 In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros

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MessageSujet: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros EmptyVen 11 Avr - 0:02



Astrid Harros
"la petite citation qui va bien"


Nom Ludtyvien ou terrien ∞ Astrid Harros ; âge, lieu de naissance ∞ 583 ans, Constantinople Empire Byzantin ( Istanbul Turquie) ;  statut civil ∞ Célibataire; race ∞ Chasseresse; métier ∞ Cliquette de Gaïa ; orientation sexuelle ∞ Aucune. ; élément ∞ / ;  Signe particulier ∞ /. ; crédit ∞ Tumblr ;  célébrité ∞ Jaimie Alexander ;


Caractère
En une dizaine de ligne, décrivez nous le caractère de votre personnage. Astrid déteste les hommes, prête à tout pour les tuer mais on lui interdit de tous les tuer. Elle est courageuse toujours sur la défensive. Sa naïveté peut réapparaître en présence d'autres Chasseresses, elle fait confiance vu qu'elles défendent la même cause. Elle est impulsive, se renferme sur elle-même en cas de besoin. Elle est prête à subir de la douleur, elle ne la ressent plus, trop de souffrance dans son passée. Elle est tout de même plutôt gentille à partir du moment qu'elle ne vient pas pour vous tuer. Elle est loyale et tente de le rester. Elle est franche ou le plus possible. Elle n'est pas superficielle et préfère se rouler dans la boue dans un combat au corps à corps même si elle est féminine et aime bien être jolie, pas de trop mais juste ce qu'il faut.Elle est prête à tirer la première en cas de danger. Elle évite d'exprimer ses émotions comme ses sentiments. Elle est mauvaise perdante, trop d'échecs déjà commis. C'est une femme au fort caractère indomptable. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Son caractère varie en fonction des personnes mais surtout du sexe de la personne...


Physique
En une dizaine de ligne, décrivez nous le caractère physique de votre personnage. C'est une jeune femme dont l'apparence fait 23 ans. Elle est brune  avec de magnifiques yeux verts. Elle a des courbes de femme bien dessinée. Elle n'est pas très grande mais cela lui suffit, 1m66. Elle a une musculature musclée avec les entraînements, légèrement, elle n'a pas l'air d'une catcheuse pleine de testostérone. Elle porte la plupart du temps un poignard à sa ceinture, une préférence pour les armes blanches. Elle porte la plus grande partie du temps, son armure de guerrière. Elle est dotée d'un charme naturel. Sa tête peut être agréable à regarder puisqu'elle porte sur ses traits sa naïveté d'enfant mais lorsqu'elle s'énerve, on voit la jeune femme devenir femme et dangereuse. Astrid était une enfant voulant devenir femme bien trop vite, elle adorait les vêtements féminins et cela n'a pas vraiment changé. Astrid adore toujours porter de belles paroles, la mettant en valeur dans un minimum de discrétion, bien entendu.



You, behind your computer
prénom/pseudo ∞ Ju' ; âge ∞ 16,5  ; Comment es-tu arrivé là ? ∞ DC ; Que penses-tu du forum? ∞ Cool sinon je serai déjà partie x)  ; Et le code dans tout ça ?Valid by Aeryn  ; Un dernier truc à dire? ∞ Vive les vierges ! . ;


Dernière édition par Astrid Harros le Ven 11 Avr - 1:07, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros EmptyVen 11 Avr - 0:08



This is my story
"la petite citation qui va bien"


Ici, c'est l'histoire de votre personnage en une vingtaine de lignes Naissance ~

Cela fut des années que tout être humain de cette époque furent décédés si ils ne furent pas réincarnés en une espèce immortelle. Le siècle où de tant de sang sera versée, tant de guerres, tant de larmes et presque autant de morts , se sera produit. Un siècle de changement, un Empire disparaît et coupe la fin de l'époque du Moyen- Âge pour laisser naître la Renaissance.  Nous sommes au XV siècle, au cœur de l'Empire Byzantin, plus précisément dans la ville de Constantinople. Jean VIII règne sur l'Empire lorsqu'elle vint au monde. Il n'y a rien d'extraordinaire à la naissance d'un être humain et cela n'a d'importance que pour sa famille. Elle ouvrit ses grands yeux verts et à l'instant, sa mère la porta dans ses bras.Elle fut aimée et choyée par ses parents que cela soit son père ou sa mère le jour de sa naissance. Cette jeune enfant venait de naître dans une famille noble. Il n'y avait pas tellement de noblesse à cette époque car ceux qui étaient nobles , étaient ceux qui siégeaient pour L'Etat.

Enfance ~

La bouille angélique de la petite Astrid avait  mûri. Elle était une enfant sage. Elle vivait heureuse entourée de sa famille. Le matin, elle allait à l'école et l'après-midi, elle courrait dans les champs avec deux de ses amies. Elle portait un magnifique serre-tête continuellement, il était rouge et or. Il repoussait ses longs cheveux bruns vers l'arrière et mettait en valeur son doux visage. Elle n'était pas du genre à commettre des âneries, ce qui l'intéressait elle, c'était les robes, les bijoux, être jolie. Elle était féministe au maximum possible. Toujours coquette, image soignée, elle était la petite fille que tous voulaient avoir. La seule chose lui faisant défaut était sa naïveté d'enfant. Elle était polie, prête à ouvrir son cœur pour quiconque voulait rentrer dedans. Il fallait dire que tant de fois, elle aurait dû le renfermer et c'est au cours du temps qu'il se renfermait. Elle était trop sage et on se jouait d'elle. Il lui arrivait parfois qu'on la prenne pour une idiote et lorsqu'elle comprenait, elle faisait mine que tout allait bien alors que non.. C'était l'enfant blessé intérieurement se renfermant sur elle-même à chaque déception. Elle avait apprécié un garçon, elle prenait l'habitude de lui tenir la main affectueusement tous les jours sauf que lui, sous un effet de colère en eut marre une journée alors il refusa. Elle prit cela comme une trahison et se braqua. Plus tard, près du peu d'amies qu'elle avait, elle apprit qu'il se moquait d'elle. La seule chose pour laquelle il s'était approché c'est quand il avait appris que le père d Astrid appartenait à la noblesse et s'asseyait au côté de l'empereur. Les parents du jeune homme le forcèrent à sympathiser avec Astrid. Elle se sentie anéantie, blessée mais elle ne montra rien. Elle rentrait chez elle en pleurs. Elle habitait sur une  colline qui mettait la maison légèrement en hauteur. Ce n'était pas une simple maison, c'était une sorte de villa assez grande semblable au modèle des autres villas dont un membre de la famille travaillait pour l'Etat. L'empereur voulait que ses associés se trouvent supérieurs mais surtout pas éloigné de lui. Elle se trouvait entourée d'un voisinage de choix. La jeune fille rentra à la maison et pleura. Elle pleura face à son miroir. Elle faisait toujours ainsi, admirer son reflet triste, abattue par le chagrin. Cela lui permettait de se calmer et de se convaincre que cela abîmait son visage de pleurer. Sa nourrice, si on pouvait appeler cela à l'époque, vint la prendre dans ses bras. Elle lui essuya les yeux, lui remonta la tête et lui dit ses doux mots qui ne cessèrent à jamais de résonner dans la tête de l'enfant :

« Sourit même si ton sourire est triste car il n'y a rien de plus triste de ne pas te voir sourire. »

Ses mots lui rendaient du courage. Astrid regarda avec contemplation son miroir et sourit. Elle sourit à la rendre heureuse. Son sourire était triste mais il lui embellissait le visage, il lui calma les yeux et rendit ses joues moins humides. Elle regarda sa nourrice à travers le miroir et sourit, sourit à ne plus s'arrêter. Elle oubliait, elle ignorait le chagrin de l'amitié qui l'avait brisé. Elle se sentait plus forte désormais. De simples mots l'avaient renforcée. Elle se releva, rendit visite au garçon qui avait causé son malheur et lui donna une gifle, la première que Astrid mettait. Astrid, la jeune sage laissait place à la jeune tigresse qui montrait les griffes. Il avait eu ce qu'il méritait  mais elle savait qu'elle regretterait d'avoir fait ce geste. Elle ne regrettait pas de l'avoir remis à sa place juste les représailles du lendemain. Que pouvait t'on faire à une fille si fragile ? Il y a tant de façons de lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle se rendit à l'école le lendemain, le carnage n'allait faire que débuter. Elle se fit traîner à l'écart par une bande de cinq garçons qui commençaient à lui crier dessus et l'un d'eux leva la main sur elle. Elle n'avait que ses yeux pour pleurer mais ils ne faisaient couler aucune larme. Elle souriait, sourire stupide certes mais elle souriait. Elle n'oubliait pas les mots qui lui avait donné tant de confiance. Elle restait assise sur le sol, se laissant faire. Elle encaissait, elle encaissait au plus profond d'elle. Elle se prit un poing et ne hurla pas. On lui attrapa les cheveux et les tira en arrière pour qu'on la voit souffrir. Elle mordit le bras de son assaillant et s'en prit une aussitôt. Elle attendait que tout se passe. Elle patientait qu'ils aient  fini . Ils finirent prenant le temps de l'achever. Elle ne montrait aucune faiblesse, la faille se créait dans son cœur. Le monde n'était pas tel qu'elle l'avait imaginé, rien n'était rose. Elle pensait faire le bien et on lui faisait du mal sans cesse. La jeune enfant ne savait plus où donner de la tête. Elle se releva, le sourire aux lèvres et rentra chez elle. Elle franchit la porte, à peine entrée qu'elle s'évanouit sur le sol dans un fracas insupportable. Elle ne se souvint pas. Elle n'oublierait pas et ne pardonnerait sûrement jamais. Ce qui était sûr c'est que l'enfant finira par haïr les hommes depuis cette période. Comment pouvait- on apprécier le sexe masculin lorsque la seule chose qu'il savait faire, était faire souffrir ? Elle ne supportera pas. Personne n'avait tenté de l'aider. Personne n'avait de la compassion dans son regard. Personne ne l'avait soutenu. Elle n'était qu'un vulgaire objet qu'on fait souffrir. Elle n'était rien. Elle ne représentait rien mais elle sera, elle sera une femme forte.

Adolescence ~

Elle grandit, elle s'endurcit, elle avait fait la promesse qu'elle serait forte. Elle découvrit la période qui la fit devenir femme. Elle vit son corps changer, se transformer avec de jolies courbes fines, une poitrine passant de plate à présente. Elle ne trouvait pas cela désagréable, elle se trouvait encore plus féminine qu'avant. Elle était une femme plus forte, il lui restait aucune marque physique de sa souffrance, seul laissait place à une déchirure profonde de l'intérieur. Elle avait comblé cette souffrance par la rage, la rage de supériorité. Elle revit cet homme qui lui avait causé tant de souffrance et elle l'ignora. Il vint lui présenter des excuses, il était trop tard. Elle aurait pu accepter mais elle ne voulait pas. Apprenant la raison de ses excuses, cela ne fit qu'augmenter sa rage. Il venait la voir car au final, Astrid était devenu une femme qu'on peut qualifier de jolie. C'était ce qu'il l'intéressait. Un homme rêve d'une femme jolie auprès de lui mais celui-ci n'obtiendra pas Astrid. Il pouvait toujours espérer mais elle était inatteignable. Elle ne s'intéressait pas aux hommes contrairement aux filles de son âge. Le seul qu'elle pouvait accepter, était son père.
Pour elle, il n'était pas encore question d'embrasser un homme ou de même se balader à son bras. Astrid était une femme refusant tout contact avec le sexe opposé. Si elle croisait un homme dans les ruelles pavées, elle lui jetait un regard noir avant d'ignorer sa présence. Même un homme des plus mignons qui lui déclara son amour dans de belles lettres, elle le repoussa supposant une supercherie cachée. Elle se méfiait des hommes, ils n'étaient que douleur et être mauvais. Elle ne supportait pas de voir ses amies souffrir, finir détruites par un homme. Elle les mettait en garde et toutes retombées dans les belles paroles d'un imitateur d'Apollon,  promettant le parfait amour. Elles étaient toutes visées par les flèches de Cupidon. Astrid était immortalisée de ces flèches. Aucune n'atteignait son cœur. Les déceptions amoureuses de ses amies ne faisaient qu'endurcir sa position de retrait envers les hommes. Être maudit, être impur comment pouvait t'il exister ? Comment avait on pu créer de tels monstres ? Peut-être qu'elle exagérait,  peut-être qu'elle pouvait donner une seconde chance au sexe masculin ? Elle avait probablement fait erreur, tous les hommes n'étaient pas ainsi ? Qu'on lui donne l'exception ! Qu'on la lui donne et elle s'excusera de tenir un discours si péjoratif...

Les 18 ans ~

Cette année était synonyme de changement pour l'Empire. Un nouveau Empereur est sacré, tant de choses ont changé. De nouvelles guerres éclatent dans l'Empire. L'ancien empereur est mort. L'inquiétude commence à guetter les habitants. Astrid se contrefiche de toute politique, elle vit dans son univers. Astrid voulait donner une seconde chance. Elle choisira celui qui aurait le droit à sa chance. Elle ne lui promettra rien, elle souhaitait juste prouver au monde qu'elle avait eu tort ! Elle ne pouvait prendre au hasard. L'échec aurait été assuré d'avance. Elle choisit celui qu'elle voulut. Elle lui proposa de sortir un soir avec elle, de se promener à la belle étoile. La jeune femme réapparaissait comme la petite fille qu'elle avait été, elle souriait. Elle était distance mais ses sourires donnaient l'impression du contraire. L'homme ne remarqua rien, être dépourvu de jugeote. Elle enroula son bras autour du sien. Cela lui donnait des nausées mais elle souriait. Elle cachait tout ses ressenties malsains. Il la regardait avec contemplation, des terribles yeux étincelant. Elle croisa son regard et il s'approcha d'elle. Il entourait sa taille d'une main  mais elle ne fit rien, seul ce même sourire innocent restait sur son visage. Elle continuait de lui fixer. Le visage de l'homme s'approchait, diminuant la distance, la réduisant encore et encore. Les visages se rapprochèrent. L'homme semblait déterminer à briser la distance qui les séparait. Astrid restait là, le sourire identique, ne faisant rien. L'homme se lance et prêt à briser la dernière barrière entre leur visage, Astrid détourne le visage, refusant tout contact de lèvres. Elle ne voulait pas encore de cela. Il allait attendre si il la voulait. La patience est une maîtrise de soi que les hommes semblent avoir du mal à acquérir. Astrid fut surprise de la réaction de l'homme. Il la regardait, sourcils froncés ne semblant pas comprendre ce qui lui prenait et il déclara :

« Quoi ? Tu te moques de moi ? Je devais te dépuceler ce soir !  »

Les mots qu'elle ne voulut jamais entendre. Elle restait à sourire, un sourire qui en devenait agaçant pour le jeune homme. Elle rêvait de lui en retourner une mais elle se souvenait, elle se souvenait de la première fois qu'elle avait cela, cela avait mal fini. Elle avait fini plus mal en point qu'au départ. Elle prit l'initiative de partir, se retrouvant une fois de plus dégoûtée de tout homme. On s'était servie d'elle comme un jouet, un nouvel échec, une nouvelle déception. Pendant un instant, il y eut cru, il eut cru au changement. Elle eut cru que l'erreur d'enfance était une erreur ! Qu'elle était tombée sur les mauvaises personnes mais elle s'était fait avoir. Elle était redevenue pendant un moment, la jeune fille candide de l'époque. Elle ne referait plus demi-tour, le passé était le passé , plus jamais, elle ne redeviendra comme ça. Elle était forte et le restera ! Elle  se le promettait.

Jeune adulte ~

Dans les remparts de Constantinople, plus rien n'allait. Il y avait ce sultan qui rêvait de franchir, de tout détruire. La population s'agitait. Nous sommes en 1453. Astrid venait de prendre 23 ans. Elle voyait les habitants, se replier, s'exiler pour certains dans des pays plus sécurisés. Les membres de l'Etat n'eurent pas l'autorisation de partir tout comme les soldats. On les voyait les jambes tremblantes à partir en guerre. Astrid savait que cette guerre risquait d'être fatale. Elle mettait son père en garde, elle voulait quitter Constantinople. La mère d'Astrid était du même avis, elle rangeait les affaires sentimentales dans des sacs de toiles en cas de départ précipité. Astrid l'aidait dans sa tâche.  Les deux femmes savaient qu'il faudrait convaincre l'homme de la famille avant qu'il ne soit trop tard. Quelques jours après, les premiers remparts furent franchis. L'armée arrivait à les maintenir à distance mais pour combien de temps ? Le père d'Astrid ne pouvait partir avec sa famille. Il emmena donc sa famille dans le lieu où se rassemblait tous les partisans de Constantin XI. Astrid se retrouvait avec des personnes qu'elle aurait aimé ne pas trouver. Elle n'avait pas le choix. Ils fermèrent les portes et patientèrent. L'empereur avait promis la victoire.

Mort ~

Le sultan et son armée franchirent définitivement la ville. Il était trop tard. Tout commençait à se détruire. Les pillages avaient débuté. On entendait les cris des habitants hurler à la mort. Tout était ravagé, détruit par les opposants. Astrid et les autres nobles se trouvaient dans le palais des Blachernes. Tous mourraient de peur. On entendait des coups d'épées, des hurlements sans fin durant toute la nuit. Le père d'Astrid lui donna une dague et lui dit ses mots :

« Si tu dois te défendre, défends toi avec ceci.  »

Il semblait vouloir préserver sa famille. Il sentait que tout allait mal finir. Astrid observa la dague et la glissa dans les coutures de sa robe, dans un endroit simple d'accès mais aussi sécurisé. Elle remercia son père. Des bruits frappèrent aux portes du palais. Tout le monde s'entassait dans un coin. La porte fut franchi.  Un des hommes du sultan avait la tête de Constantin XI entre les mains et la jeta violemment sur le sol de sorte à créer de la terreur. Bientôt des hommes supplémentaires entrèrent dans le palais, le blond semblait être un meneur de la bataille, un futur héros de guerre ! Les ordres que donna le blond furent clairs :

« Qu'on les sépare et qu'on évalue leur utilité !  »

Trois catégories furent créés, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre et les enfants. On entraînait les hommes les plus âgées au centre de la pièce et on les exécuta devant les pleurs de femmes perdant leur mari et d'enfants perdant leur père. Des corps morts, du sang gisaient sur le sol. C'était une scène macabre qui se produisait. On fit de même avec les femmes, les vieilles furent tuées. Le père d'Astrid fut exécutée pour avoir refuser le sacrifice d'enfant. Ces hommes étaient des barbares, ils tuaient les enfants, tous sans exception. Ils ne voulaient pas d'inutilité. La mère d'Astrid pleurait, elle pleurait de tout son corps. Astrid la prenait dans ses bras tentant de la calmer. Astrid ne versait aucune larme, elle avait appris à se maîtriser. Elle souriait faiblement mais son sourire était présent. La phrase de sa nounou sonnait toujours dans sa tête et cela lui donnait du courage. Les hommes utiles furent emmenés pour servir l'armée. Les femmes, quant à elle, furent évaluer. Elles seraient épargnées si elles pouvaient convenir au sultan dans son harem privé. La mère d'Astrid fut tuée, jugée trop vieille. On osa l'exécuter dans les bras de sa fille. Astrid laissa tomber sa mère sur le sol. Elle lui ferma les yeux et contenait ses larmes, une nouvelle fois. Elle s'empêchait de pleurer. Elle s'empêchait de montrer toute émotion.  Ils tuèrent la majorité des femmes gardant les plus jeunes dont Astrid. La voix du blond retentit une nouvelle fois :

« Il me faut un trophée, il me faut une futur épouse. Il paraît que les femmes de Constantinople sont de belles créatures.  »

Astrid baissa la tête voulant être ignorée. Elle ne voulait appartenir à personne. Elle était faite pour vivre seule. Elle voulait qu'on la laisse vivre sa vie. Elle rêvait de liberté. Le blond passa dans la lignée des femmes et s'arrêta net devant Astrid. Il posa une main sur le visage d'Astrid et d'un sourire malsain, il ordonna :

« Celle-là, je la veux pour femme ! Les autre iront au sultan !  »

Astrid n'était pas d'accord. Le blond ne faisait que l'admirer, deux de ses hommes la prirent par les bras et l'emmenèrent  avec eux. Astrid tentait de résister en se débattant mais ce fut inutile. Elle demanda un moment de répit et elle demanda si elle pouvait marcher au lieu d'être tirée. Ce lui fut accordé, le blond attendait sa créature comme il la nommait si bien. Il ne voulait savoir son nom, seul le nom de beauté était pour la designer. Astrid se levait face à lui, elle lui souriait. Il semblait être heureux de voir sa " beauté" heureuse de se retrouver avec lui. Astrid sortit la dague de sa robe, elle la cacha dans son dos, se tenant toujours aussi face à lui. Elle la serrait fermement dans sa main. Le stress, l'angoisse la tiraillait. Elle avait peur, peur de devenir une épouse qu'elle ne voulait jamais être.Astrid déclara :

 « Je ne pourrais jamais vous aimez. Vous êtes un homme, un être immonde qui a tué mes parents. Vous êtes un homme et aucun de vous mérite une femme comme moi. Je ne veux pas de vous et vu que je suis forcée, contrainte d'être votre femme...   »

Elle ne finit pas sa phrase, elle prit la dague et se la planta en plein cœur. Elle se transperça la poitrine. Le blond sembla être surpris et tenta de la récupérer avant qu'elle ne s'écrase sur le sol. Il ne put faire grand chose, Astrid mourrait, le sang tâchant sa robe et couvrant le sol. Astrid mourut. Elle préférait se donner la mort qu'être enchaînée à un homme. Elle ne supportait pas les hommes de base et détestait qu'on lui force la main. Elle ne pouvait non plus accepter un homme qui a tué sa propre famille. Ce blond était un autre homme qui causa le malheur d'Astrid et celui-ci lui fut fatal.

Chasseresse ~

On l'avait choisi. On avait choisi cette femme. On lui avait donné une nouvelle chance. On lui avait une chance de recommencer sa vie, de devenir différente et d'être libre. Elle allait être une femme libre sans avoir á se soucier des hommes , du moindre qui allait la faire souffrir. Elle haïssait les hommes et pour la récompenser, on lui offrait une liberté. Vivre avec des femmes, vivre pour une justice, on donnait un nouveau sens à sa vie. La déesse mère avait choisi cette femme au cœur pur pour faire partie de son armée, son armée de justicière. Elle allait devoir devenir encore plus forte qu'elle ne l'avait jamais été. Elle allait être nommée chasseresse. Elle allait devenir une tueuse. Elle allait s'entraîner pendant des années pour devenir plus forte que jamais. Elle sera imbattable au combat et elle en sera fière. Sa vie prenait un nouveau tournent qu'elle n'aurait jamais pu imaginer. Après des années de combat, on lui choisit un bataillon. Elle fut affiliée au bataillon 32 pour sa rage. Elle possède la rage de vaincre, tuer les hommes... Elle voulait leur faire payer ce qui lui avait fait mais il fallait qu'elle devienne clémente. Tous ne pouvaient mourir. Astrid n'avait pas besoin de leur existence, ni aucune des autres chasseresses avaient besoin d'eux puisque toutes les femmes ici étaient vierges. La virginité était leur point commun. Astrid se sentait bien parmi elles pour ça. Il n'y avait plus de tension à parler d'hommes ou de sexe pratiqué avec eux. Les sujets revenaient à tuer, combattre, anéantir.  Gaïa lui avait bien fait comprendre, elle pouvait ne pas  aimer les hommes mais elle ne devait pas tous les tuer.  Les hommes étaient essentiels aussi , il était fait pour permettre la reproduction et la survie de l espèce humaine et de tout espèce immortelle.
Astrid allait se résigner à laisser vivre les bons comme Gaïa sait si bien le dire. Elle n'avait pas le choix. Elle servira sa maîtresse et obéira.
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MessageSujet: Re: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros EmptyVen 11 Avr - 18:23

Biennvenue *o*
Ton vava est so fabulous <3
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MessageSujet: Re: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros EmptyVen 11 Avr - 18:37

Merci *_*
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MessageSujet: Re: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros EmptySam 12 Avr - 12:55

Bienvenue :)
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Gaïa
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PROFIL►PORTRAIT : In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros 12040506185255159
► ARRIVÉ LE : 31/03/2012
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MessageSujet: Re: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros EmptyLun 14 Avr - 21:51





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Pour vous aider à bien débuter voilà plusieurs liens à visiter avant de se lancer dans l'aventure ::

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MessageSujet: Re: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros EmptyMar 15 Avr - 10:12

Merci  In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros 178103271 Je vais pouvoir botter le cul à tous les hommes !!!!  In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros 1015589094 
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MessageSujet: Re: In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros   In three words I can sum up everything I've learned about life : It goes on ! - Astrid Harros Empty

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