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| RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Dim 20 Mai - 16:07 | |
| « Tarek Thompson VS Mathieu Alaric » underco' |
"Je m'ennuie toute seule dans ma grande piscine. Ça te dit de venir ? Ma première réaction lorsque je vis qui m'avait envoyé se message fut de me dire qu'elle s'était sans aucuns doutes trompée de contact. Mais enfaîte cela ne se pouvait pas. Lorsque l'on à Mathieu Alaric dans ses contacts, on ne se trompe jamais, surtout pour se genre de sms. Surtout que tout le monde savait qui j'étais réellement. Bref, je lui répondis aussi sec que j'arrivai, et me levait de mon lit où jusqu'à présent j'étais au tél avec une fille plutôt chaude. Un jean Levis, une chemise trop courte comme d'habitude au niveau des épaules, un bref regard dans le miroir me renvoya un dieu vivant, je passai un main dans ma chevelure blonde la rendant encore plus rebelle qu'elle ne l'était originellement. Mon grand Mathieu, tu es vraiment un mec magnifique. Sans même un au-revoir pour ma mère, je sortie. De toute façon, elle savait très bien que je devais aller voir une fille, le temps n'était pas idéale pour le surf, et j'avais pris la Maserati, pas la Porsche. De plus, les gars n'étaient pas là... Sans un regard pour ma génitrice, j'enclenchai le moteur. Se dernier gronda férocement, j'adore ça ! Prochaine voiture, une Jaguar... Un bruit légèrement différent de celui de la Maserati, mais un moteur aussi puissant. En moins de quelques minutes j'avais quitté les quartiers riches, et était déjà à plus d'une centaine de kilomètre heure. De toute façon si je me faisais flashé, se n'était pas moi qui payais.... La villa des Thompson n'était finalement pas si lointaine que cela. Un quart d'heure après avoir reçu le sms de Kathleen, j'étais arrivé devant l'immense portail de la propriété. Y sont fanatique de la sécurité ici ?! Je suis obligé d’arrêter ma voiture, et de sonner. En gros les surprises sont impossibles... Déclinant mon identité, on m'ouvre sans que personne ne me réponde... Automatique ? De toute façon, je ne dois pas être trop aimer ici, le fils est mon punching-ball attitré. Et lorsqu'il est rentré l'autre jour, même s'il n'était plus blessé pour des raisons qui resteront abstraites, le sang sur ses fringues ne devaient pas avoir disparu. Je n'étais pas le bienvenue sans aucun doute. Et en plus, je ne pouvais plus conduire aussi vite qu'avant, mes épaules me faisaient horriblement souffrir. Les brûlures étaient les pires des blessures... Je vais le tuer l'autre espèce de truc non identifié ! Amarok je le jure sur la mémoire de mes ancêtres tu vas crever ! Et douloureusement en plus ! Arriver dans la cour, je garai ma voiture, attendant de savoir où était Kalheen. Une silhouette sur le balcon attira mon attention, mes si beaux yeux se plantèrent dans la direction de... Tarek... C'est vrai que la rouquine était sa soeur, m'enfin elle aurai pas pu le virer du temps que j'étais chez eux ? La dernière fois, se crétin finit de gay avait fait se cabrer son cheval devant moi, à peut de chose prêt je me faisais assommer ! Je parle ou je parle pas ? Non, pour une fois Alaric ferme ta grande gueule, et trouve la nana qui doit t'attendre bien sagement... Pas vrai Kathleen, tu vas être sage maintenant que je suis dans les parages... Et faire tout se que je veux... "Katleen jsui chez toi, t ou ?"L'i-phone à la main, j’attendrai qu'elle me réponde, assit sur le capot. Bon elle se bouge le cul la rousse ? J'ai quitté le téléphone rosse avec une jolie petite sex friend pour elle, alors qu'elle me pose pas à lapin. En plus, je le sens pas bien, j'suis en territoire ennemi...
Dernière édition par Mathieu Alaric le Mer 23 Mai - 18:06, édité 2 fois |
| | | Sylvain Keiràn Ikrà
PROFIL► AVATAR : Cameron Monaghan ► VOTRE AGE : 25 ►PORTRAIT : ► CIITATION : Never let them see you weak ► CREDIT : Me, tumblr ► ARRIVÉ LE : 04/04/2012
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Dim 20 Mai - 20:49 | |
| Je crois que si elle continue, ma soeur va terminer son existence aujourd'hui. Pour la simple et bonne raison que son téléphone ne cesse de biper. Pourquoi elle me casse les burnes aujourd'hui putain ??! Pour une fois que je suis de bonne humeur, et que je peux rester dans ma chambre sans rien faire, elle, elle papote avec ses copines juste à côté de moi. Quelle emmerdeuse ! Je vous jure, les soeurs c'est le pire animal du monde !! Je m'allume une nouvelle cigarette, et passe la main dans mes cheveux. Le front contre la rambarde du balcon, je me force à respirer calmement. Non, tuer sa petite soeur n'est pas une bonne idée. Je pose les coudes sur le rebords de ma terrasse, blasé comme toujours. Un bruit de moteur me sort un peu de ma torpeur. A cette heure ci, qui peut bien venir. Ma soeur ouvre le portail sans un mot, et je l'entend lâcher un petit rire satisfait. Je me demande quelle connerie elle a encore inventée pour me faire chier... Concentrons nous. Je connais ce bruit de moteur, Maserati. A peu prêt la même que celle de Tiernan. Mais pas tout à fait. Le plus gros problème, c'est la démarche que je reconnais quand le conducteur en descend. Je retiens à grand peine l'exclamation de protestation qui me vient. Oh non, pas lui... Pas jusque chez moi, quand même. Katheen, t'abuse ! Son téléphone bipe à nouveau, et je l'entend se cacher derrière ses pots de fleurs. Elle est nunuche, en plus... Quelle horreur. Le truc bizarre, c'est qu'Alaric ne monte pas. Il à l'air décider à rester en bas. Je ricane comme un idiot, et tente de refouler cette envie définitive de tuer cette cruche à bouclettes. Ce qui a pour effet de réveiller l'imbécile qui ronfle à côté de moi. Zut. J'espérais être parti entraîner Thora avant qu'il ouvre les yeux. Il se lève en s'étirant, et attrape mes hanches pour caler sa tête contre mes reins. Quel abruti ! Je déteste les gars comme ça !! J'aime pas, j'aime plus la romance. Je suis soigné à vie. Si un jour je trouve le soldat qui a mit fin aux jours d'Ael durant cette bataille sur Fotia, je jure qu'il trouvera la mort dans les heures suivantes, et dans des souffrances que l'adjectif "atroce" définissent mal. Ce sera bien pire, plus qu'insoutenable. De toute façon, le seul mage du feu digne de confiance que je connaisse est Amarok. L'imbécile, Driss je crois, commence à me câliner et je suis obligé de faire un triple effort. Ne pas tuer Kathleen, ne pas tuer le crétin, ne pas foutre dehors Alaric avec les alarmes et compagnie. Bon, allez, c'est faisable.
Kathleen, va le chercher, grosse nunuche ! On fait pas attendre Môssieur... Pffuu... Vlà qu'elle se tape l'autre con maintenant... Mais qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Ils l'ont ratée elle aussi c'est pas possible...
J'en ai marre... Si ça continue je me barre à Flamingo tiens ! La courge s'en va, et j'entend rapidement son pas s'éloigner et descendre les escaliers de la terrasse qui soutiens la piscine. Ses sandales claquent sur le carrelage, et elle rit doucement. Elle fait pitié. Lui, il doit être en train de l'attendre, à rien foutre, comme d'hab. Ben oui, vous comprenez, c'est Môssieur Alaric, les filles doivent aller vers lui pas l'inverse. Surtout quand elles l'ont appelé ! Non mais. Quoi ? Oui, je fais pitié avec mes pensées stupides. OUI, on fait tous pitié dans la famille, JE VOUS EMMERDE !! Pour une fois que j'étais bien, il fallait qu'elle ramène la seule personne du monde capable de me plonger dans un blase pire que le reste du temps. Kathy saute le dernières marches, des fois je trouve qu'elle a tout d'une chèvre. Bête, grande gueule, nunuche et sautillante. La pauvre. Elle lui saute limite dessus, on dirait une de ces groupies du lycée. Finalement, j'éclate de rire pour de bon. C'est plus fort que moi. Je ne moque pas, c'est juste que... Je sais pas comment expliquer. De la jalousie ? Oui, sans doute. Moi aussi, je me suis cacher derrière des ffleurs pour faire chier et râler. Mais, en fait, j'aimerais bien être comme Kathleen. C'est débile ? Je vous dit Fuck !!
Fait le monter, idiote ! Il va pas croupir en bas tout de même, le pauvre... Il est le bienvenu.
J'ai rarement été si acide. Franchement, pourquoi, aujourd'hui ? Pffuu... Je porte une nouvelle cigarette à mes lèvres avec un soupir, et Driss resserre ses bras. Voyons comment tout cela va tourner... Alea jacta est. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Dim 20 Mai - 22:42 | |
| Kathleen, va le chercher, grosse nunuche ! On fait pas attendre Môssieur... Pffuu... Vlà qu'elle se tape l'autre con maintenant... Mais qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Ils l'ont ratée elle aussi c'est pas possible...
Mes beaux yeux restent focalisés sur Tarek, il vient de dire quoi lui !? Qu'est ce qui me retient de monter et de lui foutre la patté de sa vie ? Sa soeur je pense... Un bon moment avec sa soeur... Oui c'est uniquement ça, et aussi le fait que je sois en territoire ennemis. Poussant un profond soupir, ne relevant pas, je continuai d'envoyé des textos à ma petite chaudière de tout à l'heure, m'ennuyant nullement. De toute façon la rouquine allait bien se décider à descendre un jour ou l'autre. Et on ne me faisait pas attendre, je le voyais immédiatement, j’entendai son pas. Verrouillant mon portable, le rangeant bien sagement dans ma poche, je me prépare à la recevoir. La voilà, OMG, elle est encore plus sexy qu'au lycée ! Elle a fait quoi pendant que j'étais pas là ?! My god ! Elle me saute littéralement dessus, et un petit sourire de la part de Mathieu Alaric.... Je suis content de mon petit coup, même si je ne sais absolument pas comment j'ai fais. Deux jours plus tot, elle me tapai dessus à coup d'escarpin et me traitait de tout les noms, aujourd'hui c'est limite si elle ne me viole pas sur place.... Vraiment, je ne comprendrai jamais la gente féminine. Elles sont toutes aussi cinglées les unes que les autres ses jolies damoiselles... N’empêche... Comme elle est bonne la soeur à Thompson ! A peine a-t-elle sauter dans mes bras que j'en profite pour lui voler un baiser. Sport de chambre, je te jure que tu vas finir l'aprem en sueur ma belle, et avec moi... Et ne dit pas non, c'est toi qui m'a fait venir....
Fait le monter, idiote ! Il va pas croupir en bas tout de même, le pauvre... Il est le bienvenu.
Putain mais ta gueule toi là haut ! Je suis un peu occuper moi ! Car, pour l'instant, excepter l'aveugle sur son balcon, qui ne peut pas vraiment voir se qui se passe en bat, Logique quoi, personne n'est là, sauf bien sur ma belle rouquine. Il se prend pour Juliette à entendre son Roméo ? Je préviens tout de suite, je ne joue pas le rôle du crétin qui n'arrive même pas à tirer un coup ! Le puceau et la pucelle, elle devait surement être française Juliette ! Bref pour en revenir à la bondasse que j'avais dans mes bras, l'une de mes mains c'était dangereusement posée sur son fessier. Mes lèvres se posèrent sur son cou puis s'approchèrent de son oreille avant de lui susurrer :
-Bon Katy, elle est où ta chambre ? Ton frère commence à me souler avec ses allusions stupides. Donc je préférerai passer du temps avec toi, ta compagnie est plus intéressante que la sienne.
Qui a dit que j'étais pressé ou que je louchai dans son décolleter ? Mais pas du tout, c'est juste que que sa magnifique poitrine était bien découverte, et qu'il faisait très chaud. Elle m'avait arraché au téléphone rose, elle allait devoir combler mes ardeurs, et j'étais chaud comme la braise aujourd'hui. Je n'avais pas toucher une fille de la journée pour le moment et je n'étais pas le genre de mec à me contenter des plaisirs que l'on peut obtenir tout seul, j'aimais mieux lorsque c'était des véritables femelles qui m'offrant se petit plaisir. Je n'étais plus puceau depuis longtemps, grand bien m'en face. Je l'embrassai une nouvelle fois, un véritable baiser cette fois. Ce à quoi elle n'avait jamais gouté, personne n'embrassai aussi bien que moi. I'm just the king ! Puis mes lèvres se perdirent dans son coup, pendant que j’attendai sa réponse, ignorant le gnome à l'étage. Danger chérie... Mes lèvre faisaient du bruit, non je ne le faisais pas du tout exprès... L'autre était aveugle, il fallait bien qu'il s'imagine la scène.
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| | | Sylvain Keiràn Ikrà
PROFIL► AVATAR : Cameron Monaghan ► VOTRE AGE : 25 ►PORTRAIT : ► CIITATION : Never let them see you weak ► CREDIT : Me, tumblr ► ARRIVÉ LE : 04/04/2012
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Lun 21 Mai - 18:38 | |
| -Bon Katy, elle est où ta chambre ? Ton frère commence à me souler avec ses allusions stupides. Donc je préférerai passer du temps avec toi, ta compagnie est plus intéressante que la sienne.
Concentré sur ma clope, je n'ai pas vu venir le coup. Arrggh !! Mais c'est pas vrai !! Il essai de me tuer pour avoir le champ libre, c'est sûr... Rah, je le hais ! Furieux, j'écrase ma deuxième cigarette en huit minutes, et m'en rallume une. Je me rend compte que c'est du délire pur, mais à chacun son addiction hein ! Vaut mieux la clope que l'alcool, au chuis pas violent ! Encore heureux... Ma soeur glousse, et je ne peux m'empêcher de penser à une pintade. Oui, ma soeur est une pintade... Ou une dinde, comme vous préférez. Elle le prend par la main, toute débile qu'elle est, et l'entraine de sa démarche sautillante et pressée jusqu'en haut de l'immense terrasse piscine. Je perçoit ses pas qui montent les escaliers en trépignant, et elle tire le verrou de sa porte sur elle et le crâne de piaf. Ricaneuse. C'est peut être une pintade croisée avec une hyène en fait... Qoui que, la seule vraie hyène dans cette fichue baraque, c'est moi. Le roi des ricaneurs, j'vous l'garanti !
J'y crois pas... Pffuu... J'ferais p'têt mieux d'prendre une douche moi. -Nan ! On a qu'à prendre un bain !
Je me tourne vers l'idiot, feignant aussi bien que je sais le faire de le dévisager, les sourcils haussées. Il a fumé ?! Jamais de la vie !
Je me re-concentre sur ce que fais ma soeur, elle s'est assise sur son lit apparemment. Et elle a l'air VRAIMENT déterminée à se le faire, l'autre... Elle est presque agressive dans le ton de la voix...
Bon, Mathieu, c'est pas que j'aime pas parler avec toi mais, j'ai pas envie d'y passer dix plombes ! Tu viens ?!
NNOOOONNN !!!!!!!! Fou de rage, je sors de la chambre en courant et abat mes deux poings sur la porte de Kathleen.
Kathleen !!! Putain, non !!!! Ouvre cette porte !!
Je me laisse glisser au sol, quasi désespéré. La tête posée sur mes avants bras, eux même sur mes genoux. Pourquoi lui ? Il y en a plein des cons... Je veux bien, elles disent toutes que "c'est le plus beau de la Terre, et nia nia ni, nia nia nia... " Mais fait chier quoi... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mar 22 Mai - 13:42 | |
| La jolie rouquine me pris pars la main, et m’emmène jusqu'à sa chambre. Je ne m'attarde pas sur le décors pour l'instant, je suis trop occupé à la dévorer des yeux. Elle est.... vraiment... splendide !
Bon, Mathieu, c'est pas que j'aime pas parler avec toi mais, j'ai pas envie d'y passer dix plombes ! Tu viens ?!
Tout doux ma belle, t'es pire que moi ou quoi ? Je comprends que tu sois pressé de coucher avec moi mais quand même. J'allais arriver, je peux pas tout faire à la fois, te mater de haut en bas et te faire... rêver. Un sourire en coin planté sur les lèvres, je ne perds pas une seconde. Moins d'une minute plus tard, je suis sur son lit, la tenant fermement, et commençant à déboutonner ma chemise. Je ne suis pas quelqu'un qui prend son temps, mais il y a des petits trucs que l'on n'oublie jamais lorsque l'on a un physique comme le mien... Aussi beau.... Montrer son corps et surtout son torse en fait partit. Ma respiration s'est accéléré, je suis sur que le gnome à côté doit péter un câble.
Kathleen !!! Putain, non !!!! Ouvre cette porte !!
Bigoo ! COup contre la porte, il devient fou. C'est qui le plus fort évidemment c'est Mathieu ! Je deviens devin moi !
-Ta gueule loser ! Va jouer ailleurs embête pas les grands ! Retourne jouer au petit poney !
Va ça c'est fait, je peux maintenant m'occuper de la Kathleen. Et sa risque d'être sportif, je suis déjà chaud avant même d'arriver alors... Tu vas crier ma belle, supplier tous les dieux que tu connais que je continue... Ou que j’arrête... |
| | | Sylvain Keiràn Ikrà
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| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mar 22 Mai - 19:28 | |
| -Ta gueule loser ! Va jouer ailleurs embête pas les grands ! Retourne jouer au petit poney !Je déteste Alaric. Je déteste ma soeur. Je déteste cette porte qui m'empêche de passer. Je déteste mon incapacité à lui faire comprendre qu'elle va faire une connerie. Elle me reproche souvent d'être trop protecteur, mais elle fait pareil pour moi. Pourtant c'est bien ELLE qui doit être protégée... La preuve, elle ne voit pas son erreur. Un mec narcissique comme ça, ça n'apporte jamais rien de bon. Elle va ruiner sa jeunesse avec ce garçon ! Il lui prendra tout si elle gagatise comme ça !! Pourquoi elle ne s'en tiens pas à Amarok ?? Faire n'importe quoi n'attirera pas son attention sur elle en bien ! JE HAIS CETTE STUPIDE PORTE !!!!! Me voilà donc dans le couloir, en larmes, les dents serrées et les lèvres douloureusement pressées l'une contre l'autre. Je le tuerai... Je le détruirai... Oh, mais pas physiquement ! Non... Non. Je sais beaucoup de choses, et surtout je sais faire beaucoup de choses... En rage, je me relève, essuie mes larmes d'un geste rageur et serre un peu plus la mâchoire. Je ne suis pas une tapette. Ça me fait mal quand je l'entend dire, mais je suis loin d'être le faible petit gars homosexuel que je laisse transparaître au lycée. Il a de la chance que je n'arrive pas à haïr... Sinon, il aurait déjà découvert que je suis très loin d'être inoffensif. Vous voyez Lydia Johanson ? On la croirait toute gentille toute mignonne, hein ? Et ben non. Moi c'est pareil. En pire. Parce que rien ne m'arrête. Elle, elle a du mal à tenir longtemps. Moi, je pourrai tenir plusieurs vies. Une seule fois, j'ai connu la haine. Et elle m'habite encore, me ronge le coeur peu à peu, me rend de plus en plus noir au fil des jours. Je ne vis que pour faire couler le sang du meurtrier d'Ael ces derniers temps... Je retourne dans ma chambre, et enlace Driss qui doit se demander se qui m'a pris. Je lui murmure que je m'ennuie, et que j’aimerais bien qu'il m'empêche d'entendre les ébats des deux autres à côté. Je le sens sourire contre mes lèvres, et il me renverse sur le lit à baldaquin avec fièvre. Hin hin, ça va être marrant tiens... Kathleen ne supporte pas de m'entendre faire "ça !' comme elle disait déjà petite. Oui, à douze ans, j'étais déjà comme ça et la pauvre n'en avait que dix. Alors déjà que de ne pas ne choquer une môme quand on est hétéro c'est dur, mais alors quand elle vous trouve avec un autre garçon, de six ans votre ainé en plus, allez rattraper le coup... Elle ne me l'a jamais pardonné, je crois bien... Un peu consolé, j'essaie de me concentrer sur les mouvements de Driss, mais ce n'est pas un franc succès. Je sais que je crie plus fort que n'importe qui, mais, je ne pourrai pas étouffer mes larmes. Et du coup, j’entends ma soeur enlever sa chemise, sous laquelle je sais qu'elle n'a rien. Driss est trop shooté pour capter que je n'émet pas le moindre son, et surtout que je pleure en repensant à Ael. Agacé, je saisi le pétard sur ma table de chevet et cinq minutes plus tard, je suis déjà complètement dans les vapes. Je vais pouvoir commencer à partir. M'enfuir loin de la triste réalité. Je me mord sauvagement les lèvres, tente désespérément de ne pas hurler le prénom d'Ael, je sais que Mathieu me tuerai. Il ne sait pas que son meilleur ami est mort, il ne sait pas qu'on sortait ensemble depuis plus d'un an quand le monde s'est écroulé pour la deuxième fois de ma vie. Et il me tuera en pensant que j'ose fantasmer sur son ancien pote disparu sans laisser de trace. Officiellement, il a déménagé. J'aimerais tant... C'est plus fort que moi. Je m'imagine entre ses bras, et son nom reviens comme une litanie au milieu de mes cris. Ma soeur a du se jeter sur Alaric, parce qu'elle produit le même genre de son que moi. Elle a l'air d'apprécier... Il faut que j'arrête de m’apitoyer sur mon sort. J'ai un beau mec dans les bras, qui m'envoie au paradis, les oiseaux chantent, ma soeur gueule... Non, ça c'est pas à mettre dans la liste. Je finis par aller prendre une douche, puis je file me ré-accouder sur la barrière de mon balcon, la clope entre le majeur et l'index de ma main gauche. Du côté du balcon de Kathy. Depuis le temps que ça dure ce cirque, ils devraient avoir bientôt fini. J'espère qu'Alaric ne fais pas comme moi après avoir baisé, sinon ça va m'agacer. La paix me reviens peu à peu, ma frangine s'est tue, le vent chaud m'endort. Je devine l'Aston Martin one 77, étincelante. Je ne l'ai jamais vue, mais je sais qu'elle est belle. Et je sais qu'elle est là. Elle sera toujours là. Au cas, bien évidement impossible, où il reviendrai la chercher. Elle est, tellement belle... J'étais si fier de mon cadeau, quand il l'a découvert ! Il ne roulait plus qu'avec elle ! Vitres fumées, phares noirs qui semblent verser des larmes tout aussi sombres. Aussi noires que les larmes que j'ai versées à son dernier souffle entre mes bras étaient rouges de son propre sang. Même aujourd'hui, je me surprend encore à le chercher parmi la foule. Je me réveille encore la nuit pour toucher le matelas à côté de moi et réaliser qu'il sera froid à jamais. Même quand il y a un mec avec moi, le lit me semble froid à ma droite. Et voilà, je me remet à pleurer. Ma soeur, dans sa chambre, peine à reprendre son souffle. Elle à l'air de jubiler. Je reporte mon attention sur la voiture de luxe que je ne vois pas, que je ne verrai jamais, garée sous le couvert des arbres, sans doute aux côtés de la Maserati de Cervelle de moineau. Aston Martin noire et grise, one 77, AEL peint en lettres d'or sur les clés qui ne quittent jamais le contact. Le problème est là. Si Alaric se pointe sur ce balcon, il l'aura dans sa ligne de mire. Et je suis certain qu'il reconnaitrait la bagnole de son meilleur ami entre mille... Mon dieu... Pourquoi je suis si déprimé moi aujourd'hui ? Ça avait pourtant bien commencé, cet après midi.Je chuchote surtout pour moi même, avant de me laisser choir sur la rambarde du balcon, les bras pendant dans le vide, les pieds ne touchant plus sol. On doit en jurer un sac à patates, avec ma tignasse rousse... Beuh. C'est chiant de passer pour un suicidaire. Faut que j'arrête. Alors je me redresse et je chantonne. Je sais, et ça même les gros vrais homophobes des banlieues de Floride me l'ont dit, que je chante d'une vois claire et féminine. Mon frère lui même a un jour cru que j'avais ramené une fille. Si Alaric me sort un truc dans ce genre je lui tranche la gorge. Il a intérêt à me dire que je chante comme une tarte ! Well you think that you can take me on You must be crazy There ain't a single thing you've done That's gonna phase me |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mer 23 Mai - 16:47 | |
| Kathleen est entre mes bras... Vous croyez que je vais faire quoi moi ? Attendre le déluge. Je ne suis pas ainsi, j'agis plutôt que je pense, c'est pour sa que parfois les gens me prennent pour un idiot incapable de réfléchir. Ils ne savent pas que je suis bien plus intelligent que la moyenne, que je m'oblige à truffer mes examens de fautes pour avoir une moyenne pourrie, pour ne pas passer pour l'intello de service ? Personne ne le sait cela, et personne ne le saura jamais ! Kathleen vient de quitter sa chemise, elle ne porte rien dessous, pour mon plus grand bonheur. Elle avait grimpé sur moi, je quittai ma chemise entièrement, commençant à l'embrasser sensuellement, exactement comme j'en avais l'habitude. Lui faisant quitter son short, je peux admirer son corps dans son entier. Et franchement je ne suis pas déçu. Il y a de quoi bander devant cette fille ! Bref, quittant mon jean, je la pris entre mes bras musclés, lui chuchotant des mots doux à l'oreille. Ma petite beauté, tu es mienne pour le moment ! L'autre hobite à côté c'était tue, il ne beuglait plus, avait sans doute comprit que cela ne servait à rien. De toute manière la rouquine n'en faisait qu'à ça tête. Je dois avouer que cela me plaisait, car grâce à elle je ne m'ennuyai plus. Au pire j'aurai toujours pu allez voir Lydia mais cette dernière devait être légèrement occupée. Kathleen commence à crier sur mon corps, chose que j'avais prévu. Chose promit chose dut ! Je t'avais dis que tu allais rêver en ma compagnie ma belle. Je me redresse, l'embrassa pendant qu'elle se cambre. Elle hurle mon prénom, un sourire se plante sur mes lèvres. Je le sais Kathleen que je suis un dieu. Une bête de sexe doublée d'un mec au physique ravageur. Attention à toi. Ma respiration s’accélère brusquement lorsque j'entends quelqu'un d'autre crier. Une voix que je ne connais que trop bien, qui m'a longuement supplié de l'achever. La voix du frère à celle que je me tape. Il gémit, mais se n'est pas les mêmes gémissements que lorsque je suis dans les parages. Sa voix part dans les aiguës, mais un seul mot retient mon attention. Aél ! La pression de mes mains sur les reins de Kathleen se fait plus forte. Croyant que je veux qu'elle se rapproche elle m'embrasse, puis laisse sa langue s'aventurer sur mon cou. Mais je ne pense plus vraiment à se que je fais, laissant mes instincts prendrent le contrôle. Non ! Je penserai à Aél plus tard, il n'aurai pas aimer ça ! Je me redresse brusquement, trop vite pour quelqu'un de ma masse. La faisant tourner sur le dos, je changeai de position, et continua se que j'avais commencé si bien. Katy me le prouvait parfaitement et surtout bruyamment. Je l'avais déjà vu qu'elle avait de la gorge mais je n'aurai pas pensé qu'un jour je le redécouvrirai ainsi. C'était juste géniale cette fille dans mon lit. Elle n'était pas une éponge de mer loin de là. L'eau à côté se mit à couler. Oh triste, ils avaient déjà fini ? Nous ne fessons que commencer ma belle Katy, n'attend pas une pause avec que moi tant que je ne l'ai pas décidé ! Tu va devoir.... attendre... longtemps ! Car plus le temps passe plus je monte en pression et qui dit Mathieu en pression dit véritable danger ambulant. Nous continuons, réinventant des mouvements vieux comme le monde. Depuis la nuit des temps hommes et femmes agissent ainsi, mais personne n'a jamais été aussi doué que moi au même age. Je suis une nouveauté, une personnalité à moi tout seul. Mes rêves de gloires sont nombreux, je réussis tout se que j'entreprends, n'ai jamais connu l’échec ! Et ne le connaitrai jamais, il est impossible de me resister, je vous l'ai dis jamais auparavant quelqu'un d'aussi splendide que moi n'a vu le jour. Je cumule les qualités, en plus je ne suis pas gay ! Je suis vraiment la meilleure personne ne l'univers, physiquement s'entend, et même psychiquement pour les gens populaires que je cotoillais. Une fois que j'eus finie avec la fille qui était maintenant blottie dans mes bras, je pris mon caleçon CHIKY SCARFACE, le remit et la laissa dans son lit, récupérant juste mes clopes au passage. Un geste habituel, fumer après l'amour. Me dirigeant sur le balcon, j'entendis une fois que je ne connaissais pas, enfin je l'avais déjà entendu mais... pas ainsi. Une douce chanson.... Bizarre.
-Kathleen ta pas une soeur qui chante ?!
Elle ne m'entendit pas, ne répondit donc pas. Soupirant, je l'avais tant fatigué que ça ?, j'ouvris la porte fenêtre, m'accoudant au balcon, la clope au bec dans une pose tout se qu'il y a de plus magnifique. Une voiture se trouvait dans ma ligne de mire... Une voiture que je ne connaissais que trop bien ! Aston Martin noire et grise, one 77. La voiture D'aèl ! Qu'est ce qu'elle faisait là, cette bagniole dans laquelle mon meilleur ami avait mener tant de fois des filles, la voiture qu'il aurai du prendre lorsqu'il avait déménagé, sans plus donner aucunes nouvelles même pas à moi ! Ce pouvait-il que .... qu'il soit ici ? Je fumai de plus en plus vite, et ne me retenant plus ne la finie même pas. Non ! Impossible ! Il NE pouvait être LA !
-AEL !Ma voix avait prit des accents casi hystérique.Ael ! Répond moi ! Je sais que tu es là mec fait pas le con !
Je le suppliai, je l’appelai. Sa perte m'avait fait horriblement souffrir, ce mec était mon meilleur ami, et il m'avait laisser sans nouvelles ! Je le cherchai, fouillant du regard chaque mètre de l'immense propriété des Thompsons !
Dernière édition par Mathieu Alaric le Mer 23 Mai - 20:34, édité 3 fois |
| | | Sylvain Keiràn Ikrà
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| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mer 23 Mai - 19:41 | |
| Alaric s'approche de la porte fenêtre, on dirait qu'ils ont enfin fini.
-Kathleen ta pas une soeur qui chante ?!
Oh, non... Lui aussi. Même mon pire ennemi... Suis je donc si féminin que ça ? A ce point ? Au point, donc, qu'un dragueur invétéré comme lui, et qui me connais depuis deux ans, ne reconnais pas ma voix quand je chante... Déprimant.
-AEL ! Ael ! Répond moi ! Je sais que tu es là mec fait pas le con !
La voix d'Alaric me serre le coeur d'un seul coup, m'empêchant de respirer pendant quelques secondes. Je tourne la tête vers lui, suffoquant. Non... Il à l'air...Tellement mal. Il est déjà mal, et il le croit seulement parti sans prévenir. Moi, je sais. Et, c'est sûr, il n'aurai certainement pas pu prévenir... Lui, il pensait qu'il était invincible. Moi, je savais qu'il y resterait. Cet idiot, il m'a carrément assommé pour partir se battre ! Je me demande encore, pourquoi a-t-il préféré partir droit vers la mort que de rester près de moi ??!! Je "regarde" le ciel, des larmes chaudes coulant le long de mes joues. Je ravale mes sanglots avec peine, je ne dois pas me montrer encore plus faible que d'habitude. L'absence de quelqu'un qu'on aime, irrémédiable, ça fait mal. Mais ce qui fait le plus mal, c'est le temps. C'est rusé et sadique, le temps. On n'y fait pas attention, mais pendant ce temps il ronge les souvenirs. Vous réalisez, un jour, que vous avez oublié sa voix, son visage, son odeur ; il reste des choses mais, si peu. Des bribes de choses qui ont échappé à l'incendie qui a ravagé votre mémoire. Le temps à bien travaillé. Je fixe le noir pesant devant moi, et je lâche comme une bombe
Il ne te répondra pas. Il n'est pas là. ... Il est mort.
c'est la première fois que je le dis à voix haute. La réalité du non retour d'Ael me frappe aussi durement qu'un boulet de canon, et mes larmes coulent encore plus. Je laisse tomber ma cigarette, mes mains tremblent. Je ne peux pas tenir. Je n'y arrive pas. Je desserre les dents et un cri de douleur pure déchire le calme du parc. Je sais, on ne doit pas révéler ses faiblesses aux ennemis Et pourtant je suis là, pleurant comme un dément à moins d'un mètre de distance de Mathieu Alaric, meilleur ami du garçon que j'aimais et que je n'ai pas su retenir près de moi. Je suis désolé Alaric ! Tellement désolé... Il aimait trop se battre... J'ai fait tout ce que j'ai pu. Mes sanglots se calment un peu, mes je continue de pleurer, la tête enfouie dans mes bras posés sur la barrière du balcon. Je te demande pardon, Mathieu...
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| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mer 23 Mai - 21:58 | |
| Il ne te répondra pas. Il n'est pas là. ... Il est mort.
Je n’avais pas vu que le hobite était là ! Je ne l’avais même pas entendu. Tournant mes prunelles noires de rage dans sa direction, je le regarde pleurer. Le voir ici, pleurer tout les larmes de son corps me coupe dans mon élan. Pourquoi…. Pourquoi ? Comment il pourrai savoir ça ! Je sais qu’Ael n’ai pas mort, se n’est pas quelqu’un qui fantasme sur lui qui peut me faire croire cela ! Il est mort pour Tarek car il ne se l’ai jamais tapé, normal, mon meilleur ami était aussi homophobe que moi. Le rouquin lâche un cris déchirant, qui fait s’envoler les oiseaux du parc. La douleur qui emane de se cris me fait fremir, et me prouve que cela n’est pas un mensonge. Mais alors pourquoi ?! Pourquoi sa voiture est ici, sur la propriété des Thompsons ?! Pourquoi ses parents pensent eux même qu’il est partit ? Ils l’auraient si que leur fils était mort, ils croient tout comme moi qu’il a juste disparu. Mais lorsque je vois le visage ravagé de larme du loser, je ne peux que le croire. Mes yeux se brouillent, de toute façon il est aveugle il ne peut le voir. Et je ne pleure pas, je ne pleurerai jamais ! Jamais plus ! Aucune larme ne roulent sur ma joue ! Mon meilleur ami…. Non je ne peux m’y résoudre. Je crache donc à l’encontre de la belette, préferant attaquer que plonger dans le malheur. Toute retraite m’est coupé, Kathleen est restée au 7ème ciel dans la chambre, et devant moi il n’y a que le vide.
-Comment tu expliques que ça voiture est là s’il est mort idiot ! Ael ! S’il te plait c’est moi Mathieu ! Je t’en suppli mec ! Fait pas le con ! Viens me sortir de se cauchemar ! Je sais que tu es là ! Putain répond moi ! Mec !?
Ma voix est désespérée, je sais que je m’égosille en vain. Je sais qu’à côté de moi le loser ne perd pas une miette de ma réaction. Je souffre et je sais que malheureusement il le voit. Je ne dois pas pleurer ! Mais ma voix me fait penser à moi petit, lorsque j’appelai ma mère de toute les forces de mes poumons pour qu’elle vienne me sauver de mon père, lorsque j’entendais ses sanglots mais que je voyais qu’elle ne bougeait pas d’un pousse. Elle était si faible ! Comme toute les femmes ! Je m’étais juré que j’aimais je ne ferai endurer ça à un enfant ! Je m’étais juré que je les aimerai, toujours, quoi qu’il advienne. Que j’aimais je ne porterai la main sur eux.
Mon dieu Ael. Je t’en supplie vient ! Sort moi d’ici mec ! Mec s’il te plait dit moi que c’est pas vrai ! Tu peux pas être mort. Tu étais fait sur le même modèle que moi, tu étais un Roc, un fière, un grand ! Nous sommes immortels mec ! Je te jure que si tu es mort je te tue lorsque je te retrouverai en enfer ! PLEASE ! Mais seul le silence répondait à mes supplications. A côté de moi le loser pleurai doucement, comme un enfant. Mon visage était dure, j’avais les larmes aux yeux. Si Kathleen me rejoignait à se moment j’allais la frapper. Mes brulures me faisaient souffrir horriblement, j’avais mal à l’intérieur et à l’extérieur !
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| | | Sylvain Keiràn Ikrà
PROFIL► AVATAR : Cameron Monaghan ► VOTRE AGE : 25 ►PORTRAIT : ► CIITATION : Never let them see you weak ► CREDIT : Me, tumblr ► ARRIVÉ LE : 04/04/2012
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mer 23 Mai - 22:27 | |
| -Comment tu expliques que ça voiture est là s’il est mort idiot ! Ael ! S’il te plait c’est moi Mathieu ! Je t’en suppli mec ! Fait pas le con ! Viens me sortir de se cauchemar ! Je sais que tu es là ! Putain répond moi ! Mec !?
J'entends Alaric serrer les mâchoires, sans doute pour ne pas pleurer. Ainsi, nous voilà tous les deux côté à côte, chez moi. Ainsi, même toi, tu pleures Alaric. Toi qui semble si fort, toi que j'envie depuis toujours d'arriver à te montrer fort et aussi indestructible qu'un roc, tu pleures aussi. Tu es aussi humain que tout le monde, finalement. Tout le monde a des limites. Qu'a-t-il bien pu enduré pour perdre pied si vite et sans prévenir ? Je me sens priviléhié d'un coup, privilégié d'avoir une famille aimante. Et hormis Ael, avait il un autre véritable ami ? J'en doute. J'ignore quel force me pousse à faire ça, je dois être en train de perdre la raison. Mais la douleur de Mathieu me transperce de part en part, et je ne peux pas m'en empêcher. Je bondi avec légèreté sur le balcon de ma soeur, et sans dire un mot, je passe mes bras autour de ses épaules. Il est capable de me jeter dans le vide, amsi je ne peux pas laisser souffrir comme ça ce garçon. Au fond, c'est ma faute. Si j'avais mis cette voiture à la casse, il aurai cru toute sa vie qu'Ael s'était seulement tiré d'ici. Mais comment le pourrai-je ? Je remonte doucement mes mains jusqu'aux brûlures sur ses épaules, encore boursoufflées. Il doit souffrir le martyre. Je sens sa peau guérir, et je lâche un soupir au milieu de mes larmes.
Je suis navré, Mathieu. Je sais que tu me hais, mais je ne peux pas te mentir. la voiture d'Ael, c'est moi qui la lui ai offerte. On était ensembles depuis notre année de seconde, au mois d'octobre. Je venais tout juste d'arriver à Saint Roddingotn, j'étais dans sa classe. Tu te souviens, il a commencé à ne plus venir avec toi pour me tabasser, il a arrêté de se taper des filles en veux tu en voilà. Il était devenu fidèle, tu avais vu juste. Mais pas à une fille. Tu peux me fracasser le crâne par terre si tu veux, peu m'importe. Je l'aimais vraiment tu sais. Je suis terriblement désolé, Mathieu. Pardonne moi.
Mes bras retombe le long de mon corps, et je me laisse tomber aux pieds du quaterback. Il va me tuer. Mais, Ael n'aurai pas voulu que je haïsse son meilleur ami. Il voulait qu'on s'apprécie même. Ça, impossible. Mais je peux bien prendre soin de sa santé. Pour Ael, pour l'amour d'Ael, je jure que jamais plus je ne ferais du mal, physique ou surtout moral, à Mathieu Alaric. Pour l'amour de son meilleur ami. Je me remet à sangloter, la tête dans les mains. Mes jambes ne répondent plus, je ne plus arrêter mes larmes. Depuis deux ans, je tiens le coup. Pour que, s'il me regarde de quelque part, il soit fier de moi. mais cette fois, je craque. Je ne plus. C'est comme si un lent instrument de torture s’enfonçait dans ma chair. Une douleur à vif, largement perceptible. Je pleure tellement que ma peau, trop fragile, se met à saigner. Le sel me pique, et je crois que je pourrai devenir fou. Je doute qu'il ait la décence de respecter ma douleur, mais je suis incapable d'arrêter de pleurer. Moi, Tarek Thompson, dix sept ans, prince de la nation de la terre et héritier du trône, je m’effondre sans secrets ni retenue aux piesd de Mathieu Alaric. Et j'implore son impossible Pardon.
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| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Jeu 24 Mai - 11:41 | |
| Le hobite saute le vide qui nous sépare, il est pas aveugle lui ! Je regarde tout autour de moi, cherchant une échappatoire. Je ne veux pas de lui à côté de moi ! Il n'a pas à m'approcher ! Je suis tellement mal que je serre les mâchoires plus fort que jamais. Ai-je déjà connu pareil douleur dans le passé ? Même les marques qui ne me quitteront jamais sur mes avant bras et sur mon dos -que je fais passer soit dit en passant pour de simple blessure de combat contre un négro de passage que pour se qu'elles sont réellement- ne m'ont jamais fait autour souffrir. Les blessures physiques font parfois bien moins souffrir que les psychiques. J'en sais quelque chose, j'ai déjà vécu bien trop fortement les deux, mais là.... Pire que tout, personne ne peut savoir se que je ressent. Le départ d'Ael a été dur, il était mon unique véritable ami, et maintenant.... J'ai toujours pensé qu'il refaisait sa vie ailleurs, loin de nous tous sans aucunes explications mais qu'il était heureux.... Et maintenant l'autre crétin m'annonçait qu'il était mort, sans possibilité de retour ! Je ne voulais y croire, je ne le pouvais ! Une force qui m'étonna m'encercla les épaules. Le rouquin était dérrière moi, il foulait quoi ! UN CÂLIN ?! Je n'étais vraiment pas d'humeur, je vais le frapper ! Qu'il s'éloigne vite ! Je vous jure j'ai besoin de me frapper ! J'ai besoin de frapper ! Je veux le tuer ! Mon état de faiblesse me laisse perplexe ! Je ne suis pas comme la tapette devant moi, je n'ai jamais pleuré et ne pleurerai jamais ! Pourtant lorsque ses mains touchent ma peau boursouflée par les brulures, la douleur s' apaise instantanément. Comme le baume que je n'ai jamais trouver pour soigner cette blessure.... Non ! Je ne peux permettre qu'il me touche ainsi. Je vais le virer dans moins de trente seconde lorsqu'il parle, et que ses paroles me clouent sur place.
Je suis navré, Mathieu. Je sais que tu me hais, mais je ne peux pas te mentir. la voiture d'Ael, c'est moi qui la lui ai offerte. On était ensembles depuis notre année de seconde, au mois d'octobre. Je venais tout juste d'arriver à Saint Roddingotn, j'étais dans sa classe. Tu te souviens, il a commencé à ne plus venir avec toi pour me tabasser, il a arrêté de se taper des filles en veux tu en voilà. Il était devenu fidèle, tu avais vu juste. Mais pas à une fille. Tu peux me fracasser le crâne par terre si tu veux, peu m'importe. Je l'aimais vraiment tu sais. Je suis terriblement désolé, Mathieu. Pardonne moi.
-NON !
Mon unique réaction ! Je ne peux en dire plus ! Je suis détruis ! L'imagination de Tarek est bien trop fertile, mais je ne peux qu'y croire. Tout concorde, Ael ne le frappait plus, ne couchait plus avec personne. J'avais toujours dis qu'il devait être devenu fidèle ! Mais pas à un mec ! Comment il avait pu me faire ça !!!! Je n'en voulais pas des excuses du rouquin ! Je ne voulais plus voir personne ! Le repoussant brutalement, mon point partit ! En plein dans la cage thoracique, je lui coupai le souffle. Mais je ne frappai pas plus, le visage détruit, décomposer j'entrai dans la chambre de Kathleen, cette dernière me regardai, le sourire aux lèvres elle se relevait avant de me demander :
-Tu viens mon chou ? Revient vers moi.... -Fermes la poufiasse !
Je n'avais jamais parler à une fille de la sorte, du moins en face. Mais vu mon état de nerf, je ne pouvais pas la voir ! Je ne pouvais plus voir un seul membres de la famille Thompsons ! Je récupérai mes fringues d'un seul geste, le visage détruit ! Ael n'avait pas pu me faire ça ! Il ne pouvait pas ! Je vais le tuer ! Même s'il est déjà mort ! Lorsque je le rejoindrai en enfer il mourra de nouveau ! Finalement qu'il soit mort n'est pas si mal que cela, il n'aura pas à supporter mes coups.
Je sors, et la première chose qui arrive devant moi est l'Aston Martin de celui qui était encore mon meilleur ami il y a quelques instants. Mon point enfonce la porte, ils ne pourront jamais l'ouvrir, qui qu'ils soient ! Ael est mort pour moi ! Il est mort, il ne reviendra jamais. Prenant mon visage entre mes mains, je pousse un hurlement déchirant ! Mes larmes coulent sur mes joues, depuis combien de temps je n'avais pas pleuré ? Depuis mes 6 ans je pense. Je m'arrache les cheveux, tape dans les arbres qui m'entourent, hurlant de rage ! Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi a-t-il fait ça, m'a-t-il fait ça ! Je n'en peux plus, mes larmes roulent sur mes joues, mon visage est ruisselant de larmes. Que quelqu'un me voit ! Que je devienne le pire des monstres du lycée ! De toute manière je ne peux plus respirer, je ne peux plus vivre avec cette idée dans la tête ! L'idée qu'Ael est fait ça ! Je ne peux le supporter !
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| | | Sylvain Keiràn Ikrà
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| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Jeu 24 Mai - 18:32 | |
| -NON !
Pathétique. Immature. Moi, je ne me suis pas montrer si stupide. Il y a des choses dans la vie qu'on doit accepter, et c'est souvent les plus dures. Son coup de poing me coupe la respiration, et je m'applique à me soigner tant bien que mal, à respirer correctement pour oxygéner mon corps comme il faut. C'est plus difficile qu'il n'y paraît, croyez moi. Alaric retourne dans la chambre de ma soeur. Il a intérêt à ne pas la frapper.
-Tu viens mon chou ? Revient vers moi.... -Fermes la poufiasse !
Bien. Insulte la tant que tu veux elle le mérite. Mais tu ne la frappe pas !! Alaric descend les escaliers à toute vitesse, droit vers sa voiture. Il aurait mieux fait de rester dans la villa, il n'aurait pas fait cette connerie... Il y a beaucoup de choses sur lesquelles je suis prêt à faire des concessions. Mais ça... Ça ... Non !! Le son de la tôle qui se plie me transperce les tympans, et je sens avec une certaine terreur la colère m'envahir. Pas bon ça... Ma soeur n'est pas en état de me calmer, et nous sommes seuls ici. Tout le reste de la famille est avec les chevaux ou dans les champs. Le souffle me revient totalement au moment où le gros bourrin se met à pleurer pour de bon. Ah, tu pleures ??! Je vais te donner une bonne raison de le faire, mon vieux !! Je ne sais pas si je peux sauter aussi loin, mais je m'élance quand même vers l’extrémité de la terrasse. Je ne prête presque pas attention au moment où mes pieds heurte le carrelage, pour la simple et bonne raison que je me suis déjà projeté vers Alaric. Il est sans doute dos à moi, parfait... Je m'aplati dans un buisson de roses, silencieux comme une ombre., à deux mètres de lui si je calcule bien... Je sens les plantes grandir autour de moi, comme des ronces. On dirait bien que j'ai définitivement perdu le contrôle. Sur Ludtyvia, les miens sont obligés de sceller ma magie par la force. Sur Terre, ils estiment que je n'en ai pas besoin. Faux. J'écoute ma nouvelle proie criser pendant environ une minute, et me jette de toute mes forces sur ses épaules. Je ne crois pas avoir jamais poussé un cri aussi agressif de toute ma vie. Le choc est violent, et j'entraine la masse de muscle d'Alaric rouler dans la poussière avec moi. Je coince aussitôt trois doigts dans sa nuque, paralysant momentanément ses bras et ses jambes. J'entend le très léger craquement qui me certifie sa tétraplégie éphémère. Je serre mes genoux autour de ses côtes, un seul mot qui ne me plait PAS DU TOUT et je les lui broie comme un rien. Gare à ce que tu diras Alaric ! Insulte moi si tu veux, mais fais gaffe à ce que tu diras d'Ael ! Pense tes horreur si tu veux mais ne les dit pas à voix haute !! Je penche la tête vers le creux de son cou et lui crache avec rage :
Tu ferais mieux de faire attention Alaric... Je suis loin d'être d'humeur à faire des concessions... J'aurais pu, je venais en fait, mais tu les détruites d'un mot... Je sais, tu n'en veux pas de mes concessions, ni même de mes excuses... Mais vois tu, je comprend qu'Ael ne te parlait de rien... Tu prétend que c'était ton meilleur ami, mais tu viens de le rejeter comme s'il était le dernier des ratés... Tu n'es qu'un déchet, un minable... Tu ne connais même pas la chaleur d'une famille, comment pourrai tu ne serait ce qu'apprécier quelqu'un ? Tu me donne envie de vomir... C'est papa qui te tapait dessus ? C'est pas de chance... Oui, quand tu parles, ta personnalité, tout en toi indique ton passé pour quelqu'un d'aveugle... Tu es comme un livre ouvert pour moi... Tu trouves les femmes faibles, n'est-ce pas ? Je ne suis pas d'accord. Le faible dans cette histoire, c'est toi.
Les rosiers ont envahi les alentours, menaçants, comme des milliers de griffes. Dans le parc, il règne un silence de mort. Le gazouillement incessant des oiseaux, le bourdonnement des insectes, tout s'est interrompu. Seule la brise chaude fait murmurer les arbres. C'est comme si ma rage avait arrêté le temps.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Ven 25 Mai - 14:47 | |
| Je commençai tout juste à enfin me calmer, ravalant mes larmes. Je ne pouvais pas pleurer, je ne pouvais pas me le permettre. Un cri de bête sauvage sort de nul pars, perdu dans mes pensées je n'avais pas vu que quelqu'un m'avait rejoint. Et je reconnais cette voix, Thompson ! Ses trois doigts se posent sur mon cou, et avant que je n'ai pu faire la moindre chose, je me retrouve paralysé ! IL M'A FAIT QUOI CE BATARD !!!! De un il a posé ses mains sur moi, et de deux il m'a rendu faible ! Ma nuque a craqué, je me sens faible pour la première fois de ma vie. Moi qui est toujours compté sur ma force physique, et uniquement sur cela je me sens... IMPUISSANT !
Il a grimpé sur mon dos, mon dieu ! Je vais crever de honte ! Qu'il me tue je m'en fous ! Mais qu'il me grimpe dessus ! Je ne le permet pas dégage de là loser non de dieu ! Va te faire foutre connard ! Je veux pas que tu sois près de moi, je veux que tu dégages de suite ! Casse toi non de dieu ! Ses lèvres s'approchent de mon cou et me disent :
Tu ferais mieux de faire attention Alaric... Je suis loin d'être d'humeur à faire des concessions... J'aurais pu, je venais en fait, mais tu les détruites d'un mot... Je sais, tu n'en veux pas de mes concessions, ni même de mes excuses... Mais vois tu, je comprend qu'Ael ne te parlait de rien... Tu prétend que c'était ton meilleur ami, mais tu viens de le rejeter comme s'il était le dernier des ratés... Tu n'es qu'un déchet, un minable... Tu ne connais même pas la chaleur d'une famille, comment pourrai tu ne serait ce qu'apprécier quelqu'un ? Tu me donne envie de vomir... C'est papa qui te tapait dessus ? C'est pas de chance... Oui, quand tu parles, ta personnalité, tout en toi indique ton passé pour quelqu'un d'aveugle... Tu es comme un livre ouvert pour moi... Tu trouves les femmes faibles, n'est-ce pas ? Je ne suis pas d'accord. Le faible dans cette histoire, c'est toi.
Le visage dans la poussière, je respirai difficilement. Ses paroles me font tellement mal qu'elles me coupent elles aussi la respiration. Si quelqu'un comme lui peut le voir, qui s'en est rendu compte aussi ?! Mes larmes s'étaient entièrement effacées, et bien que je ne pouvais plus bouger même le petit doigt, mon visage avait reprit l’arrogance habituelle. Le Mathieu ayant perdu le contrôle il y a quelques secondes étaient mort et enterré, il ne refera jamais surface ! Je contrôle mon cœur maintenant je ne veux plus souffrir ! Jamais plus je n'accorderai mon amitié ou des sentiments à quelqu'un ! Voilà une des véritables raisons qui fait que je n'étais jamais tombé amoureux ! Je détestai souffrir, et j'en avais suffisamment pati dans mon enfance.
-Je.... je Je respirai de plus en plus difficilement, il se rendait pas compte que j'allais crever ce con ! Je t’emmerde sale loser ! Croit toi pas en position de force tu sais rien de ma vie ! Qui te fait croire que mon paternel me frappait ! On a pas besoin d'un père violent pour devenir celui que je suis ! Tu le comprend ça abrutit ! Quand à ton Ael tu peux te le garder son souvenir il mérite sa mort ! S"il me l'avait dit c'est moi qui me serai chargé de son cas ! Il mérite ce qu'il a eu ! Je bénis celui qui l'a tué ! Vous êtes tous des ratés les gays ! Vous méritez pas de vivre !
J'ai pratiquement craqué mes mots, je lui ai dis avec ma morgue habituelle, avec mon visage redevenu dur comme les montagnes. Je suis un Roc, un homme fort, un homme, un vrai ! Combien de fois m'a-t-on répété que je devais devenir un véritable mâle, une personnalité à moi tout seul, quelqu'un de virile, quelqu'un de méchant ! Je suis devenu ainsi, mauvais comme la gale, méprisant, dangereux ! Mes yeux bleu, habituellement si clairs, sont devenus aussi sombre qu'un ciel de pluie. J'entends au loin l'orage gronder, une tornade est en prévision. Qu'il m'est rendu impuissant me fait devenir encore plus dangereux. S'il me lâche il lâchera un monstre. Amarok ne sait pas à quel point il avait raison dans son insulte ! Je peux devenir un minotaure ! Je peux devenir un taureau ! Je peux charger, et il faut partir de mon chemin ! Tout de suite ! Thompson, je te jure que si tu me lâche, je te tue ! Et douloureusement ! Physiquement et mentalement tu es mon pire ennemi ! Et tu vas le payer !
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| | | Sylvain Keiràn Ikrà
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| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Ven 25 Mai - 15:52 | |
| -Je.... je Je t’emmerde sale loser ! Croit toi pas en position de force tu sais rien de ma vie ! Qui te fait croire que mon paternel me frappait ! On a pas besoin d'un père violent pour devenir celui que je suis ! Tu le comprend ça abrutit ! Quand à ton Ael tu peux te le garder son souvenir il mérite sa mort ! S"il me l'avait dit c'est moi qui me serai chargé de son cas ! Il mérite ce qu'il a eu ! Je bénis celui qui l'a tué ! Vous êtes tous des ratés les gays ! Vous méritez pas de vivre ! Tiens, tiens, il le prend comme ça... Il tente de se suicider ou quoi ?! Désespéré, j'essaie de me calmer mais je sais que ça n'aura aucun effet. Il faudrait une personne autre que moi. A Exochikos, quand je suis dans un état de rage pareil, même mes bracelets ne suffisent plus. J'en ai passées des heures enfermé pour cette raison, ça je peux vous le dire !! Je ne sais rien de sa vie ??! Idiot !! Je connais son enfance, j'étais là !! Flash back Dans la classe de maternelle, à Milwaukee. A l'époque, je voyais ce qui m'entourait. Mathieu Alaric, trois ans, piquait ma curiosité. Pourquoi ces marques ? Pourquoi il ne disait rien? Est-ce que les adultes étaient bêtes ? Un enfant de mon âge, ce n'est pas censé être comme ça ! Et puis, pourquoi on ne voit jamais son père ? Deux mois après la rentrée, je ne pouvais plus résister. Ce petit garçon m'obnubilait. Je me souviens de la première fois où je l'ai approché, il me faisait une peur bleue. J'étais déjà un enfant d'une gentillesse anormale. Un gamin de trois ans normal, ça ne remarque pas les choses comme ce qui arrivait à Mathieu. Mais j'avais tellement l'habitude de voir mes frères et soeurs aimés, et mes parents attentionnés, que je ne pouvais pas m'empêcher de deviner. C'est ton père, hein, qui te fais ces drôles de marques ?, j'avais envie de lui demander. Sauf que je ne voulais pas le brusquer. Ce jour là, j'avais un paquet de bonbons dans la poche et je ne savais pas quoi en faire. Alors, je lui ai tendu sans un mot, avec un sourire timide. Il n'a pas bougé. Il était tellement...Lointain, en fait. On aurait dit qu'il évoluait dans un autre monde. Dans un endroit trop loin pour qu'un simple enfant chouchouté comme moi puisse l'y rejoindre.
Mathieu... Euh...Je...Tiens ! C'est pour toi !
Je lui ai fourré les friandises dans les mains et j'ai battu en retraite. Et s'il me rejette ? Je voulais plus que tout au monde être son ami. Être un repère pour lui.
Je ne me souviens pas comment, mais quelque temps plus tard je m'étais installé à côté de lui en classe. J'aimais déjà beaucoup lire, et lui il ne savait pas, lire. Du coup, je me suis retrouvé à lui apprendre, et c'est les meilleurs souvenirs de mon enfance. C'était vraiment un garçon attentif, avec l'envie d'apprendre. Tout l’intéressai. Je ne pensais pas découvrir ce monstre qu'il est devenu en revenant étudier dans un lycée normal.J'ai envie de le tuer ! De lui faire ravaler sa fierté, de le réduire à néant ! Que tout le monde lui tourne le dos ! Des rameaux de ronces enserrent petit à petit ses jambes et ses bras, et je sens l'odeur du sang envahir les lieux. Plus je m'énerve, plus les épines lui entames la peau. Mais je ne veux pas qu'il ait des cicatrices superflues. Les plantes reprennent leur aspect et leur taille habituelle, et je passe mes mains le long de ses blessures avant de revenir bloquer sa cage thoracique de l'étau de fer de mes jambes. Il veut jouer ? On va jouer !! Je saisi le minuscule scalpel que je cache entre les perles de mes cheveux et attrape son poignet que je tord sans ménagement. Il est peut être paralysé, mais pas insensible à la douleur... Bon, il faut que je me concentre. Je commence lentement mon ouvrage, jubilant à l'avance. Je trace les lettres rouges et profondes, pour être certain de laisser une marque que moi seul, personne d'autre, pas même les grands guérisseurs de ma nation, ne pourra enlever. Enfin, je me recule un peu, déçu de ne pas pouvoir contempler mon ouvrage. Je passe le bout de mes doigts sur le mot gravé à jamais dans sa peau, et un sourire sadique étire mes lèvres. Dominated. Désormais, il vivra avec cette cicatrice irréversible au creux du poignet, tracée de mon écriture unique. C'est comme si je l'avais marqué au fer rouge. A présent, il est mien ! Tarek !! T'es malade ou quoi ???!! ARRETE !!!Mehdi. Qu'est ce qu'il vient faire ici celui là ?? BARRE TOI !!!! J'AI PAS BESOIN DE TOI !!!!Mon jumeau se précipite vers moi, et je le cloue à un arbre, le bras sous sa gorge, fou de rage. S'il ne dégage pas, je le tue ! Je le tue, c'est sûr, et je le découpe en petits morceaux pour en faire de la garniture de salade !! Je transperce ses deux mains de deux ronces, l'attachant à l'arbre. S'il bouge, elles le broieront sans ménagement. Je retourne à Alaric, le visage douloureusement crispé par mon sourire de psychopathe. Je le hais...Je crois que je le hais vraiment...Comment peut il m'avoir oublié ??! Comment ose t'il me dire que je ne sais rien de sa vie ?! Agacé, je file dans ma chambre sans prêter attention aux supplications folles de Mehdi dont la douleur se répercute dans toutes les cellules de mon corps. Maudit jumelage ! Je saisi sur mon bureau une photo que je connais par coeur, et que je donnerai tout pour revoir. Mathieu Alaric, cinq ans et demi, un petit sourire timide et un paquet de berlingots dans la main. A ses côtés, moi, ravi, le tenant par le cou, portant déjà des perles dans mes cheveux épais. C'était deux jours avant l'accident. Je lui avais promis : Tu es mon meilleur ami, Mathieu ! Et rien ne nous séparera jamais ! D'accord ?L'étincelle dans son regard, je ne l'oublierai jamais. J'y croyais à cette amitié. Quand j'ai découvert le Mathieu de seconde, j'ai eu envie de tout casser. J'ai pleuré des nuits entières. J'avais tout perdu. Même lui. Et croyez moi, se reconstruire à Milwaukee quand on a quinze ans et qu'on est homosexuel, c'est mission impossible. Surtout avec ce monstre dans les parages. Alors, j'ai mis de la distance. Je pensais qu'on ne pouvais plus m'atteindre. Et il ose salir le nom d'Ael !! Je redescend, et je redresse Alaric contre un arbre, toujours aussi bloqué par la vertèbre que j'ai soigneusement déplacée dans sa nuque. Et je lui pose cette vieille photo sous le nez. Puis je remet sa vertèbre et je détache Emperor qui broute à quelques mètres. Il semble me fuir, je dois être assez flippant en fureur. Je ne lui pardonnerai jamais. Si à cause lui on me replace dans l'hôpital psychiatrique où j'ai passé cinq ans, ceux qui suivaient mon accident, je crois que je me tue, et je l'emporte avec moi. Mes larmes se tarissent, et je reprend peu à peu le contrôle de mes actes et de mes pensées. Tu me dégoûtes... Tu es la plus grande déception de mon existence. Tu m'avais dit que tu serais là. Mais quand j'ai ai eu vraiment besoin, où étais tu ? Tu m'avais oublié. Tu ne vaux pas mieux que ton enflure de père !!Non... Je n'arrive pas à le haïr...Et je me laisse tomber dans les fleurs du jardin avant de me mettre à hurler comme un animal blessé. Mehdi s'est libéré, et il va vers Alaric. Si mon coeur avait explosé, j'aurais moins mal que maintenant. En fait, cette dispute... Mathieu vient de me piétiner à jamais. Ce ne sera plus jamais comme avant. J'espère au moins l'avoir ne serait qu'éraflé psychologiquement. Qu'il ai un minuscule aperçu de ce que je peux ressentir. Et c'est là que je me rappelle. Au primaire, nos parents n'étaient jamais là. Mon accident avec Télys, je l'ai eu chez ma tante. Et ce jour là, il était invité chez moi. Flash back Deux heures de l'après midi. Mon frère se moque de moi parce que je ne veux pas monter aux arbres : j'ai le vertige, ça me rend malade. Je préfère m'allonger dans l'herbe et observer les oiseaux, papillons, plantes qui peuplent cet endroit. C'est ce qu'il y a de plus beau au monde, cette possibilité d'observer et de voir les choses. D'avoir la tête remplie d'images multicolores. Télys vient s'allonger sous mon nez, dos à moi, agitant sa queue tachée de noir dans la poussière. Je fronce le nez, vexé. J'entend la porte s'ouvrir, et les petits pas précipités de mon meilleur ami qui vient me rejoindre. Ravi, je le vois du coin de l'oeil ouvrir la véranda et dans un sourire, je tire violemment la queue du bébé fauve et esquisse un geste pour me relever. C'est là que les griffes acérées atteignent mes yeux, d'un seul mouvement horizontal. Je pousse un cri de douleur, et tout devient rouge dans mon champ de vision. Puis noir. Je ne comprend pas, et je me met à hurler de plus belle à travers mes sanglots, terrifié. Non... Non ! Je lève mes mains à mon visage dégoulinant de sang en trépignant, j'appelle ma mère. Après je ne me souviens plus.Je ne lui pardonnerai jamais. Mathieu, je t'en supplie, souviens toi. C'est toujours moi, je suis encore cet enfant tout sourire qui t'a appris à lire. Je t'adorai, et c'est pour ça que je ne peux te haïr. Parce qu'on fond, comme un naufragé s'accroche à une planche, je continue de voir au fond de toi celui qui fut mon premier, seul, véritable et meilleur ami. |
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| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mar 29 Mai - 8:46 | |
| Des ronces me blessent. J’hurle de douleur, mes cris font taire le peux d’oiseau qui avaient recommencé à chanter. Je sens que le loser sur mon dos sort quelque chose, il trifouille dans ses cheveux, je l’entends au bruit qu’il fait. Mon poignet entre ses mains et une douleur furieuse qui prend par de moi. Chaque lettres qu’il trace est plus douloureuses que la précédente. Je sais que personne ne peut m’entendre mais j’hurle comme un fou, la douleur me fait monter en crescendo. Je ne sais même pas se qu’il a pu écrire et je dois avouer que la peur me serre le ventre. Je hurle toujours, l’insultant, le traitant de tous les noms, les pires insultes sortent de ma bouche. Kathleen vient retenir ton frère ! Je le supplie, je le maudis ! Si je pouvais je ruerai ! J’ai mal, j’ai peur ! Je suis incapable d’agir, incapable de le faire partir, il n’exerce presque aucune pression sur moi, mais je sens la force qui émane de lui. Il est dangereux, presque plus que moi je dois bien me rendre à l’évidence. Il me fait souffrir, encore plus que je n’ai jamais souffert, car je ne peux voir ce qu’il a écrit. Et je n’ai jamais été doué pour deviner ce que l’on écrivait sur moi. Normalement, les messages des filles qui tracent de leur doigt dans mon dos presque à chaque fois le mot « love » ne sont pas aussi douloureux ! JE VEUX MOURIR ! Connaissant Thompson, il n’a pas écrit « love ». C’est un mot plus long, juste au niveau du creux du poignet, là où la douleur est la plus terrible. Et qu’a-t-il écrit ? Cette question tourne en boucle dans ma tête, au point de me rendre fou ! La tempête c’est énormément rapprochée, commençant même à franchir la barrière des Hespérides. Je crois qu’à chaque fois que mes nerfs sautent, elle arrive. Toujours la même, toujours dévastatrice. J’hurle une dernière fois, j’ai reconnu cette lettre. Un d tracer dans ma chaire, je garderai une cicatrice à vie, je sais que ce petit connard a enfoncé sa lame suffisamment profondément pour que personne ne puisse me soigner. Il me le payera ! Il le payera de sa vie ! Il a une résistance hors du commun, mais il ne peut pas survivre à une balle en pleine tête. Les armes ne manquent pas chez moi, mais avant ça il va souffrir ! Il tient à sa sœur, il tient à sa famille. Ils mourront tous devant ses yeux, j’ai tué des animaux auparavant, mais les humains sont semblables. Quelle est la différence entre un ours et un homme ? Il va souffrir, je le jure sur tout se que je possède ! Tarek !! T'es malade ou quoi ???!! ARRETE !!!Je reconnais cette voix… La poudre blanche dans le petit sachet dans ma poche, elle vient de chez lui. Mais il n’est pas d’ici, il vit en Floride ! Je vais me fournir loin de chez moi, et puis je visite du pays comme ça. Une heure d’avion en première classe et tout est réglé ! Mon dilleur officiel, qui hurle à Thompson de stopper ce qu’il fait ! Impossible, je suis en train de rêver ! Tout s’explique, je vais me réveiller, il ne se sera rien passé. Mais j’ai trop mal pour que cela ne soit qu’un rêve… BARRE TOI !!!! J'AI PAS BESOIN DE TOI !!!!Je suis resté coincé, je ne vois rien de se qui se passe entend seulement les cris du jeune homme qui nous a rejoint. Qu’est ce que cet enfoiré de Thompson lui a fait ! On touche pas à mon dilleur non de dieu ! J’ai besoin de lui moi ! Je fais comment pour me défoncé la gueule s’il est plus là ? Dire que quelque minute plus tôt je m’envoyai en l’air avec une fille physiquement parlant parfaite, et que maintenant je me retrouvai la tête dans la poussière, incapable de bouger ne serait-ce que le petit doigt ! Je n’aurai jamais du sortir sur ce balcon. Aél était mon meilleur ami, le seul et l’unique. Comment il avait pu me faire ça à MOI ! Je croyais que je comptai pour lui ! Je croyais qu’il était un minimum sincère dans son amitié ! En vérité Thompson avait raison, j’étais faible ! J’accordai ma confiance à des gens qui ne la méritait pas, je me faisais manipuler ! J’étais peut-être le seul véritable loser de se lycée en vérité… NON ! IMPOSSIBLE ! J’ETAIS UN ALARIC, JE NE POUVAIS ÊTRE DE LA RACE DES PERDANTS ! Ma famille est riche, je suis son hérité, je me dois de lui faire honneur ! Je ne suis pas faible, je ne suis pas un loser mais un winner ! J’ai toujours vu tout mes désirs assouvies ! Oubliant l’imbécile qui geignait à côté de moi, je tentai de me relever. Mais je ne le pouvais pas… Un bruit de pas fit se tendre mon corps, mon visage était dur, plein de morgue, plein de haine ! Il était peut-être en force aujourd’hui, mais il n’en sera pas toujours ainsi. Viendra le jour où il ne me prendra pas par derrière, et ce jour là je le tuerai ! Je le ferai souffrir avant, arracherai chaque partie de sa peau, le tuerai doucement, lentement, douloureusement. Pour chaque blessure psychique qu’il m’inflige aujourd’hui je lui rendrai le triple physiquement. Je connais les points qui font mal, je connais parfaitement le corps humain… Tu me dégoûtes... Tu es la plus grande déception de mon existence. Tu m'avais dit que tu serais là. Mais quand j'ai ai eu vraiment besoin, où étais tu ? Tu m'avais oublié. Tu ne vaux pas mieux que ton enflure de père !!Mais ferme ta gueule ! Tait toi ! Je suis pas comme mon père ! Je ne frapperai jamais un enfant ! Je t’avais oublié, mais je ne pouvais reconnaître en toi cet enfant, et toi le gay ! Je me sens soulevé de terre et coller à un arbre, je peux voir de nouveau. Prenant une grande inspiration, mon visage brulant de haine se pose sur Thompson, je te jure que je me vengerai ! Mais l’image qu’il me montre me laisse briser… Je ne m’en rappelai plus de se garçonnet que j’étais…. Et de l’enfant à mes côtés… Flash Back J’étais à l’époque un garçon timide, je ne parlai que très peu, étant essentiellement solitaire, me demande toute la journée se que je pouvais faire pour que mon père déchaine ainsi sa colère sur moi. Je ne comprenais pas, il y a bien longtemps que je n’avais plus fait de caprice, que je n’avais plus réclamé à tord et à travers. Je ne faisais aucune bêtise chez moi, mon comportement était irréprochable. Alors pourquoi ? Et surtout pourquoi ma mère ne bougeait pas, pourquoi elle ne venait pas me sauver lorsque j’hurlai de toute la force de mes poumons, lorsque je remontai vers elle ensanglanté, des marques plus impressionnantes les unes que les autres sur mon corps d’enfant ?
Mais un jour, un jour de plus que je passai à me questionner, perdu dans mon monde, à des années lumières de tous les enfants de cette école, un petit garçon c’était approché de moi, un paquet de bonbon à la main. Je ne l’avais jamais remarqué auparavant, j’étais tellement dans la lune tout le temps que je ne savais même pas qui était ou n’était pas dans ma classe. Les gens étaient comme des fantômes pour moi, sans couleurs, sans nuances, parfois gênant mais rarement sur mon chemin. Je vivais seul, je portai seul un fardeau qu’un enfant de mon âge ne devrait pas porter. Mais je ne le savais pas, personne ne réagissait lorsqu’ils voyaient mon œil au beurre noir, mes épaules lacérées. Je me détruisais l’esprit à me poser des milliards de questions… et à n’avoir aucunes réponses. Un enfant roux, un sourire d’une gentillesse à faire pleurer sur les lèvres, qui se tenait devant moi. Il me tendit le paquet, je ne savais pas quoi faire, craignant qu’il me frappe je m’étais replié sur moi-même. Mais non, il me l’offrit avec gentillesse, une gentillesse que je ne savais pas que quelqu’un pouvait posséder. Deux jours plus tard, nous étions à côté en classe, et il m’apprenait à lire. Nous nous étions juré une amitié éternelle, jusqu’à ce fameux jours où mon monde a explosé pour la première fois. Tarek m’avait invité chez sa tante, et j’étais resté à l’intérieur pendant qu’il s’amusait avec son frère jumeau que je n’aimais pas particulièrement. Trop brutal et arrogant pour moi. Il croyait pouvoir tout faire, et savait tout faire. Il n’avait peur de rien, vivait dans un petit coton. J’étais jaloux de la famille de mon meilleur ami, ils étaient tous plus chouchouté que ce que je n’avais jamais été, et surtout aimer par leur deux parents. Mais je suis sorti pour affronter Medhi. Il avait bloqué Tarek en bas d’un arbre, le narguant, et je savais très bien que le garçonnet avait le vertige. J’avais comme plan de monter et de faire tomber le jumeau, histoire de défendre mon meilleur ami. Je n’avais pas peur de tomber et de me faire mal, et puis Medhi comme Tarek guérissait extrêmement vite lorsqu’ils se blessaient alors je n’avais pas trop de soucis à me faire si l’un des jumeaux se blessait. Je m’approchai, et fis un petit sourire taquin au rouquin. Ce dernier n’avait pas du comprendre mon plan et il se releva tout en tirant la queue du bébé puma à ses côtés. J’avais toujours été jaloux de son affinité avec les animaux aussi, je les regardai de loin tout ses fauves, ils ne m’aimaient pas alors pour moi ils étaient des êtres… mystiques. Dangereux, tout en puissance, et magnifiques. Intouchables, lointains. Mais l’animal se retourna brusquement, et ses griffes crevèrent la fine peau du visage de mon meilleur ami. Je poussai un hurlement à glacer le sang devant le liquide écarlate qui s’écoulait des yeux du jeune garçon ! Je n’avais jamais poussé un cri pareil, trop de douleur. Ses parents m’ont renvoyer chez moi, et je n’ai plus jamais revu Tarek
Flash back Je poussai un cri d’effroi, non ce n’était pas vrai ! Mes souvenirs me jouaient un tour, l’aveugle devant moi n’était pas mon ancien meilleur ami ! Le garçon si gentil ne pouvait être devenu se monstre ! - Me regarde pas comme ça loser ! T’es rien pour moi ! Aucune photos ne changera se que j’éprouve pour toi, uniquement du mépris et de la haine ! Rien d’autre ! Tu dis que je suis un déchet, mais tu as fait bien pire que moi ! Tu m’as volé mon meilleur ami aujourd’hui ! Tu m’as fait croire au pouvoir de l’amitié dans le passé ! Je n’étais qu’un enfant ! Tu crois te souvenir de qui je suis mais tu as loupé une grande partie de ma vie ! Tu sais quelques choses mais tu ne sais pas tout, et je pourrai même dire que tu ne sais rien au regard de mon existence ! Tu es un débris, une loque que j’écrase d’un geste ! Tu n’as plus devant toi un petit enfant apeuré mais un grand mec dangereux sale tapette ! Tu oses me regarder en face mais tu ne mérites même pas de poser les yeux sur moi ! Tu ne mérites même pas de vire ! J’ai peut-être vécu sans l’amour de mon père mais j’ai vécu ! Je ne suis pas resté enfermé dans un hôpital de fou ! Comme tous ceux de ta famille ! J’te jure que je me vengerai Thompson ! Et tu ne seras pas le seul à payer les conséquences de tes actes ! crachai-je Mes prunelles se posèrent sur mon poignet, et je ne pu voir ce qu’il avait gravé tellement il saignait. Il avait appuyé bigrement fort ! J’avais extrêmement mal ! Je vais le tuer ! J’entends qu’il m’a lâché. Il n’aura jamais du faire ça. Me relevant difficilement, je dresse ma masse de muscle devant lui. Chacun de mes membres me fait mal, mais la plus douloureuse de mes blessures est celle de mon cœur. J’ai reconnu mon dilleur j’ai reconnu Medhi, le gamin que je détestai enfant. Thompson c’est effondrer, tu vas crever ! Je te jure que la mort sera plaisante face à se que tu vas ressentir entre mes mains ! Le jumeau s’approche de moi, mon visage brulant de haine se tourne sur lui. -Dégage de mon chemin Mehdi ! Il ne bouge pas, et mon point rencontre son ventre, le laissant en larme sur le sol. Je m’approche de Thompson, la tornade gronde derrière moi. Elle a passé la barrière du domaine des Hespérides, et s’approche, dangereuse comme moi. Mes prunelles ont viré au noir le plus profond, et je crache au pied du rouquin. Je l’attrape entre l’étau de mes mains, et serre… Puis prit d’un brusque sursaut de conscience, je le lâche au moment exacte où l’air commence à lui manquer. Je me redresse, ombre dangereuse. Les arbres autour de nous commencent à pencher, des craquements retentissent. La pluie tombe, un éclair déchire le ciel avec un bruit de tonnerre. Mes yeux ne sont plus que deux fentes, narines dilatées, dents découvertes, la haine à prit par de tout mon corps. Je ne suis plus qu’une boule de rage… Entièrement dirigée vers le loser devant moi. Je t’ai oublié car tu es devenu tout se que je haïs Thompson ! Un gay ! Il m’avait volé mon meilleur ami ! Il avait commis tant d’acte que je méprise ! Petit, peu musclé, il m’avait torturé, je l’avais supplié ! Et il me le payera ! |
| | | Sylvain Keiràn Ikrà
PROFIL► AVATAR : Cameron Monaghan ► VOTRE AGE : 25 ►PORTRAIT : ► CIITATION : Never let them see you weak ► CREDIT : Me, tumblr ► ARRIVÉ LE : 04/04/2012
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Mar 29 Mai - 21:36 | |
| - Me regarde pas comme ça loser ! T’es rien pour moi ! Aucune photos ne changera se que j’éprouve pour toi, uniquement du mépris et de la haine ! Rien d’autre ! Tu dis que je suis un déchet, mais tu as fait bien pire que moi ! Tu m’as volé mon meilleur ami aujourd’hui ! Tu m’as fait croire au pouvoir de l’amitié dans le passé ! Je n’étais qu’un enfant ! Tu crois te souvenir de qui je suis mais tu as loupé une grande partie de ma vie ! Tu sais quelques choses mais tu ne sais pas tout, et je pourrai même dire que tu ne sais rien au regard de mon existence ! Tu es un débris, une loque que j’écrase d’un geste ! Tu n’as plus devant toi un petit enfant apeuré mais un grand mec dangereux sale tapette ! Tu oses me regarder en face mais tu ne mérites même pas de poser les yeux sur moi ! Tu ne mérites même pas de vire ! J’ai peut-être vécu sans l’amour de mon père mais j’ai vécu ! Je ne suis pas resté enfermé dans un hôpital de fou ! Comme tous ceux de ta famille ! J’te jure que je me vengerai Thompson ! Et tu ne seras pas le seul à payer les conséquences de tes actes ! Dégage de mon chemin Mehdi ! Flash Back J'ai froid, et j'ai peur surtout. Seul, dans le noir, je passe mon temps à me cogner contre des murs glacés. Mes mains saignent sans interruptions à force que je tente de m'échapper de cette prison morbide, et l'odeur entêtante du sang me donne la nausée. J'entends à peine se qu'il se passe autour de moi, et le noir persiste. Les médecins disent que je ne recouvrerai jamais la vue. Même ma famille n'a rien pu faire, et ne pourra jamais rien faire. Mehdi a déclaré qu'il ne voulait plus voir mes animaux, et l'image mentale de mon pauvre petit Télys grelottant dans son enclos de zoo me glace le sang. Terrorisé, frigorifié, je resserre la prise de mes bras autour de mes épaules et recommence à sangloter. Je parle tout seul depuis plus de trois mois. Je hurle souvent, dans mes cauchemars. Le problème c'est que désormais, les cauchemars,je n'arrive plus à les différencier de la réalité. J'appelle Mathieu à voix basse à travers mes sanglots étouffés, je voudrais tellement qu'il soit là. Un claquement me fait reculer comme un animal traqué, d'un bond, montrant les dents. Je n'ai que sept ans, et pourtant je suis le patient le plus dangereux de cet hôpital. J'ai entendu le médecin général le dire à ma mère il y a quelques temps. Le type entre dans la cellule, à petits pas, et me parle comme à un animal domestique. Doucement, c'est bien, calme, je ne te veux pas de mal... Des clous ! Tout le monde me veut du mal !! Je hais tout le monde ! Je les tuerai tous !!! Fou de rage, je me jette sur l'infirmier et je sens mes dents pénétrer violemment dans la chair de ce qui semble être son bras. Le goût du sang me ramène brusquement à la réalité et je fais un bond vers l'arrière avec un cri effrayé, les mains plaquées aux tempes. Les images de ma vision rouge me reviennent, et la vue mentale du sang me terrifie. Je me remet à pleurer, assis par terre, me balançant doucement. Je n'en peux plus. Je veux sortir d'ici. Je veux que ce cauchemar cesse, par pitié ! Je vous en supplie ! Je voudrais courir, admirer le paysage qui défile quand je regarde par la fenêtre de la voiture de mon père qui m'emmène aux champs, aller m'occuper de mes animaux... Je voudrais remonter le temps, mais ce n'est pas possible. Le temps ne se compte plus au service de psychiatrie. J'ai appris à écouter, à me diriger sans mes yeux. A reformer une image à partir de celles qui ont échappé au feu qui a ravagé ma mémoire. Il y une jeune fille très gentille, anorexique, qui m'aide à m'accepter. Les crises ses raréfient, les médecins apprennent à connaître le petit garçon au coeur d'ange que j'étais. Dans une autre vie, semble-t-il. L'équitation devient un échappatoire, les chevaux mes yeux. J'ai désormais, à neuf ans, le droit de passer quelques jours chez moi sous la surveillance de deux infirmières. La première fois que j'ai refais du saut d'obstacle, c'était un accident. Mon cheval avais du repérer l'obstacle depuis longtemps, et quand je suis passé au galop il a brusquement bifurqué et m'a emmené droit dessus. Je ne savais pas qu'il y avait cet obstacle. J'ai eu une peur bleu quand j'ai senti que je ne touchais plus terre du tout, et les larmes ont coulé toutes seules. Mais, le saut. Je ne pouvais plus voir, je pouvais voler. Équitation. Une seconde chance. Pour moi, ce jour là, tout recommençais. Le début d'autre chose. A onze ans, j'ai enfin quitté l'hôpital. On me jugeait apte à vivre en société. J'ai intégré un collège d'art, et mon domaine de prédilection s'est automatiquement révélé être la musique. Le chant aussi, mais je haïssais ma voix. Du coup, j'ai appris à jouer de nombreux instruments de musique. Je n'oublierai jamais l’hôtel des Aliénés. Parfois, la nuit, en rêve, j'y suis toujours. Et je n'en sortirai jamais. Ceux qui n'y sont pas allés n'y entreront jamais, ceux qui y sont allés n'en sortiront jamais. C'est un endroit hors du monde. Pour la première fois depuis plus d'un an, je sens une crise se pointer. Alaric a tenté de m'étrangler, et j'ignore comment il a trouvé assez de raison pour ne pas le faire. Assis par terre, cette position me rappelle ma détention. Je tente désespérément de me raccrocher à la réalité, de ne pas sombrer. La douleur au creux du ventre, je sais qu'elle me vient de Mehdi. Le sang ruisselle sur son corps, je le sens aussi. Le sang. Dans mon esprit, il n'y a plus qu'une gigantesque mare de sang. Je n'arrive plus a commander à mon cerveau de respirer. Je me sens partir, m'enfoncer dans un abîme de solitude. Mathieu. Mehdi. Kathleen. Mon père. Qui d'autre encore me tournera le dos ? Qui vais-je encore décevoir ? Ma respiration me revient d'un seul coup, et un cri de possédé m'échappe. Replié sur moi même, j'ai l'impression que rien ni personne ne pourrai m'arrêter. Comment ose-t-il me demander de le regarder ??! JE N'AI JAMAIS PLUS POSE LES YEUX SUR LUI DEPUIS PLUS DE DIX ANS !!!! COMMENT OSE-T-IL ??? Je me relève en vacillant, le noir qui m'entoure depuis si longtemps semble s'être épaissi. Je suis complètement perdu, je ne sais même plus où je suis. La tempête gronde, et je sens sous l'effet de ma terreur la terre vibrer sous pied. Seulement sous mes pieds. Nulle part ailleurs. C'est comme si elle voulait m'engloutir, et je ne serai pas contre. Je pleure, pleure sans interruption, pas pitoyablement comme d'habitude, non... En silence, les paumes plaquées sur mes yeux, haletant. Je ne veux pas mourir... Pas maintenant... Il m'a fallu tellement de courage pour me reconstruire... Tellement de rage surtout ! Je ne veux pas repartir à zero ! Je refuse de retourner là-bas... Pas là-bas... Ma petite soeur, Ciaran, est en train de revenir de sa promenade à cheval. Sûrement à cause de la tempête. Ciaran...Oh, petite soeur, fuis ! Ne viens pas t'interposer s'il te plait... Tu me ressembles tant, petite soeur. Tu es plus proche de moi, physiquement, mentalement. Tu es moi à onze ans. Moi tout craché. J'entends qu'elle se rapproche sur son poney Dartmoor aux allures si parfaites. Je ne suis pas peu fier du travail que j'ai fait avec ce joli poney bai. Ma petite soeur... Il ne faut pas regarder grand frère. Je suis pitoyable, terrifié, trempé de sueur, à sursauter pour rien comme une bête malade craignant une attaque. En fait, dans l'immédiat, c'est ce que je suis. Tarek...Qu'est-ce qui t'arrives ? Tu as mal quelque part ? ... Bonjour Mehdi, bonjour jeune Alaric -mes respects.Elle descend de cheval, et j'entend son long pardessus de soie frôler le sol au rythme de ses pas d'enfants. Oh, Ciaran... Elle n'a rien à voir avec cette histoire... Il ne faut surtout pas qu'il lui arrive quoi que ce soit. A aucun prix. Elle pose sa main sur mon épaule et me redresse, et son odeur de printemps me remet un peu les pieds sur Terre. Tarek...Tout va bien... Je suis là, je vais tout arranger. Je vais faire appeler maman, d'accord ?Elle sifflote quelques chose à un oiseau que j'ai entendu se poser sur sa main, et il repart dans un quasi imperceptible froissement d'ailes. Le bruit du moteur de la jeep de ma mère ne tarde pas à se faire entendre. Je pense qu'on doit approcher des sept heures du soir. Tout le monde rentre du travail. Peut être vais je avoir un moment de répit jusqu'à lundi, au lycée. Je crois que je n'irai pas. Pas avant une ou deux semaines. J'ai des notes qui me le permettent, et certificat médical comme quoi je suis psychologiquement dévient, instable et fragile. Si ça, ça ne suffit pas... Je dessine dans la poussière un paquet de berlingots, à 'intention de Mathieu, celui que je connaissait, et qui a disparu sans espoir de retour. Avant de chuchoter, très bas, juste pour lui et moi. Va, Alaric. Je ne te haïrais jamais. Pour l'amour de celui que tu as été. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Jeu 31 Mai - 18:04 | |
| Tarek c'est relevé, j'ai l'impression de revivre la même scène. Toujours pareille... Comme au stade, je prend sa gorge entre mes mains , il tombe blessé comme un animal que l’on frappe et se redresse aussi sec. J'en avais rêver de nos retrouvaille, je savais qu'il était enfermé, je voulais allez le voir mais on me l'interdisait. Mon père me frappait toujours, ma mère ne voulait pas que je fréquente ses gens là. Les Thompsons et les Alaric ne se sont jamais aimer, ils ne doivent jamais s'aimer et pourtant contre toute attente leur fils et moi étions devenus les meilleurs des amis. Chose improbable qui avait pourtant eu lieu… Une gamine à cheval arrive, Tarek, 11 ans. Une preuve de plus que se mec à tout de la fille et rien du mec ! Une preuve de plus de pourquoi je ne peux me le voir ! Une preuve de plus qu’il était prédestiné à devenir gay ! Et qui dit gay dit homme à abattre ! La petite monte un poney bai, joli même si je n’aime pas les animaux. Rectification, je n’aime plus les animaux. Ils m’ont ravi une chose que j’aimai plus que ma propre vie durant mon enfance, une personne grâce à laquelle je commençai doucement à me reconstruire… Tarek...Qu'est-ce qui t’arrive ? Tu as mal quelque part ? ... Bonjour Mehdi, bonjour jeune Alaric -mes respects.Je la regarde de haut, ses respects !? Si elle savait où elle pouvait les foutre ses respects ! Il y a bien d’autre chose que j’aimerai lui dire, mais mes prunelles noires sont braquées sur Thompson. Elles n’ont toujours pas reprises leur couleur naturelle, et la tempête qui gronde toujours derrière moi prouve mon état de haine intense. Je vais le tuer. Un sourire sadique étire mes lèvres, physiquement parlant le jeune rouquin ne peut souffrir, enfin pas énormément puisqu’il ne garde pas de marque. Mais les cris de sa petite sœur le feront changer de chanson. Mes lèvres sont retroussées, je suis terrifiant, je le sais. Je n’ai jamais été dans un tel état de rage. Passant un doigt sadique sur la blessure que Thompson m’a fait, j’essuie le sang. Le mot qu’il a gravé, le mot qui sera à jamais écrit dans ma chaire…. Il payera. La tempête se déchaine de plus en plus, un arbre tombe à trois mètres de nous. Je vais tous vous tuer, tous autant que vous êtes ! Tarek...Tout va bien... Je suis là, je vais tout arranger. Je vais faire appeler maman, d'accord ?Elle parle à un piaf. Je sais, c'est pas normal, les humains ne parlent pas aux animaux ! Mais là.... c'est ce qu'elle a fait ! Je ne suis pas stupide, j'ai des yeux et je m'en sers ! Tiens.... moi je peux voir... pas lui. Mais en se moment, je prefererai être aveugle.... Pas pour longtemps bien sur, je pourrai plus voir les jolis corps des meufs que je me tape mais juste pour ne pas voir se qui est gravé dans ma chaire, et qui me fait encore plus haïr celui qui se trouve devant moi. Manque de pot, Thompson, je ne suis plus le petit garçon apeuré, le petit garçon que le moindre bruit faisait frémir ! Je me suis endurci lorsque je t'ai perdu, j'ai enfermé mon coeur dans une boite en fer que rien ne pouvait détruire ! Je n'ai plus jamais accordé mon amitié à personne, jusqu'à la troisième.... Ael.... Je ne peux que penser à lui, le visage du rouquin, c'est Ael que je vois derrière. J'ai perdu les deux seules personnes que je n'ai jamais aimé.... Et ma rage n'ai pas destinée que contre eux, je m'en voulais énormément d'avoir pu être aussi stupide pour ne pas voir se qu'il se passait.... Flash back Tarek m'avait été arraché par un félin... La seule personne à qui j'avais accordé ma confiance était enfermé. J'avais toujours vécu dans mon monde, mais la je comprenais la dure réalité de la vie. Tout les jours je voulais aller chez les Thompson prendre des nouvelles, tous les jours je cherchai à rejoindre Tarek, mais on me l’interdisait. "Ils sont dangereux dans cette famille ! On t'avait interdit de devenir ami avec ce petit, c'est de ta faute si l'animal c'est rebellé !" Voilà se que l'on me répétait en boucle, de la bouche de ma mère... La femme que je repectai, la femme qui m'avait fait grandir, qui me consolait. Elle était l'unique personne en qui je croyais. La haine contre moi même. Selena était déjà là, mais ne savait rien. Je ne lui avais jamais confié cette douleur, qui de jour en jour me rongeait de plus en plus. J'ai donc du apprendre à faire face, je suis devenue celui que je suis. Je ne me suis jamais pardonné l'accident... Et puis j'ai oublié.... Je me suis forcé à oublier, les filles et les années ont achevé ce travail que j'avais lancé. Il est tellement facile d'oublier la douleur... Tellement simple d'oublier ce sentiment de haine absolue que l'on ressent contre soit. Mais tellement douloureux lorsqu'elle revenait... Lorsqu'elle vous montre une photo.... Une photo des jours heureux. De l'enfance innocente. Mais je ne serai jamais plus celui que j'ai été, je refuse de redevenir cet être faible ! Flash Back Va, Alaric. Je ne te haïrais jamais. Pour l'amour de celui que tu as été.Perdu dans mes pensées, je n'avais pas entendu la voiture de sa mère arrive, je n'avais pas vu ce qu'il avait tracé dans le sable. La tempête c'était tue... Mes prunelles avaient reprises leur si belle couleur bleu, je me sentais vidé. Il avait chuchoté ses paroles, moi seul pouvait les entendre... Je baissai les bras, mes muscles se détendirent... -Tarek.... c'est du passé, j'ai appris à survivre. Tu ne me haïs pas.... mais moi si. Je ne peux que mépriser celui que tu es devenu.J'avais moi aussi parler doucement, et lui seul avait pu m'entendre. Je l'avais nommé par son prénom, la première fois depuis maintenant 11 ans. Je tournai les talons , remontant dans la maserati étincelante. Le cœur détruit, les muscles en compote, je fis rugir le moteur. Croissant la voiture de sa mère, je lui jetai un regard plus noir que la mort. Je les détestai les Thompson, et les haïrai toujours.... C'était dans mon sang. Ce même sang qui tachait maintenant mes fringues... Bon pour la benne ! CONARD ! |
| | | Sylvain Keiràn Ikrà
PROFIL► AVATAR : Cameron Monaghan ► VOTRE AGE : 25 ►PORTRAIT : ► CIITATION : Never let them see you weak ► CREDIT : Me, tumblr ► ARRIVÉ LE : 04/04/2012
| Sujet: Re: RDV avec la belle Kathleen. TU FOUT QUOI LA !? [Tarek] Ven 1 Juin - 12:39 | |
| -Tarek.... c'est du passé, j'ai appris à survivre. Tu ne me haïs pas.... mais moi si. Je ne peux que mépriser celui que tu es devenu.
Alaric s'est calmé. Je l'entends partir, se détendre un petit peu. Ses mots, il y a longtemps que je m'étais résigné à ne pas les entendre. L'entendre de sa bouche. Je veux bien qu'il me haïsse, mais seulement s'il me hais en sachant qui il hait. Ciaran m'agace déjà, à me soigner intensivement. Elle est adorable, certes, mais... Un peu trop protectrice. Et une gamine de 11 piges qui couve son frère de 17, ça fait un peu con, quand même.
Je sais...
Je repense à tout ce qu'on a partagé pendant trois ans. On était naïfs, jeunes, et on vivait dans un monde d'innocence. L'enfance, des fois on voudrait y rester pour toujours - ou dans mon cas, y retourner. Désormais, c'est chacun pour soi. Mais avec le souvenir de l'autre. Et au fond, je suis sûr qu'il apprécie toujours le souvenir de celui que j'étais. La haine entre Mathieu et moi, c'est comme de l'amitié. Si je n'étais plus là, il perdrait son jouet préféré. Et si lui n'étais plus là, je me sentirais perdu. Lui et moi nous nous ressemblons sur certains points. Oh, très peu. Mais il y en a. Je pousse la main de ma petite soeur, et je prends la direction des écuries. Si je ne monte pas, je vais devenir dingue. En plus, demain, je doit retourner à l'Empty House.... Ils disent qu'ils veulent me voir. Réajuster mon dossier médical, je crois. Me rendre un peu plus cinglé aux yeux des profs, à mon avis. Ils doivent se dire que je suis trop taré pour ne compter que les faits que je sois -soit disant- déviant, instable et fragile psychologiquement.... Ça craint. Sérieux. Une fois sur mon cheval -que je ne pas pris la peine de bridé, perte de temps- je prends la direction du petit bois qui ramène à la ville. La Maserati de l'autre coureur de jupons s'éloigne à une vitesse phénoménale, décidément. C'est clair, cette semaine au moins, je ne vais pas au lycée ! Veux pas mourir moi... Pas maintenant. Mon portable sonne brusquement, effrayant Emperor qui file à travers les branches pour rentrer à la maison. Mehdi. Qu'il aille se faire foutre. A partir d'aujourd'hui, c'est chacun pour soi. Je suivrai mon chemin par mes propres moyens.
RP terminé.
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