Mon Histoire
Vous êtes vous déjà demandé, en vous levant pourquoi disait-on que la vie était un long fleuve tranquille? Je me suis posée la question à plusieurs reprises.
Tout à commencé le jour de ma naissance le 22 Octobre 1994 dans le Montana. Ma mère ce trouvait accompagnée de mon frère de 10 ans tandis que mon père les avaient quittés 6 mois plutôt. Elle m'avait donnée le prénom d'Elalye en hommage à une ancienne guerrière des romans qu'elle aimait tant. Ma petite vie avait bon train jusqu'à l'age de mes 8 ans. Alors que j'étais en classe préparatoire une femme fit irruption dans ma classe. Elle était brune et son visage laisser apparaître quelques rides. Je la suivie alors jusqu'à sa voiture où je montais. Mon frère y étais déjà installé. Son teint était blême, ses yeux boursouflés. Durant tout le trajet, que je reconnaissais, Il n'y eu pas un seul mot. En arrivant sur place l'on m'annonça que ma mère c'était pendu. A partir de ce jour ma vie a basculée. Mon frère étant en âge de m’éduquer s'occupa de moi comme un père. Quand il fut marié et papa je n'avais que 16 ans et pour ne pas briser sa vie de famille j'ai donc décidée de partir. Pour survivre j'ai donc enchaînée les petits jobs à droite et à gauche. Mais mes études ne me permettaient pas de continuer. Je me suis donc faites à l'idée qu'il fallait que j'arrête les études et que je rentre réellement dans la vie active.
Tout avait bien commencé j'avais 16 ans et 8 mois je tenais ma propre exposition d'arts, vivait dans un studio de 38 mètres carré et j'avais mon chat Luffy. Pourtant le 9 août 2010 une rencontre perturber ma petite vie parfaite. Je rentrais du travail, la fatigue tombant sur mes paupières et mes jambes ne supportaient plus le poids de mon corps. A t-elle point que je m'écroula à 200 mètres de chez moi. Je l'ai rencontré ici. Il m'aida à me relever. Je ne m'intéressais pas au garçon mais celui ci était sublime. Il s'appelait Mike McAfford et avait 17 ans. il mesurait dans les 1m90 une silhouette musclée et longiligne. Il avait les yeux d'un bleu perçants et dans le vent de la nuit volaient ses cheveux noir d'ébène. Il me raccompagna chez moi et me promis de revenir le lendemain à la tombée de la nuit. Le lendemain il fut présent et m'emmena boire un verre, ce fut pour moi un verre de vodka et pour lui une simple bière. L'on fit plus ample connaissance, lui ne vivait pas chez ses parents. Il vivait comme un vagabond, tantôt à l'hôtel tantôt chez des amis. Par je ne sais qu'elle impulsion je lui proposa de venir vivre avec moi. Bien sur que mon petit studio pouvait accueillir une seconde personnes. Il accepta avec joie. Sur le chemin du retour je me surprenais à lui tenir la main. Arrivaient chez moi, j'eu un petit creux donc je me mit à cuisiner le temps qu'il puisse s'installer. Vous me direz que deux rencontres ne suffisent pas pour donner sa confiance, mais il avait la mienne. Donc je nous préparé un bol de nouille chinoise, quand celui-ci se glissa derrière moi, m'enlaça de ses bras musclé et me glissa à l'oreille: " Je pense que la femme de mes rêves s'est téléportées dans mes bras"
Sur ces mots je me retournais et me retrouva face à lui, il me fixait tout en faisant sa main dans mes cheveux. Il se pencha et m'embrassa Je n'avais jamais ressentie un tel frisson. Ses mains parcouraient mon corps tandis que les miennes encore timide ne se limitaient qu'à son dos. Je sentis la température augmenter ses lèvres étaient encore plus chaudes et sauvages. Je brûlais de désir et il s'en rendit compte assez rapidement. Il m'allongea sur mon lit faisant glisser ses lèvres sur ma nuque. Je lui retirai son T-Shirt, dévoilant un torse magnifiquement sculpté. Lui faisait glisser ma robe dévoilant mon corps nu. Je ne bougeait plus je laissaient ses mains expertes glisser entre mes cuisses. Il se mit à sourire quand le premier gémissements sortis de ma bouche. Je vit alors dans ses yeux cette petite étincelle que les hommes savant nous cacher. Vous savez cette étincelle qui nous dit "Je te veux". Quand il commença à m'embrasser les seins je me mit à frissonner. Tout doucement ses lèvres glissaient tandis que de ses doigts il me faisait frémir de plaisir. Quand il se mit à faire glisser sa langue je ne put m'empêcher de gémir. Ce fût un plaisir divin. Il se redressa et me glissa à l'oreille: "es-tu prêtes?".  En réponses à sa question je glissa ma main entre ses cuisses le caressant de part et d'autres. Je le dirigeai vers moi. En un coup de rein il me pénétra. Nous ne faisions plus qu'un le plaisir fut intense et la nuit très longue. Je me réveillai le matin et m’aperçut que j'étais seule. Le studio était intacte son sac était encore dans la cuisine, sur le bar. Je n'avais pas rêvée. Mais où était-il? Je décida alors d'aller prendre une douche. Dans la cabine de douche m'attendaient un bouquet de rose noir et un petit mot. Il me disait qu'il était partis travailler et qu'il serait de retour pour 22 heures. J'étais aux anges. Après ma douche je retournais dans ma chambre. Je resta choquée devant le reflet du miroir. J'avais l'impression d'avoir était battue, des bleus maculés mon corps et des marques rouges vifs apparaissaient à la base de ma nuque. Je ne travaillait pas aujourd'hui j'enfilais donc un jogging et un col roulé. J'attendrais ses explications. Mais rien, il ne rentra jamais. Je ne supportais plus le bruit, ni la lumière, la moindre nourriture me faisait vomir. Je ne comprenais rien j'étais seule et perdue. Un matin on vient toquer à ma porte, un livreur m'apporter un bouquet de rose noire. Dans l'empressement et la colère je lui arracha le bouquet des mains. Une des épines lui transperça le doigt. Une goutte de sang perla au bout de son doigt et vint s'écraser sur mon carrelage froid. Je le fixai, et sans explications je lui proposa de le panser. Mes sens étaient en alerte, Un parfum fruitée flottait dans la pièce. Il du s’apercevoir de mon aise, car il voulut partir.  Avant même qu'il ne puisse faire un pas je le vidais de son sang.
Cette sensation, cette texture aussi fluide qu'un voile d'eau, aussi fruitée qu'un millésime jamais je n'avais mangeais de mets aussi fin. Quelques heures plutard je réalisai ce que j'avais fait. Du sang maculé chaque meuble du studio j'avais dépouillé cet homme. Cet homme qui ne m'apportais que de simple fleurs. Je me précipitait sur les fleurs et ouvrit la petite enveloppe il y était inscrit:
"Bonne appétit princesse, Soi sortis à 23 heures quelqu'un passera nettoyer. "

Je croyait devenir folle. J'étais devenue un vampire. Comment sortir sans avoir à ce nourrir? Comment vivre sans tuer? Durant des mois entier je restais enfermée, m'abreuvant de mes voisins et de tous ces fleuristes qu'il m'envoyait. Ma soif était grandissante. Je ne me contrôlais plus. Jusqu'au jour où mon frère vint me rendre visite. Je lui ouvrit et me fixa les yeux pleins de larmes, il me dit:
"Petite soeur prend soin de tes nièces durant la semaine. Leur mère a eu un accident, je vais à son chevet."
Il est partit, face à moi deux proies innocentes. Durant une semaine je me retenais, je m'efforçais de ne pas me nourrir. Mais un jour ma soif n'étais que trop fortes, et pour ne pas tuer mes nièces, je tua mon chat. Mon bébé était mort, et mes nièces avaient tout vu. Quand leur père vint les chercher elles lui sautèrent au cou mais ne lui dirent pas un seul mots. Depuis ce jour j'ai quittais le Montana, je vagabonde de part et d'autres de l'Amérique. Jusqu'à trouver la ville où je pourrais vivre sereinement. Partout où je vais je reçoit un bouquet de rose noir des mon arrivée dans une ville. Il semblerait qu'ici il ne me retrouve pas. J'espère que je pourrais me sentir à l'aise ici à Milwaukee.