Tu ne peux plus te cacher, aime moi ou barre toi ! [ Matt & Nicky ]

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Ma petite soeur avait changé. Son retard avait changé. Elle n'était plus la même qu'avant et je n'arrivais à savoir si c'était en bien ou en mal. Je ne pouvais savoir ce qu'elle avait fait. Je savais pour Antony. Mais je ne savais qui avait été ses derniers amants et j'en avais peur. Je cherchai à comprendre. Elle tira une bouffé passionné sur sa cigarette avant de la jeter à mes pieds. Elle avait vieillit. Trop vite. Je tiendrai le coeur de Myles entre mes doigts avant de disparaître et cela, je le jure sur Gaïa la Grande.

"Tu ne sais rien Math. Et de toutes façons, tu n'es pas de mon sang alors laisse moi en paix !"

Elle se transforma, hurla, la gorge tourné vers la lune, avant de disparaître, laissant la veste de Nicky sur le sol. Je devais m'occuper de ma petite amie avant toute chose. Elle n'aurait pas été là, les doubles intonations lupines auraient rapidement ramener la jeune louve dans les rangs. Personne ne connaisait l'immensité des pouvoirs de l'Alpha. Personne ne savait de quoi était capable les chefs de meute. Les humains avaient supplié pendant longtemps les sorcières. Nous avions été crée par le sang des démons et le mal était notre lumière. Nous etions irrévocablement attiré vers lui, et je ne savais quel était sa force sur ma trop jeune soeur. Ni comment elle avait sut la vérité.

Une odeur métallique agressa mes narines trop sensibles. Je sentais ma petite amie s'éveiller et plus que tout, un liquide brûlant coulait sur mes bras. L'iris de mes prunelles se dilata immédiatement face à l'odeur du sang. Mais face à celui de Tarek, celui de ma petite amie me semblait bien terne et heureusement pour elle. Je ne montrai pas les crocs, je ne m'éloignai pas d'elle. Je la serai plus fortement contre moi avant de lui chuchoter :

"Nicky... Tu m'entends ? On va rentré d'accord ? Je t'amène à l'hôpital. Dit moi que tu m'entends. S'il te plait"

C'était la panique et l'angoisse qui gagnaient mon coeur. Malgré ce que je voulais laisser croire, je tenais à ma petite amie et même plus que ça... Je l'aimais. Elle n'était pas l'obligation des louves. Je lui ferai l'amour comme il le fallait. Je l'aimerai comme je devais le faire, comme je voulais le faire. Après tout, je l'avais offert aux autres. Je ne lui refuserai plus l'amour que je lui devais. Je l'aimerai comme je savais le faire. J'avais la réputation d'être un romantique. Je lui prouverai que j'étais fait pour elle. Que j'étais bon pour elle.

Je l'installais dans la voiture, récupérais sa veste que je posai délicatement sur ses genoux avant de démarrer un peu trop vite. Je croisai le regard empli de reproche du loup assit au bord de la route, puis entendis son gémissement alors que je ne ralentissai pas. Ma belle Lucy. Tu n'es qu'une enfant dans un monde dangereux d'adulte. Mais nous etions trop jeunes pour comprendre leur machinations d'êtres immortels. Je roulais pourtant trop vite, mais je voulais emmener le plus vite possible Nicky à l'hôpital. Mon sang aurait été plus rapide, bien sur, mais je ne voulais encore lui donner. Il était trop fort et à trop grosse dose, pouvait avoir des effets secondaires très dangereux et rendre... Accro. N'ayant pas comme but ultime de me faire vider de mon sang, je préférai l'hôpital. Je la caressai du regard, lui murmurant des paroles réconfortante. Aller Nicky. On est presque arrivé. Ce n'était certes qu'un peu de sang mais qui pouvait vite prendre des proportions délicates. Dans l'espace clôt de la voiture, malgré ma fenêtre ouverte, l'odeur devenait entêtante. Mais je controlai le danger que jetais. Pour Nicky

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Ses bras, calés dans ses bras, je me sentais dans le meilleur des mondes. Sa chaleur interne me reposait. Je pouvais m'endormir reposé comme dans mon lit. Je sentais une étreinte plus importante et je ne pouvais qu'aimer. Ses paroles, je les entendais parfaitement mais je ne pouvais y répondre sur le coup. Je voulais sombrer dans un sommeil profond contre ses bras, m'endormir contre lui, le meilleur endroit, celui où je me sentais épanouie. Quoi..que non mais il se foutait de ma gueule ! J'ai rien de grave, oh pas besoin de l'hôpital. Il disjoncte complètement. J'avais besoin d'un désinfectant, à la rigueur des stripes et c'était fini. Je ne voulais pas aller aux urgences. Je n'avais pas envie de supporter des questions. Les infirmières pouvaient être lourdes lorsqu'elles le voulaient. Me demander ce qui m'était arrivé , était celle dont j'avais pas envie de répondre. Si je disais que j'étais tombée, on me demanderait où et on me demanderait surtout sur quoi ! Je n'étais pas prête à supporter toutes ses questions. Il y avait aussi le risque que Matt et moi n'avions pas les mêmes mensonges.

Il était trop tôt pour que je quitte le paradis mais Matt en avait décidé autrement. Il allait me tirer hors de mon épanouissement pour me déposer dans la voiture. Les sièges étaient bien moins confortables que Matt. Je sentis ma veste retourner sur mes cuisses et il démarrait. Trop vite. Il allait bien trop vite, j'avais mal à la tête et le fait de rouler trop rapidement me plaisait pas. Si la route était défoncée, ça ferait des vibrations et je ne le supporterai pas.

Il me parlait me murmurant des mots trop mignons qui me redonnait le sourire. J'aimais ce mec, c'était l'un des premiers que j'avais laissé atteindre mon cœur et surtout le seul que j'avais laissé tenir ma main et me servir de copain. Il fallait que je le rassure de mon état mais tant de questions bénirent envahir ma tête. Ou était Lucy ? Cela faisait un moment que je ne l'entendais plus. Et si ce qui se trouvait sur mes cuisse s'avéraient être ma veste alors Lucy se trouvait encore à poil, je ne sais où. Cette fille avait vraiment un problème avec les vêtements. Elle ne comprenait pas que ne pas porter de vêtements pouvaient effrayer les gens ? Elle ne semblait pas.

Mes yeux s'ouvrirent dans une lenteur abominable pour la perception de la situation. Ma main poussa sur le siège pour m'aider à me relever. J'avais l'esprit un peu troublé. Observant le siège, je pus apercevoir que j'avais légèrement taché son siège de sang. Putain, non ! Je veux pas couvrir sa voiture de mon sang.

Je le regardais et il n'était pas très bien d'après ce que je voyais. Lucy avait disparu de la voiture et je ne comprenais pas. Je portais une main à l'arrière de la tête pour éviter d'en foutre partout et par la suite, je posais ma veste contre ma tête. Elle absorbera en cas de nécessité. D'une voix assez douce dû à mon réveil, je lui parlais :

- ralentis , ça va. Je vais bien. Pas l'hôpital, je veux pas de question. J'ai pas besoin de soin, je me suis juste cognée.

En réalité, je ne savais rien de l'ampleur des dégâts mais je doute que je me sois fait vraiment mal, ça ne devait être rien de grave. Déjà qu'il fallait être une fille pas douée pour se faire mal avec le sol. J'avajs une envie soudaine de porter mes lèvres sur les sienne mais je ne le pouvais. Je devais puer l'odeur du sang à plein nez et il devait se sentir mal à l'aise. Je suis désolée mon cœur, désolée de ce que je te fais subir.

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" ralentis , ça va. Je vais bien. Pas l'hôpital, je veux pas de question. J'ai pas besoin de soin, je me suis juste cognée. "

Je tournais mon visage vers elle, ralentissant petit à petit sans acout. Mes beaux yeux bleus se figerent dans les siens, la couvrant du regard. Mais l'odeur de son sang était omniprésente et je sentais qu'elle était là, bien trop présente, bien trop impressionnante. J'avalai ma salive avant de m'arrêter et de tendre trois doigts devant elle et de lui demander :

"J'ai combien de doigts bébé ?"

Mon sourire était mignon au possible. Nicky m'avait rarement vu de la sorte. Avec elle, j'étais le loup qui sommeillait en moi. Elle m'avait toujours vu comme le salope que j'étais et non celui que les autres ne voyaient pas. Elle devait tomber des nues... Mais aujourd'hui, je changeai la donne. Je serais parfait. J'avais envie d'elle. Le loup qui dormait en moi se réveillait à peine son odeur s'approchai, à peine un centimètre de sa peau blanche se découvrai devant mon visage. Je sentais les poils de mes bras s'éveiller. Mon coeur battre plus fort, mes iris se dilater comme si j'étais sous l'influence d'une drogue particulière. Je n'allais pas tenir. J'allais lui offrir du sang. Ou au moins la ramener chez moi. Je ne pouvais tenir. Le sang grimpait dans tout mon corps trop vite. Ma respiration se faisait plus puissante. Mon sourire plus charmeur. Un loup qui s'éveille, qui chasse, qui traque et fait reels ses désirs. Nous, loup garou, etions les fils du danger crée par le mal. Nicky était impliquée dans la douleur de notre sang mais je ne voulais plus la mettre de côté. Elle était la petite amie d'un Alpha. J'étais fils d'une Puissante. Je n'étais pas originel mais ma parole était ecouter. J'étais devenu Alpha jeune et le pouvoir soufflait du moindre pores de ma peau. Tu comprendras Nicky. La prochaine reunion des loups t'offrira un sentiment de supériorité qui fera enfler celui qui était tien pour l'instant. Je n'attendai que ta reponse pour te donner mon sang. L'odeur du tien m'attirai, me faisait oublier ma gentillesse habituelle, faisait ressortir un Alpha. Je n'avais pas la hargne de mon roi mais j'avais une puissance non négligeable. J'étais le maître de deux meutes. J'étais le prince de Milwaukee. Les loups d'ici étaient mes frères, mes sujets, ma meute. J'avais du pouvoir, trop de pouvoir mais je me plaissai à voir leur nuque basse devant mon hurlement lunaire. Oui, et celle l'enfant de la lune tenait notre vie entre ses mains. Rien d'autre qu'un loup sauvage et dangereux.

Je ne la lâchai pas des yeux, elle que le pouvoir rendrait puissante. Tu m'aime n'est ce pas Nicky ? Je te le rend. Tu as mon coeur entre tes mains. Je serais parfait. Tu n'étais pas Tarek, je le savais. Mais tu pouvais être parfaite. Je n'étais plus un traître à mon sang. J'allais bientôt disparaître. Et lorsque j'aurai mené ma mission, je te manquerai ma belle. Tu comprendras alors. Je veux profiter de ton odeur, de ta chaleur avant de partir. Je veux profiter de ce corps que j'avais peur de mêler au mien. Le loup a assouvi sa soif, je ne peux plus te faire de mal. Je n'étais pas un louveteau. Luis m'avait fait comprendre que la clef du controle n'était pas si compliqué à connaître. J'avais jeté le collier d'argent et d'onyx. J'avais accueilli la pleine lune sans chaînes. J'avais tué, j'avais mangé. J'étais devenu un loup sous la double voix de mon roi. J'avais été lié avec mes instinct. Je ne savais ce qu'il voulait réellement. Mais je m'étais éveillé et j'avais aimé l'odeur du sang. 5 minutes dans l'eau sous ma forme lupine avait tout changé. Tout transformer, mon regard s'était fait plus clair. Et Nicky m'avait paru beaucoup plus désirable. J'étais maintenant un véritable loup...

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Je n'étais qu'à peine réveiller qu'à ma voix, il me regarda. Il roulait plus doucement et je souriais discrètement. Il me fixait intensément et je baissai les yeux. Je ne voulais pas qu'il me regarde en étant dans cet état. Je n'avais pas envie qu'il fasse quelque chose de mal. Je savais ce qu'il était et le sang, il aimait ça. Il aimait trop ça. Ce n'était pas une bonne chose que j'en porte sur moi,que je me vide de mon liquide.Crois moi, si j'avais pu éviter de faire la gourdasse qui se cogne la tête et qui se vide toute seule de son sang, je l'aurais fait. Je t'aime et je ne cherche pas à te faire souffrir.Je ne veux pas non plus que tu me bouffes, je tiens à ma vie ! Je suis une femme instruite dans un corps de bombasse, on en rencontre pas tous les jours des femmes dans mon cas. Je suis exceptionnelle.

Il stoppa net la voiture et me tendit ses doigts en face de moi, en me posant la question qui tue...Il se foutait de moi, là ? Non mais sérieux, j'ai quel âge Matt ? J'ai plus 3 ans. Je suis encore moins débile. Je sais compter parfaitement et je vois très bien ! La vieillesse pas encore pour moi. Je soupirai brusquement et je levai les yeux au ciel. Je me sentais encore toute retournée et monsieur me faisait chier. Qu'il croyait pas que son superbe, magnifique, hypnotisant...enfin bref, que ce sourire à la con allait changer ce qu'il venait de dire. Il allait me faire bouder si il continuait comme ça !!

- Ouais bah tes doigts, tu peux te les foutre dans le cul ! Chéri..

Je sais, je sais. Je n'étais pas très agréable mais qu'il me prenne pas la tête avec ses trucs à la con. Je lui dis que je vais bien, je vais bien. Je me sens bien ! Un peu sonné et un peu trop de sang mais je me portais à merveille. Enfin, je pâlissais juste un peu mais ce n'était rien. Un peu blancheur ne faisait de mal à personne. De toute façon, même si je n'allais pas bien, je refuserai l'hôpital. Tu pouvais m'y traîner de force que je n'irai pas. Je sais pas comment hein parce que vu ta force...je suis dans la merde. Mais je n'irai pas. Tu pourrais même me donner une fessée ! Euh..Nicky...garde tes pensées perverses pour toi,en faite. Ca vaut mieux pour toi et pour Matt.

Il me regardait un peu trop. Ca en devenait presque bizarre. Je sais que mon sang t'attire mais là , j'ai le sentiment d'avoir un truc sur la gueule qui te gêne ! Ou alors c'est que tu aimes me regarder..Je les aime aussi tes yeux Matt mais je commence à avoir sacrément mal au crâne pour penser à tes beaux yeux, pour penser à ce que tu pouvais penser, ce que tu pouvais te dire à ce moment. Peut-être que tu voulais faire de moi ta femme ? Ah, je ne prends pas d'alliance qui ne porte pas de vrais pierres précieuses ! Je suis une femme exigeante. Tu me veux alors mets y le prix ! Tu m'observes pour savoir si je rentre dans ton futur plan à 3 ? Matt, je prends fille et homme, no stress. J'aime bien être à plusieurs dans un lit, du moment que tes lèvres ne touchent que les miennes enfin qu'elles m'embrassent par amour,ça me va. Tu veux me faire un gosse ? Avec toutes tes putes de la nuit que tu as dû te taper, tu dois avoir autant de gosses que de spermatozoïdes dans ton froc. On va dire que c'est mon mal de tête qui me fait penser n'importe quoi. Du moment que Matt n'est pas au courant, je m'en tire plutôt bien !! Je crois que si il savait, il s'arracherait tous les poils de son pelage jusqu'au dernier...

- J'ai sali ton siège..On rentre ?

Je grimaçai faiblement.Ouais, me punie pas, c'est pas ma faute d'abord ! Si tu avais pas tué des gens, je saignerai pas. Je péterai la forme, oui.j'avais l'art de retourner les fautes sur les autres. C'était pas bien et pourtant, je le faisais. L'envie de rentrer me titillait. Je voulais quitter cette voiture, il n'avait pas d'air pour sentir autre chose que du sang de petite amie. Puis...en rentrant, je me soignerai et..on pourrait faire autre chose que discuter. Non ça , je pouvais toujours courir !

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" - Ouais bah tes doigts, tu peux te les foutre dans le cul ! Chéri.."

Je levais à mon tour les yeux au ciel. C'était son crâne duquel je prenais soin. Mais après si jamais elle voulait m'envoier chier qu'elle y reste. Oh pire, tant qu'elle ne vomissait pas, je savais qu'elle n'avait pas fait un traumatisme crânien. Alors... Qu'elle reste après. Je sentais l'odeur de son sang mais la fraîcheur de l'extérieur caressait mon visage et me laissai un sentiment bien plus doux. Loin de l'envie qui aurai pu détruire mon être.

"- J'ai sali ton siège..On rentre ? "

Je lui souris de nouveau. J'allais presque finir par faire pitié. Je ne suivais pas mes pensées. Elle voulait rentré, nous allions rentré. Et elle, elle rencontrerai le loup en moi. Elle connaîtrait le "mal" qui sévissait en chaque garou. Après tout, l'histoire était toujours la même. Je ne la tuerai pas. Je ne voulais pas. J'avais bien couché avec Selena et elle était aussi belle. Mais vierge à l'époque. Donc bien moins dangereuse pour mes crocs. Qu'importe. Je me vengerai sur les louves, j'extérioriserai avec elles. Je pouvais les mordre sans crainte, bien au contraire. Les louves des montagnes voulaient des morsures. Elles étaient trop sauvages pour qu'on puise les comprendre, nous les loups qu'elles disaient de compagnie. Jamais ceux des montagnes ne se seraient approché des humains. Ils vivaient dans les Rocheuses, comme les animaux que nous n'étions plus. Comme nos ancêtres. Et l'un de mes enfants hurlait dans leur montagne. La brune était sa mère et elle portait ma marque. Je n'aimais pas ce qu'on m'obligeai à faire. Je n'étais pas un putain de cheval de reproduction. J'espérais que Nicky ne serait jamais au courant. Jamais.

"Ok on rentre. Mais tu prends un truc dés qu'on arrive. Un cachet ou un truc comme ça. Promis ?"

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Je sentais que cela ne lui avait pas plus que je lui réponde mal. Les yeux au ciel et je pouffais de rire. Bah pourquoi tu m'écoutes pas ? Tu pourrais faire l'ordre que je te dînais. Ça se trouve c'est ce que tu fais à tes heures perdues..Nan,Matt ne fait ça. Je tiens à toi, fait pas de choses bizarres. Je préfère garder tes doigts pour me caresser moi que te caresser toi. Je suis exigeante, je le sais bien mais t'avais qu'à pas me prendre comme copine si ça te plait pas.

Un beau sourire parut sur son visage lorsque je lui dis que j'allais bien. Tu me crois ? Merci pour toi. Je suis bonne menteuse à ce que je vois. Oh mais je rigole mon petit loup. Oups faudra que j'évite de t'appeler comme ça, ça risque de pas te plaire. C'est juste ma tête qui déconne un peu alors chut. Elle déraille totalement mais tu ne pourras pas t'en apercevoir jusqu'à que je te dise des conneries et pour le moment, je le garde pour moi ! Bon, mon lapin ? Non celui-là non plus. Mon poussin ? Encore pire. Même si c'est mignon les bébés poules. Je crois que je vais garder chéri, tu me dis rien quand je t'appelle comme ça même si ça sonne couple marié

Je continuais de le regarder et détaillais chacun de ses potes, chacun de ses traits, tous les éléments qui m'avaient attiré. Trou de mémoire. Pourquoi je suis sortie avec toi déjà ? Quand je te regarde, je sens mon cœur battre mais je venais à comprendre ce que mes amis disaient, que tu ne l'égalais pas ma beauté ni moi. C'est vrai que on te connaît sous un romantique et que moi la romance, j'en suis loin. Je ne suis pas la fille à attendre son prince charmant, je suis plutôt , regarde j'ai tiré la couette, viens contre moi.. Tu me connais bien hein ? Ça tourne plutôt plan cul torride que bouquet de fleurs et dîner aux chandelles. Depuis que j'ai appris à te connaître. Je sais que tu mens. Il est ou le gars romantique ? J'ai jamais pu vraiment te connaître sous cet angle. Combien de fois tu m'as repoussé et au final m'embrasser ? Combien de fois je n'ai jamais pu comprendre ce que tu voulais vraiment.

A plusieurs reprises, je me sentais perdue mais je n'ai jamais baissé les bras. J'ai toujours gardé la même conviction. J'ai toujours que nous deux, on serait parfait. J'y ai cru et j'y crois encore. Ce soir, depuis que tu es entré chez moi, tout a changé. Tu as changé , ton attitude est différente. Ta douceur avait disparu quand tu m'avais prise sur le sol. Je ne connaissais pas cette partie de toi. Tu venais de la découvrir il y a peine quelques heures. Je ne parlais même pas de ta réaction suivante. Tu as fumé et t'es inquiété pour moi. Tu m'as parlé de ce qui se passait actuellement et Lucy a sonné. Tu es redevenu sauvage comme la bête que tu es à quatre pattes. Tu es redevenu gentil et maintenant tu es auprès de ma santé. Tu es attentionné et deviens doux. J'aime bien cette facette de toi. Je me sens plus connectée à toi. Je me sens bien.

Il me faisait rire. Il voulait que je le dope aux médocs et après je me sens fatiguée, même pas en rêve..Sauf si je prends des vitamines en plus mais la..Mon chéri, tu n'arriverais pas à me contrôler. Je serai trop excitée et je risquerai de pas rester sage. Sexuellement, ce n'était pas une bonne idée. Tu voulais que je prenne des médocs mais on va rigoler. Si je fais ça alors je veux autre chose et crois moi avec la tête qui déconne, j'ai des tas d'idées. Une main contre ma blessure et je sentais que le sang commençait à s'arrêter. Je n'avais que presque rien dans ma main. Ce se calmait et ce n'était pas plus mal. Je reposai ma tête contre le siège et cherchait ses beaux yeux pour lui parler :

- On verra quand il y en sera. Parle moi de toi ! Je me rends compte que je ne sais rien excepté que ta famille est composée de nudistes avec des poils.

Te fâche pas hein mais j'ai mal à la tête alors je disjoncte à moitié. Je le fixai avec mes yeux doux et un petit sourire mignon. Je t'écoute, parle moi de toi, parle de tout. On sort ensemble alors je veux apprendre des choses et ce n'est pas le peu que je connaisse grace à te réputation . Tu n'as pas une réputation comme la mienne alors je ne sais rien sur toi ! Par contre, me parle pas des meufs que t'as du sauté. Je veux pas de détails comme tu ne voudrais pas de détails sur ma façon de baiser avec tes potes de foot.oh que oui, je suis sur qu'ils doivent te parler de ma sauvagerie. C'est peut être ça d'ailleurs qui t'as un peu buté sur l'envie de me sauter..

J avais le besoin de m'occuper, le besoin qu'il me parle, d'étendre sa voix et autre chose que ma santé. Si il me parlait d'un sujet qui me captivait pas, j'allais finir par m'endormir d'ennui. En plus, le siège était moelleux, il me tirait vers le sommeil. Non, pas dodo ! Oh je sais, viiooole moi ! Non, calme Nicky !

- Putain ! J'ai envie de ton cul !

Oh oh ! Bêtise. Faut pas m'en vouloir de dire tout ce que je pense.. Okay Chéri ? Et je gardais ce putain de sourire mignon et le regard attendrissant d'une enfant sage alors que j'en suis tellement loin...

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Je sentais le sang s'arrêter dans la moindre de mes cellules, tout comme je sentais mes crocs lentement n'ordonner de mordre dans cette chaire tendre qu'était celle de Nicky. Je grondai intérieurement contre mes pensées. Ma main contre le volant se fit plus dur, serrée à en faire exploser les jointures. Le loup voulait du sang. J'allais finir par exploser. L'argent de ma chaîne me brûlait le torse et l'aconite endormait mes sens. Nicky voulait connaître qui j'étais ? J'allais lui offrir du spectacle. Son corps était une merveille et je ne pouvais plus compter sur rien pour me résonner maintenant que j'y avais déjà goûté.

" - On verra quand il y en sera. Parle moi de toi ! Je me rends compte que je ne sais rien excepté que ta famille est composée de nudistes avec des poils. "

Je manquai m'étrangler et la regardais bizarrement. Elle avait des idées ce soir. Non mais... Ne pas juger ma famille sur ma soeur. Il y avait aussi les petites pestes jumelles mais... Non mais attendez ! Ce n'était pas vraiment sa faute à Lucy si elle était comme ça. Elle prenait très bien sa nature et jouait avec comme elle se jouait de tout le monde. Elle en devenait presque dangereuse. J'éttoufai mon rire dans l'oeuf et lui répondis :

"On est pas tous comme Lucy. Mais on est des loups, c'est contre notre nature profonde tout ses fringues, passer nos journées dans une salle de classe. Sportif dans l'âme, ta sûrement du voir les muscles de Lucy et les miens... Tu les connais bien."

Mon sourire etait charmeur, le loup fier et sur de lui refaisait surface. Dragueur. Je cachais bien mon jeu paraît-il. Je faisais profil bas au lycée par ce que Mathieu me haissai. Et que je n'étais pas cette enflure que faisait naître le loup. Nicky le faisait bien plus ressortir que je l'aurais voulu. Cette part de moi-même était dangereuse. Comme tout les loups, contrôlé ou non pas notre part animale...

" - Putain ! J'ai envie de ton cul ! "

Hein ? Et après tu veux pas aller à l'hôpital ? Et ta connerie aussi ? Remarque, moi aussi j'avais envie de ton corps poupée. Mais je gardai ça bien enfoui au plus profond de moi.

"Et après, tu veux pas aller à l'hôpital... Te fout de moi j'espère ?"

Oula, quel garçon sérieux j'étais. Quel abruti aussi. De toute facon, elle ne voulait pas de moi, elle se barrait. Je la retiendrai, ça c'était sur. Même si je l'aimais, elle était libre. Les louves étaient reines. J'étais bien le fils dune des seules Alpha. Si on écoutait notre roi, il en était bien loin. Luis méprisait les louves, la faute unique à la flamboyante Malika... Mais l'heure n'était pas à la splendide Originelle mais à ma trop belle petite amie et son décolleté trop plongeant...

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Réaction étrange. Qu'est ce qui t'arrives Matt ? Tu veux pas me parler de toi ? Mais comment je suis censée faire si je connais rien de toi ? Comment suis-je censée être unis à toi..Tu es quelqu'un de mystérieux.Tu sembles vouloir le rester et tu ne veux pas te dévoiler. Je suis ta copine, tu dois me faire confiance. Je t'aime. Je tiens à toi. J'ai besoin de savoir, j'ai besoin que tu sois le complément de ma vie. Que rien nous sépare, que tu restes avec moi à toutes épreuves. J'ai fait des efforts pour être ton idéal si seulement, je savais à quoi il correspond, si j'avais la moindre idée. Je ne sais pas. Tu ne me dis rien. Le seul reproche que je peux me prendre sans arrêt , sans besoin que tu me le dises, j'ai compris. Je comprends que je suis humaine. Que pour toi, je ne dois te servir à rien. Que je n'ai pas une vie passionnante. Je pourrais tout changer, je peux changer mais cette nature, je ne le peux. Je suis de la porcelaine à tes yeux. Une assiette qui tombe, se brise, s'éclate en mille morceaux. Ne me sous-estime pas, tu ne m'as pas donné une chance. Je ne peux te le prouver. C'est à toi de venir, à toi de me donner ma chance. Je te montrerai que je peux être plus résistance que tu le penses. Si j'échoue, alors temps pis, je te maîtriserai. On trouvera. On trouvera une solution. Il y a toujours une solution à tout problème.

Tu te trouves différent de Lucy ? Euh..niveau pudeur , vous êtes égaux. Niveau sexualité, j'approuve la même réponse mais je ne veux pas de chiffre ! D'ailleurs je suis pas sur que tu arrives à compter jusque là..Je t'aime, hein. Je vois pas trop les différences. Tu me prouves que tu as une fierté. Non, non Matt , je ne mate pas ta soeur. Je veux bien assumer que j'ai un peu de perversité mais de là à mater ta soeur et surtout m'inciter à la regarder. Non mais ça va pas ! Oh que oui ton corps je le connais ! Je connais le moindre trait que forme tes abdos. Je connais la courbe de chacun de tes muscles, contractés ils sont encore plus beaux. Si tu voulais me faire baver, t'as réussi ! T'es con ma parole ! C'est pas le moment de me mettre des images comme ça dans la tête ! Putain, j'ai déjà envie de te sauter dessus..

Tu veux me foutre à l'hosto tout ça parce que j'ai osé dire que je voulais de ton cul ? Non mais n'importe quoi ! On ira pas à l'hôpital. Tu vas voir, je vais te mettre une laisse, c'est MOI qui décide. Help, idée bizarre !! Je te domine. Interdit d'aller à l'hôpital, je sais que les infirmières , ça fait naître des fantasmes coquins chez vous les hommes. T'as cru que j'allais te laisser fantasmer sur autre chose que moi ? Range ta queue, c'est moi qui te dirait quand tu la sortiras ! Tu t'inquiètes quand même lorsque je te parle de sexualité..C'est pas normal. C'est le jour où je te parlerai de Dieu et que je vais rentrer dans un couvent que tu devrais t'inquiéter, oui. J'ai jamais lu la Bible , tu vois alors t'en fais pas pour moi. Je vais bien! J'ai mes idées perverses de d'habitude.

- Ouais, pour mater les infirmières. Non mais t'as cru quoi là ? Pas de liberté ! Je suis ton centre d'intérêt point !

Jalousie quand tu me rattrapes, ça devient horrible. J'essaye de dompter un animal indomptable là. Nicky tu rêves il n'y a aucune chance qu'il t'écoute. Tu sais quoi Matt, merci. Tu as le don de me refroidir bien vite. Je veux ton cul et tu me dis que je suis folle. Ca calme. C'est gentil. J'espère que tu dragues pas comme ça sinon t'as pas pécho beaucoup de meufs. Le mieux pour draguer pour toi, c'est de te déshabiller et de pas parler. Quand tu commences à parler, tu fais fuir surtout à dire des choses comme ça...C'est bien sur ton corps que j'avais flashé, j'avais fait abstinence de tes mots parce que pour le nombre de fois où ils étaient blessants..

- Que tu le veuilles ou non, je l'aurais ton cul ! Il sera calé dans le lit ce soir après t'avoir servi...

Tu m'avais refroidi mais je m'excite trop vite. Je ne suis jamais sage, c'est tout. Tu m'appartiens, quoi qu'il arrive, tu dors avec moi ! J'accepte le nudisme si tu veux avant d'aller te coucher parce que y a des choses à regarder mais sinon non , non. Tu m'enfiles un truc ! Si tu savais que tu allais te servir de tes performances sexuelles ce soir. Je te séduirais et tu ne sauras pas me dire non. C'est vrai que je n'ai jamais essayé de t'exciter ni de devenir sauvage avec toi. Tu ne sais pas comment je suis lorsque je suis comme ça. Tu ne connais aucun de mes talents sauf si tes potes de foot t'ont expliqué ma façon de procédé..Ouh tu vas voir Matt. Tu vas voir ce que ça donne Nicky au lit, lorsque elle est elle -même.

Non. J'en sais rien si c'est une bonne idée mais si je suis douce, ce n'est pas moi. Ca ne serait qu'une part de moi. Je n'ai que de la douceur dans un câlin, bras dans les bras, bisou d'amoureux..Rien d'autre. Si c'est ton idéal, si c'est comme ça que je dois me comporter alors je le ferais. Si je dois être calme au lit, je le serai. Je prendrais mon pied mais..je me sentirai inutile. Pour le moment, je n'en étais pas là. Je devais attendre la guérison de ma tête avant de penser à cette nuit, à la nuit chaude que j'allais avoir !

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Mes paroles ne te plaisent pas ? C'est vrai que je ne suis pas Mathieu. Va y, tire toi avec le quaterback. De toute manière, ce n'est un secret pour personne qu'aucune de lui résiste et que vous vous entendez bien trop. Je ne suis pas stupide, j'ai bien vu les regards que vous échangez sur le terrain. Va y, dit le qu'il est bien mieux que moi. Mathieu, le grand Mathieu est tellement superieur à tous les autres gars de ce lycée. Vous avez dit jaloux ? Pas le moins du monde et j'étais totalement ironique. Moi, il me suffisait d'être là avec un corps parfait que lui, des qu'il ouvrait la bouche, c'était tellement dragueur qu'il en devenait exaspérant. Ce mec se prenait pour un véritable dieu, et si fier de lui qu'aucune fille ne lui résiste. Même Lucy avait eu vent des exploits du quaterback. Mais il était trop doux à son goût, elle ne s'était pas approchée de lui.

" - Ouais, pour mater les infirmières. Non mais t'as cru quoi là ? Pas de liberté ! Je suis ton centre d'intérêt point ! "

Je ne répondis rien à ses paroles. Je réfléchissai. Les gars m'avaient que trop parlé des prouesses de Nicky. De sa sauvagerie presque animal. J'étais un loup et je ne possède aucun maître. Tu n'en seras pas un Nicky. Un Alpha est libre et il ne faut vouloir lui mettre une laisse, vouloir le diriger à son bon vouloir. Détruire la liberté du loup et c'est lui même que vous détruisez. On ne met pas de chaîne à un loup. Nous les avions trop porté sur Ludtyvia. Nous n'étions pas domestique. Jamais. Par contre sa jalousie des infirmières me faisait rire. Pourquoi à ce point ? Elles n'étaient que des femmes comme les autres et ce n'était pas une blouse blanche qui allait changer ça.

" - Que tu le veuilles ou non, je l'aurais ton cul ! Il sera calé dans le lit ce soir après t'avoir servi... "

Ok.... Non mais elle croyait sincèrement quoi ? Que j'allais lui obéir comme ça, en tirant la langue comme un clebard aussi ? Et donner la patte ? M'enfin, parle pas trop de mon cul, tu ne sais pas ce que je suis capable de faire avec. Mais ce genre de pensée, j'allais les garder pour moi même. Si elle etait au courant, elle allait se barrer bien vite. Et je n'allais pas dire que j'étais vraiment pour le fait qu'elle se casse. Au contraire. Mais mon esprit tournait en boucle ce soir. Lucy... La jeune louve avait disparu, et je ne savais dans quelles histoires sordides elle était aller se ficher. Mais je ne viendrai pas la chercher. Je ne viendrai plus la chercher. Elle voulait jouer l'adulte, qu'elle reste. Je n'avais rien à ajouter.

"Tu crois vraiment que les infirmières me font bander ? T'es bien plus sexy à toi toute seule qu'une armé de meuf en blouse blanche."

Wahhh. J'avais sortie un truc digne de Mathieu ! Un truc gentil. C'est bien Matt. Tu fais des progrès fulgurants ! Mais ce n'était pas tout, mais les idées dans la tête de ma petite amie, j'avais peur de les comprendre. J'étais plutôt heureux de ne pas être de l'esprit. Lire ses pensées, merci du peu. Elle devait penser à des trucs que je n'imaginai même pas.... Oui, sûrement après tout, c'était de Nicky qu'on parlait.

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Bah mon petit bébé à poil ne répond plus ? Il t'arrive quoi ? Tu essayes de réfléchir ? N'essaye pas trop, je voudrais pas que tu finisses par avoir trop mal à la tête. Qu'est ce que t'es mignon quand tu réfléchis. Tu fronces doucement tes sourcils et te concentre, que c'est craquant ! Oui, je sais, je te regarde avec les yeux grands ouverts en admiration. J'aime tes beaux yeux. Ouais et pas que ça...J'aime la forme de ton visage. J'aime ton air de nié sur ton visage. J'aime tes lèvres lorsqu'elles m'embrassent. J'aime tes cheveux doux et blonds à la fois. J'aime la chaleur de ta peau dans laquelle je veux me lover sans cesse. J'aime les rougissements de tes joues.J'aime les regards que tu poses sur moi. J'aime ta musculature. J'aime la forme de ton cul. J'aime ta façon de t'habiller. J'aime ton odeur. J'aime te tenir contre moi. Je t'aime tout simplement. J'aime le loup que tu es, je t'accepte. J'ai signé pour toi, j'ai pris tes défauts, ta masse de poils fulgurantes, ta sauvagerie, ton idiotie. Je t'ai pris toi et pas un autre.

Comme ça, tu ne fantasmes pas sur les infirmières. Hum...alors tu fantasmes sur quoi mon chéri ? Sur moi, oh c'est trop gentil mais je le sais déjà. Il n'y a pas que toi qui fantasme sur moi. Je ne suis une jolie femme pour rien. Si on m'a fait belle, ce n'est pas pour être inutile. Gentil Nicky avec Matt, il est ton homme. Tu n'en as pas eu avant alors la délicatesse ça te connaît pas. Je sais bien. Ne mords pas, reste sage dans tes propos malgré qu'il kiffe lorsqu'on le mord mais on va éviter ce genre de comportement parce que si je mords, ça finira par quoi après ? Je mords, tu me mords. Je t'embrasse, tu m'embrasses. Je me prends un mur, tu me plaques contre celui-ci. Je te déshabille, tu me déshabilles. Je te caresse, tu me caresses. Je t'aime et tu me sautes. Voilà les tournures que ça risquait de prendre mais Nicky, on va rester sage. Tu vas apprendre à te contrôler !! Si Matt s'excite de trop, sa queue va trop vite remuer et là il aurait beau essayer de faire doucement en te mettant sur un lit que le lit risque de lâcher...

Oh mon Dieu et c est ça que j ai pris comme copain ? J'ai pas commandé un démolisseur, je compte pas refaire mon mobilier. Mes parents seraient pas contents ! Entre Mathieu et Matt, ta déco intérieure et refaite ma chère Nicky ! A croire que j'aime pas les hommes doux..ouais bah si je fais un peu de Maths, ça donne un Mathieu + un Matt = Un Alec tout beau tout sauvage ! Ouais bah en faite non merci.... Autant combiner Mathieu et Matt dans un plan cul ! Oh mon dieu !!! Un plan de cul des deux blonds ! Matt et Mathieu sont réunis dans mon lit. Moi, au centre et aux deux rien que pour moi ! Le rêve, un rêve absolu ! Chéri, tu penses que tu voudrais bien me faire ce plaisir ? C'est une belle preuve d'amour nan ? Offrir à sa copine un plan cul de ouf ! Nicky retire toi ça de la tête. Ce n'est pas une bonne idée, du tout. Confronter deux mecs sauvages, ou là ça risquerait de finir mal ! Je regardais Matt, essayant de faire ressortir mes pensées immédiatement :

- Merci. C'est pour ça que tu m'as choisis, moi. Sens toi honorer à ton tour, tu es le premier homme avec qui je sors.

Je joue à quoi la ? C'est pas moi la romantique dans l'histoire ! J'ai l'air d'être ton ex inoffensive qui se mettait à chialer tout le temps ! Oh mon dieu, je chiale mon mec m'a abandonné. Pauvre gamine, t'avais pas de seins. Tu ressemblais à rien. Peut être pour ça que Matt t'as choisi. Il était sur qu'avec toi il pourrait faire tout ce qu'il voulait sans problème. Matt m'avait parlé que les infirmières ne le faisaient pas bander alors moi oui . J'y arrivais. Je peux jouer ? Ça te dit de jouer avec moi ? Arriveras tu à me résister ? Un conseil mon beau, tu ferais mieux d'appuyer sur l'accélérateur pour rentrer plus tôt...

- Si elles te font pas bander, moi oui... Qu'est ce qui t'excite le plus chez moi ? Non..en faite, je veux pas savoir. Je vais trouver.

Dans la voiture, la température était ambiante. De toute façon, vu la migraine que je me tapais encore. J'avais chaud ! J'avais chaud aussi d'excitation ! Bah oui avec Matt, c'était vite chaud bouillant entre nous. Et hop, un petit haut sexy qui se déboutonne, qui libère mon ventre, qui fait découvrir un soutif, qui fait apparaître une partie de mes seins. Je le regardais d'un air amusée :

- T'aimes pas beaucoup les vêtements alors je respecte. Je fais un effort pour que ça te plaise.

Oh mon cul, Nicky ! Ouais, c'est à moi que ça plait de me déshabiller. Bon allez, je veux savoir si juste ça, ça peut t'exciter ! T'en penses quoi de moi Matt ? Oh je sais que tu aimes ça. Je sais que tout mec aime quand sa copine de déshabille pour son plaisir. Tu es pas différent. Tu ne saurais pas résister à l'appel du belle poitrine ou même l'appel de mon postérieur ! Je suis ta femme et on aime profiter de ce qui lui appartient !

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"- Merci. C'est pour ça que tu m'as choisis, moi. Sens toi honorer à ton tour, tu es le premier homme avec qui je sors. "

Qu'elle est mignone. Je n'habitai plus très loin maintenant et encore heureux parce que je n'aurais pas pu résister plus longtemps. J'allais finir par voir double. Elle n'avait pas idée de l'effet qu'elle me faisait. Je voulais du sexe, je voulais la voir se cambrer sous mon corps. Je voulais l'entendre jouir. Au final Nicky, tu ne sais pas ce que je vaux au lit. Tu n'imagine pas l'expérience que j'ai. Mais mieux que tout, tu devrais remercier Tarek. A trop couché avec un sylvain, à trop sentir l'odeur de son sang, celui des humains m'étaient devenu moins dur à supporter. Je tentais de me convaincre là. Je savais très bien que c'était les ordres du roi qui m'avait rendu plus sauvage. Je ne savais ce qu'il me voulait. J'avais presque peur de ses ordres. C'était trop énervé qu'il m'avait convoqué...

"- Si elles te font pas bander, moi oui... Qu'est ce qui t'excite le plus chez moi ? Non..en faite, je veux pas savoir. Je vais trouver. "

Question piège, mais heureusement, elle n'attendait pas de reponse. Je ne la quittai plus des yeux, la regardant plus que la route. Je manquai m'étranger lorsque quitta son haut. Je sentais les fourmillement monter dans mon bas ventre. Je ne pouvais me controler. J'allais finir par exploser et attaquer. Je sentais même les crocs grossirent dans ma bouche. Oh putain...

"- T'aimes pas beaucoup les vêtements alors je respecte. Je fais un effort pour que ça te plaise. "

Et un éclat de rire m'échappa. La voix joueuse je lii répondis :

"Et, c'est pas ma faute si les vêtements disparaissent lors d'une transformation. Mais j'suis pas Lucy moi, j'suis pas encore naturiste."

Je rigolai sincèrement là. Cette fille était parfaite. Je crois que je t'aime Nicky. Ouais, je crois que t'a réussi à me faire tourner la tête. T'as envoyé bouler les quelques remords que j'avais vis à vis de Lucilla.

Je ne m'en étais pas rendu compte, mais je roulais de plus en plus vite. Le désir me hurlait d'aller encore plus vite. Je le faisai. J'étais un animal. Je devenais un animal. Je ne pouvais me controler. Je ne pouvais m'échapper de la force du loup. Tu peux voir le mal en moi Nicky ? C'est lui qui t'attire ? Je ne comprenais toujours pas qu'une fille comme toi puisse aimer un gars comme moi. J'étais un loup. C'était ça qui me rendait si particulier. Je connaissai l'influence qu'avait notre odeur sur les femmes. Surtout sur les filles comme Nicky. Puis c'est vrai que j'étais loin detre laid. Je netais pas Mathieu mais je n'étais pas un loser. Enfin, j'avais quand même du mal à comprendre. Nicky était dans les catégories... Supérieures, les tranches de la population qui vivaient dans un autre monde. Je n'étais rien à coté. Je devais arrêter de me dénigrer. J'étais un Alpha, j'avais tout les droits. Toute la force de mon coté.

"Ton corps est parfait, et tu vas comprendre pourquoi les loups sont considérés comme dangereux ma belle"

Je ne faisai même plus pitié, c'était pire. Pourquoi les humains avaient-ils besoin de parler. C'était plus facile chez les loups. Nos corps parlaient pour nous. Et puis c'était tout. Un couple se formait et l'amour d'un loup ne mourrait normalement jamais. À trop vivre aavec les humains, nous devenions comme eux. Les loups des montagnes avaient sûrement raison de se tenir éloigné des villes et des hommes. Mais on gagnait tellement plus. Nicky était mon pansement sur ma gorge brûlée par les chaînes que je m'étais imposées. J'avais changé, le museau tourné vers le mal.

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Mon chéri, qu'est ce qui t'arrives ? Tu es soudainement pris par trop d'hormones. Faut pas agir comme ça, je porte encore mon soutif et j'ai encore mes vêtements en bas. Calme toi ! Je serai à poil je comprendrais mais la whaou ! Je suis à ce point trop belle ? Je ne pensais pas, je pensais que même toi je t excitais pas si vite. C' est génial tout de même, de sentir que aucun homme ne peut résister à l'appel de ma poitrine. Je sais mon chéri, tu as envie de moi. Je t'envoie terriblement. Ne m'en vaut pas de m'être déshabiller. Tu ne le peux pas. Tu aimes trop ça. Toi, tu vois, t'as pas besoin de te déshabiller pour que je sente excitée. Tu me donnes envie juste par ta présence. Bah oui, je veux profiter de toi. Je n'en ai encore jamais eu le droit. Tu crois vraiment que je vais laisser passer une chance en or ? Tu y crois vraiment ? Tu te trompes...

Il me regardait de trop. J'aime bien ton visage mais tu sais, j'aime bien quand tu regardes la route aussi. Je me sens mieux. Je suis trop distrayante, je le sais. Le pourquoi il ne faut ' pas m'avoir en voiture. Tu en avais fait les frais la première fois qu'on s'était parlé. La voiture arrêtée et tes bouffées de chaleurs, tu ne savais pas me dire dégage que la seule chose que tu voulais c'était me sauter. Qu'est ce qui t'avais encore attiré ? Et bien, mes seins, encore. Je crois que tu les aimes vraiment, comme tout homme. Une belle paire de seins et ça y est, il faut que vous les ayez. Sois content de ce côté, j'ai été gâtée par la nature. On peut pas dire que je sois mal foutu. Je suis une bombe, ta bombe. Je suis ta femme, la femme que tu possèdes, que tu as réussi à rendre à l'état casée. Tu m'as enchainé à toi. Tu es ma moitié, je ne peux me passer de toi. On est unis. Je t'ai apprivoisée pour que tu m'appartiennes et crois moi, tu es le premier dont j'ai essayé d'obtenir plus que ton cul, même si je dois encore l'admettre. Je veux TON CUL ! Toi, je t'ai voulu de 1 parce que tu étais casé et que je t'avais pas encore touché. Je l'aime pas ton ex. Je voulais la faire chier sauf que j'ai compris pourquoi elle était tombée amoureuse de toi. Je suis tombée dans le même piège. C'est ton côté mignon qui m'as rendu impuissante. Ton côté sauvage n'a fait que grandir mon envie de t'avoir. Je sais, je suis sûrement la première copine que tu as de si semblable à toi, du point de vue sauvage.

Tu ries á mes paroles et je t' observe imitant ce même sourire qui se dessine sur toi visage. Je sais bien mon chéri que si tes vêtements disparaissent, tu n'y peux rien. Je vais pas dire que ça me déplaît. J'aime bien ton corps et je me suis habituée à le voir souvent presque dénudé. Je m'en fous que tu sois naturiste ou pas. Ton corps me plait que tu te promènes un ou avec des fringues je m'en fous même si je préfère la première option. Je suis pas vraiment branchée fringue moi aussi. J'ai une habitude á me promener chez moi en sous-vêtements. Bien entendu quand y a pas de parents dans la maison sinon non merci. Mon petit cul, mes parents l'ont assez vu quand j'étais jeune, pas besoin de le voir une fois de plus.

Tu sais, reste nu ! Je m'en fous. J'aime bien ton corps. Ça m'en fait toujours plus à mater !

Ouais bah oui j'étais directe. C'est la vérité, j'aime bien son corps alors quand je peux en profiter, j'en profite. Par contre ta sœur, non quoi ! Si je suis là , je vais lui apprendre à enfiler des fringues. Pire qu'une gosse ! Lucy doit mettre des vêtements. On s'habille. Comment vous avez fait pour les fêtes de Noël ? C'était tous devant le sapin dans la forêt ? Tous à poil entrain de chanter les chants de Noël ! Merci quoi. Lucy s'est foutu une guirlande autour de la taille pour faire genre esprit de Noël et toi matt chérie, t'as essayé de te rajouter des boules... Putain les images que je me mets pas dans la tête parfois. Ça devient grave.

Ses phrases me calmaient directe. Il me disait quoi la ? Mon toutou veut jouer ? Tu te sens dangereux, vraiment...? Mon bébé si tu savais ce que je valais qu and j'étais excitée, quand je voulais donner le meilleur de moi dans un lit. Mais j'allais pas le faire. Je ne sais pas quoi faire avec toi. Te sauter dessus n'est pas une très bonne chose si tu t'excites de trop, je pourrais pas te contrôler. Je sais faire monter la bête de ton pantalon mais la faire descendre. Je sais pas faire. La seule façon c'est d'aller au bout, de l'épuiser mais si je fais ça. C'est tes dents que tu vas sortir pour me mordre et j'ai pas vraiment envie d'avoir l'empreinte de ta bouche sur moi. Si tu bavais ? Ah beurk !! Pas de bave sur ma peau. Matt la propreté quoi ! T'es vacciné contre la rage parce que je voudrais pas l'attraper. Faut que je pense à vérifier ton haleine aussi parce que quand tu es loup, les bonbons à la menthe ou le brossage des dents, je doute qu'il soit régulier. Bon, si je pense à quand tu m'embrasses, ça le fait. Ta haleine est normale. Enfin, je sais pas trop, je m'amuse trop à caresser les mailles de tes dents et jouer de ta langue. Oui bah quoi ? Hein, du moment que ta bouche ne fouette pas tout me convient!

J'aime le danger. Si tu cours si bien que tu sautes alors je veux. Fais moi rêver!
Je voulais qu'il me vende du rêve, ce soir. Je voulais que son corps s'emboîte dans le mien sans difficulté. Qu'il me prenne dans tous les sens, toutes les positions qu'il face de moi la femme la plus comblée. Prouve moi mon chéri que tu sautes bien. Que tout à l'heure n'était pas un coup de chance, que tu sais me rendre heureuse au lit !

Je veux tout. Montre moi que tu t'y connais dans ce domaine et je serai ta femme la plus sage. En fonction de ce que tu préfères, tape au bon endroit, je serai soumise à tes désirs.
Un petit clin d'œil sexy et je devenais une vraie perverse. J'aime envie de Matt ! Je veux qu'il me grimpe dessus et si il veut pas, je le forcerai. Il pourra pas me dire non ! Je suis son bébé et un bébé, ça a besoin d'être sautée ! Enfin... Les bébés de mon âge, interdit pour les 0-3 ans.

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Cette fille me rendait littéralement fou. Je n'arrivais vraiment pas à me la sortir de la tête. Je savais que c'était loin d'être correcte, que je mennai un putain de double jeu qui pouvait se retourner contre moi à chaque instant. Mais mon coeur était partagé en deux, entre la bombe qui me faisait face, qui réveillait bien trop vite le loup en moi, elle et son putain de corps parfait, et puis Tarek, le même Tarek qui me voyait partir dans un autre monde, le même qui me donnait envie de me coucher à ses côtés et d'oublier tout. Il me donnait envie de courir, encore et encore pour découvrir un destin dans lequel je ne pouvais croire. Le même par lequel, pour lequel mon roi m'avait enchaîné. Vous en êtes vous rendu compte l'une ou l'autre. Que l'argent et l'aconit n'encadrent plus mon cou. Qu'ils n'enchaînent plus mon esprits loup. Non, bien sur que non. Je n'étais pas grand chose à vrai dire. J'avais juste peur de comprendre...

Pourquoi je pensais à ça hein ? Putain mais j'étais vraiment le dernier des cons. J'étais pourri jusqu'à l'os. Un chien. Rien d'autre qu'un chien de compagnie, soumis à son maître et roi...

Je garrai la voiture, perdant mes esprits face aux sourires et regards de celle que je pouvais vraiment nommé avec une fierté sans nom ma petite amie. Je ne pouvais être parfait. J'étais un voyou. Un monstre de défaut. Mais tant pis. Tant pis. Je la pris dans mes bras, l'embrassant. Je fermais la porte du pied, la tenant dans mes bras comme une mariée et la portait jusqu'à ma maison. Quelques lumières étaient encore allumées, mes parents étaient là. Lucy n'était pas rentrée, je ne sentais aucune presence dans sa chambre. Tant pis pour elle. J'en avais marre de la sauver en permanence. Elle n'avait pas compris que ce n'était pas le moment de se faire remarquer... Mais cette nuit, c'était une autre femme qui avait le centre complet de mon attention. Je la montai jusqu'à ma chambre, une chambre normal de mec, plutôt normale. Mais c'était mon petit sanctuaire. Surtout l'endroit où elle allait s'approcher du paradis.

Je l'allongeai sur mon lit, quittant mon haut, et détachant son soutien gorge, laissant mes mains courrirent sur sa peau. Dieu qu'elle était cette fille dans mon lit. Était-elle simplement humaine ? J'avais dut mal à y croire. Cette nuit était à moi. Et ça, je ne le laisserai pas passer. Même si je sentais le loup grandir en moi. Le mal m'avait trouvé. Oui, ce serait un combat de chaque instant de coucher avec elle. Je le savais. Mais qu'est la vie sans risque. Qu'est-ce sinon un monde platonique. Je ne voulais pas de ça. Je n'étais pas cette imbécile d'Edward Cullen. Elle savait ce qu'elle risquait. Tant pis. Tant mieux. Je n'en savais rien mais je ne pouvais plus lutter. Plus maintenant. Je ne pouvais lui refuser ça, alors que je ne le refusai pas à Tarek. Marre d'être le gentil garçon. Le mal s'emparait de moi un peu plus à chaque nouveau battement de mon coeur. Il se déversait dans mes veines comme mon sang. Je n'en avais que faire. Tant pis. C'était trop tard pour reculer.

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A aucune moment mes yeux n'ont perdu un instant de contemplation sur le visage de Matt. Ils ne regardaient nullement la route, seul noyés dans ses beaux yeux bleus dont ils ne pouvaient se passer. Je devais me rendre à l'évidence, je m'attachai à lui comme je ne l'avais fait avec aucun homme précédemment. Je devenais sentimentale et je ne sais pas où ça me mènera dans le futur. J'ai peur, j'ai peur de me perdre dans l'amour que j'éprouve. Tu m'as enfermée dans ton cœur et je ne pourrai jamais en sortir. Je ne connais pas la sortie et je ne veux pas la connaître. Je suis entièrement à toi. Je t'appartiens intégralement. Tu es l'homme qui a conquis mon cœur, tu as réussi là où des tas d'autres ont échoué. Je ne pensais que quelqu'un comme ça me fera tourner la tête. Tu m'as rendu folle dès les premiers instants, j'ai été tendre avec toi. J'ai brisé ton couple pour t'obtenir. Et oui, j'ai réussi. Je l'ai voulu et j'ai gagné. C'est moi que tu as prise comme petite amie mais je n'étais pas celle à prendre. Tu as pour petite amie une belle salope comme dirait la plupart de tes potes une chaudasse salope qui te trompe. Peut être qu'ils ont raison quelque part mais là où ils font erreur,c'est que mon cœur ne t'a pas trompé, il ne t'a pas abandonné. Il a toujours cru en toi et moi.

Quand je te regarde, je me dis que je te céderai tout. Demain, tu veux qu'on habite ensemble et je répondrai oui. Demain, tu veux un enfant et je dirai oui. Demain, tu veux m'épouser et je répondrai oui. Cela ne fait pas longtemps que nous sommes ensembles mais je ne pense pas faire erreur sur nous deux. Il y aura toujours les problèmes de sexe mais on fera avec. On trouvera des solutions, il y en a toujours. Je souffrirai quand tu iras voir ailleurs et tu souffriras quand j'irai voir ailleurs. On l'a accepté et ça ne changera plus.

Il n'y avait aucune paroles que l'on échangeait. Aucun échange de paroles, seul le silence régnait. On arrivait et tu vins me prendre comme un homme, un digne gentlemen. J'aimais ça et la fraîcheur de dehors qui me tombait dessus ne me gênait pas comparé au bien-être que j'éprouvais dans tes bras. Tout était trop mignon. Tu me montais à ta chambre sans me laisser le droit de poser un pied à terre. Je rencontrais ton lit dans l'immédiat. Qui l'aurait cru que la première pièce visitée fut ta chambre ? Nicky,non tu n'as pas le droit de marcher , seule de t'allonger dans le lit. Ça va il y a pas trop de profit sur moi ? Je ne disais rien. Je ne devais rien dire. Je laissais ce long silence.

Il retira son haut et je compris que ça ne sera qu'une question de temps avant que le moment tant attendu débute. Il retira mon soutien-gorge et je le laissai faire ce qu'il voulait. Je me perdais juste trop facilement dans ses yeux avec ce même sourire con qui voulait dire je t aime. Je restai calme, pourquoi ? Parce que je le devais. Sauvage, je le serai après. Je laisserai passer ses désirs avant les miens. Je voulais qu'il se tienne épuiser en espérant obtenir plus de facilité pour le dominer par la suite. Et oui, baiser doucement, ce n'est pas vraiment mon dada. Je ne sais pas si c'est le tien alors je vais te laisser faire ce dont il a l'habitude de faire mais fait attention à toi car tu ne sais strictement rien de mon entière expérience. Ce que t'ont raconté tes potes n'est que ce qu'ils ont eu et je ne donne que le meilleur aux personnes d'exception, celles-ci se comptent sur les doigts de la main. Je ne donnerai pas les noms, tu les connais sans doute.

Je le regardais poser ses mains sur mon corps et j'eus une soudaine pression d'excitation que je bougeais légèrement de ma place. Excite moi plus que ça, Matt car pour le moment tu fais trop sage. Je vais te donner un petit coup de main, ne t'en fais pas. Je calais mes mains autour de son cou et l'embrassa de façon sensuelle. J'attendais le moment de faiblesse lorsqu'il me rendit mon baiser pour faire pression sur ses épaules et le tirer collé contre moi. Je n'avais pas vraiment de force mais dans un lit, l'appel du cul me rend plus forte. Et si lui voulait s'occuper de mon corps alors je m'occuperai du sien. Je devais faire grimper l'échelle de son excitation et il n'y avait rien de plus facile que de simples baisers bien placés. Un baiser dans le cou, puis deux, puis trois, à n'en plus finir, des mains qui se logeaient vers son ventre et détachaient son pantalon avant de lui baisser et des ongles qui caressaient la peau de son torse faisant opposition par de la douceur.

Je m'approchais doucement de son oreille et ma voix douce jaillit :

Prends moi comme un homme sait le faire et ne t'arrête jamais !

Je lui mordillais subitement l'oreille et si je ne faisais que mordiller, je savais qu'il aimait ça qu' on le morde alors je lui mordais gentiment l'oreille juste à en laisser une marque de dents pour quelques minutes. Bondis moi dessus, je n'attends que ça. Deviens sauvage enfin.. Pas trop, te transforme pas, je suis pas prête à faire de la zoophilie. Je n'en pratique pas et j'ai pas tellement envie d'essayer..D'accord chéri ?

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" Prends moi comme un homme sait le faire et ne t'arrête jamais ! "

Ses dents contre mon cou me rendait fébrile. Cette fille avait un effet sur moi difficilement explicable. Elle était belle, et ça, personne ne pouvait dire l'inverse. Je laissai mes yeux se couler quelques secondes dans les siens, trouvant tant de façon de dire "je t'aime". Le regard est la porte de l'âme. Le mien était focalisé sur Nicky et j'étais encore entièrement surpris que ce soit moi qu'elle ait choisi. Moi, façon à tant d'autre bien meilleur. D'autres qui ne l'auraient pas fait souffrir de la sorte, qui n'auraient pas regardé ailleurs, d'autres qui plus que tout ne seraient pas resté à coucher avec un autre homme. Le monde ne se limitait pas aux bons choix mais je n'en étais pas un pour Nicky. Elle s'attachait à quelqu'un qui ne pouvait que la faire souffrir. Je l'aimais, oui c'était sur, mais mon corps battait aussi plus vite en présence du sylvain qui etait maintenant aussi loup que moi. Je n'avais plus peur de briser ma poupée de porcelaine. Moins peur en tout cas que de briser l'oeuvre d'art qui se trouvait à l'instant devant moi. Pourtant, je ne laissai voir rien du cheminement de mon esprit. Mon corps de loup avait reprit le controle sur mon esprit, gardant avec joie ma forme humaine pour mieux satisfaire ses désirs.

Je capturai ses lèvres avant de les descendre de plus en plus, embrassant son ventre plat pendant que mes mains rejoignaient sa poitrine. On pouvait dire ce que l'on voulait, mais je savais être doué au lit. Très doué même. Je retirai mes mains de sa poitrine, defaissant les boutons de son pantalon avant de retourner aguicher ses seins. Mes lèvres embrasserent son sexe, expertes dans ce qu'elle faisait. Jamais donner du plaisir à la fille qui partageait ma nuit. Du moins, lorsqu'elle était ma petite amie. Les louves n'avaient jamais droit à cela. Je les sautai, elles partaient et nous n'en parlions plus. Alors que là. Je voulais lui montrer de quoi j'étais capable, lui prouver que j'étais mieux que les autres. Je savais que les filles adorent ca en préliminaire. Nous aimions les pipes, elles les cunis. Presque synchro. Et puisque cela ne me dérangeait pas le moins du monde de faire ça à ma petite amie, je lui offrai un secret du bout de mes levres et de mes doigts. Doux mais pas trop, léger mais insistant. J'avais envie d'elle et mon corps ne my trompait pas. Je brûlais litteralement de désir pour la splendide créature qui partageait mon lit. Je n'aurais pu rêver mieux qu'elle. Elle était... D'une perfection presque douloureuse. Et j'étais fou d'elle.

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Tout ce dont je mourrais d'envie se réalisait. Pour avoir attendu ce soir ? Pourquoi ne pas s'être livrée à moi avant ? Je n'en savais rien et ce n'était pas le moment de poser la question. Je n'avais jamais l'esprit vide, même quand il s'agissait de sexe. La plupart des hommes qui m'ont satisfaites n'étaient pas à la hauteur. Je me perdais dans mes pensées alors que je devrais m'éclater pleinement au lit. Ce n'était que du demi-plaisir. Je réfléchissais toujours trop mais mes parents m'ont donné l'intelligence nécessaire.. Je n'y étais pour rien. La seule chose qui me rendait stupide c'était l'amour, celui que je te porte. Tu me fixais et je faisais de même comprenant bien vite qu'il se pourrait que tu m'aimes autant que je t'aime. Je baissais le regard et m'emprisonnais contre ton corps. Tu descendais ton visage sur mon corps et je me relâchais sur ton lit. Je sentais tes lèvres parcourir mon corps, je sentais chacun de tes baisers, je sentais toute leur chaleur et je me sentais heureuse. Le parfait sourire apparaissait sur mon visage, mes yeux étaient remplis d'amour. J'avais la tête levée, les yeux en direction du plafond blanc. Ils se fermèrent, s'abstenant de toute image. Tes mains, tes lèvres, à elles seules savaient me rendre heureuse. Elles étaient toute bien placées et faisaient accélérer les battements de mon cœur. Tu devais sentir que mon bassin ne tenait pas en place, que tout mon corps ne pouvait trouver mieux que TOI et qu'il ne voulait que toi. Tu le maîtrises et il se laisse faire. Il te laisse faire ce qu'il te chante. Il ne veut que toi et je ne veux que toi.

Je tirais le visage vers l'arrière. Mes lèvres se rencontrèrent et mes dents les mordirent intensément. Des frissons s'étendaient le long de mon corps, mon dos commençait à former une voûte, s'étirant dans toute sa longueur. Tu me faisais rêver Matt. Tu pouvais y aller encore plus fort. Tu pouvais ne jamais t'arrêter. Mes jambes s'écartaient de quelques centimètres. Tu sais tellement bien le faire. Je pourrais hurler ton nom, je pourrais hurler que je t'aime à ne plus en avoir de voix. Je caressai ce qui recouvrait ton lit. Tu me rends folle d'excitation. Tu me chauffes encore mieux que Mathieu et oui, je l'admets. Tu ne fais que de m'exciter. T'es mieux que Mathieu. C'est l'amour que je ressens qui doit faire la différence. Mes jambes se plièrent et s'allongèrent sans cesse. Tu atteins la perfection. Tu me rends soumise. Je le suis totalement face à toi. Tu pousses trop loin, tu vas trop loin. Tu me fais sentir femme. Mon corps entier vibrait. Tu me faisais vibrer un truc de ouf !
J'en peux plus. J'ai besoin que tu rentres en moi mais pas comme ça. Je veux plus de préliminaires, je veux juste baiser mais après, là j'ai mieux à faire. Mes yeux se rouvrirent brusquement. Je me relevais, posée sur mes avant-bras te fixant du regard. Il y avait sur mon visage quelque chose de changé, un air plus sauvage. Je posais un de mes pieds sur ton épaule et le faisait doucement reculer. Je ressentis trop de chaleur en moi. Cela était trop intense ce qui montait en moi. Je m'assieds sur son lit et dis :

Petit cochon !

Je fis un grand sourire à mon cochon et m'approchais de lui puis lui baissa son caleçon. Bah c'est qu'il y a du monde là-dedans ! Enfin, passons le commentaire. Je passais mes mains le long de son sexe et le glissa contre ma poitrine, écrasant mes seins contre lui. Tu m'as excité et crois moi, je vais te rendre aussi chaud que je le suis. C'est notre première ensemble au lit enfin si on considère pas que la baise avant compte. D'facon elle compte pas, c'était trop..rapide ! Mes yeux se noyaient dans ton bleu ne pouvant cesser de te regarder. Je sais que je suis une cochonne mais après les dires de tes potes, tu as l'action au lieu de l'imaginer, je te ferai vivre bien mieux qu'eux. Tu vaux mieux qu'eux. Tu es bien plus performant ! Tu es tout ce dont j'ai besoin ce soir !

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Nicky n'était pas Lucilla. Même si cette dernière pouvait se révéler parfois tigresse, elle restait surtout douce. Des calins, des bisous, parfois un peu de baise mais dans l'ensemble, particulièrement raisonnable. La croix qui pendait entre ses seins voulait dire beaucoup. Avec Selena, ce n'était pas la même, je sortais avec une fille parfaite et qui était loin d'être timide. Mais j'étais trop doux pour elle pour qu'elle alle se réconforter dans les bras d'enflure number one à savoir notre bel étalon, Aèl. Et Noot... J'aurais pu passer des heures à la contempler. Elle était belle, vraiment belle. Pas autant que Johanson, c'était sur, mais belle pour une humaine. Nicky était faite pour un loup. Beauté sauvage, corps sauvage, elle etait inoubliable, qu'importe si elle vous avait choisi ou non. On n'oubliai pas son regard d'émeraude ni les courbes de son corps. On sentait sa présence et on l'admirai de loin. Je devais avoir que je n'avais vraiment cherché à la draguer. J'étais en couple, je trompais déjà ma copine, pas besoin de vivre double encore une fois. Je n'aimais pas ma nature lapine. La présence de Luis m'avait fait ôter mon collier et sa double voix tuer. Mais c'était ma conscience qui en prennait un énorme coup.

Ce n'était pas le moment pour penser à cela. La sublime créature penchée sur moi aurait du occuper l'intégralité de mes pensées. J'étais un loup, j'avais de l'instinct mais je n'avais pas l'intelligence de leur Alaric, je le savais tres bien. Je n'avais pas à être jaloux putain. Pour Nicky, il n'était qu'un sexe friend. Pour Tarek... Je ne disais rien, je n'avais pas à lui faire de crise. Mais intérieurement, je bouillai. J'étais jaloux comme un pou mais je ne dissai rien car lui devait me voir avec Nicky, traîner avec les "populaires" qui me sortaient par les yeux et sa salope de meilleure amie. Je n'aimais pas les elfes. J'étais génétiquement programmé pour les hair, merci à mon sang démoniaque. Lucy avait eu une gourmette en onyx pour ses 13 ans. Nous les loups sommes paisibles en présence d'onyx. Comme notre sang originel.

Je lembrassai une nouvelle fois, goûtant le parfum sucré de ses lèvres. Elle voulait jouer à la sauvage. Très bien, laissons la faire. Qu'elle prenne les commende. J'aimais les filles qui prennent des initiatives.

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Oh il m'énerve ! Je cherche à l'exciter. Je veux qu'il me grimpe dessus mais.. Rien. Nicky tu vas avoir du boulot. Bon, tu sais quoi mon petit père, va falloir être plus actif. Tu sais bien courir après ta queue mais courir après mon cul, t'as l'air d'avoir plus de mal. Il me donne juste un bisou. Grrrr ! Tu me cherches, toi. Tu veux vraiment que je devienne sauvage ? Très bien! Tu vas voir Wolfee, c'est moi qui vais t'attraper ce soir. On échange les rôles, je te chasse et tu te laisses piéger.

Je l'attrapais par le cou et le faisais glisser dans le lit. Je le poussais brutalement pour qu'il s'allonge. Je posais mes lèvres dans son cou, ne cessant de l'embrasser. Je montais sur Matt. J'aime bien cette position, je pouvais dominer d'où j'étais, sans aucune difficulté. Je laissais mes mains froides par rapport à son corps, se promener et s'occuper dans le dessin de ses beaux abdos. Matt, je t'aime tellement. Je ne serai jamais parfaite mais j'essayerai de l'être pour toi. Je stoppais mes mains contre la stabilité de son corps et j'allais venir à l'acte. J'en ai besoin maintenant. Je n'avais jamais couché avec un loup avant. C'était quoi la différence ? Un épuisement plus rapide ? Ou c'était pareil ? Je ne sais pas. Je ne sais même pas si Matt avait déjà couché avec une humaine pour qui il éprouvait des sentiments. Je ne voulais pas le savoir. J'étais unique, j'étais sa Nicky, sa pure bombe sexuelle !

Je me jetai sur ses lèvres. J'enfonçais son visage dans le matelas, un baiser brutal. J'écrasais son nez contre le mien et je laissais faire nos échanges de salives. Je sais pas si c'est comme ça que tu as l'habitude de faire. C'est vrai que je ressemble pas à une louve, moi. J'ai pas de poil, épilée de la tête au pied. Si t'aimes le poils, bah je suis désolée. Je n'ai pas de museau ni de grandes oreilles que je peux tendre. Et tu vois sur ma tête, ce sont des cheveux. Pas une crinière de lion, ni de longs poils. Je sais que je suis aussi sauvage qu'une panthère enfin, je te griffe pas le torse moi. Je griffe,
pas, je mords pas. Ah mais je suis peut être normal alors ?? Trop cool !! D'accord, j'ai déchiré tes fringues t'as l'heure mais ça doit pas te gêner. Quand tu te transformes en bête à poil, t'es à poil. C'est l'habitude ! Moi aussi, je veux courir à poil avec toi. Bonjour le camping naturiste !! Welcome in naked forest ! Une forêt où on peut voir Matt et Nicky courir dans les bois à poil. Vous avez un mec avec autant de poil que big foot mais en mode sexy et... Stop ! Big foot sexy existe ?? Ohhh trop bien ! Bref, Nicky là tu te tapes Matt et non big foot. L'un est un fantasme, l'autre un monstre et t'arrives encore à être excité ? Wahou je me surprends !

Je me reculais doucement et lui léchais les lèvres, amusée. Prêt à commencer, mon bébé ? Moi, mon derrière n'attend que ça ! J'étais radical. Je voulais que le corps de Matt et le mien ne fasse qu'un , qu'ils soient unis pour ce soir. Je le faisais pénétrer à l'intérieur de moi, prenant appui sur ses muscles. Oh mon bassin était au ange !!! Je prenais ses deux mains et me les collais sur mes fesses. Serre les moi, compresse les, mords les moi, ah oui non..on va éviter ça. Je compte bien garder mon derrière rebondi. Tiens moi bien mon bébé, je ne sais pas combien de temps je tiendrai mais je veux tenir alors facilite moi les choses.

Je fixais le visage de Matt, ses beaux yeux. Je me mordais la lèvre, putain que c'est bon avec lui ! Je rêve. Tu es l'homme de mes rêves! Tu vois mon chéri, si j'ai un cul musclé juste comme il faut, c'est grâce à tous les mecs comme toi qui me sont passés dessus, à Mathieu en particulier mais aussi aux entraînements de cheerleading. Je pourrais hurler ton nom, chéri ! Je pourrais raconter que tu es juste trop bon au lit mais je ne te dirais rien car tu es à moi et je ne partage pas ! Ce qui m'appartient, m'appartient.

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