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 Amarok Ragna, hatred from a father fills yours

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Anonymous
Invité


PROFIL
RPG

Amarok Ragna, hatred from a father fills yours Empty
MessageSujet: Amarok Ragna, hatred from a father fills yours   Amarok Ragna, hatred from a father fills yours EmptyDim 22 Avr - 19:45



amarok l. ragna
"L'or véritable ne craint pas le feu"


Nom Ludtyvien ou terrien ∞ Rorkin Laikan V'armaarch't, Le Loup du Désert ; âge, lieu de naissance ∞ Bretagne, en 543 après J-C;  statut civil ∞ Marié ; race ∞ Démon ; métier ∞ Guide des montagnes interdites du feu, contrebandier ; orientation sexuelle ∞ Bisexuel ; élément ∞ Le feu, ses flammes ayant la particularité d'être noires ;  Signe particulier ∞ Une cicatrice à chaque poignet, souvenirs de ses fers ; crédit ∞ Ça dépend ;  célébrité ∞ Booboo Stewart ;


Caractère
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Un caractère étrange. Amarok à d'abord grandi avec sa mère, humaine, une douce tisserande gauloise qui lui apprenait à chanter et faire des compositions de felurs, et à reconnaitre les plantes qui soignent. Doux, paisible, il n'avait rien du fils qu'espérait son père. Rien d'un démon. Il grandi cependant dans la haine. Les autres habitants du village le craignaient. Mais il est devenu un jeune garçon manipulateur, cruel dit il lui même, impartial. Il se cache derrière sa nature et joue à faire mal aux autres pour cacher ses peurs profondes. Au fond de lui, c'est un garçon terrifié et sensible. Il aime rire, faire plaisir et passer du temps avec sa famille. Il ne faut simplement pas l'énerver.


Physique
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Le physique est très important chez les démons. Même sans illusions, ils sont déjà dotés d'une beauté outrageuse. Tous mats, aux ailes assorties à leurs cheveux. Pour Amarok, il porte une tresse egyptienne serrée percée de cornes recourbées à l'arrière, et d'oreilles de lynx roux très mobiles. Ses canines effilées et creusent sont aussi venimeuses qu'un serpent cobra. Ses yeux sont vert vif, ou de braise quand la colère s'insinue dans ses veines et ses traits ressemblent à ceux d'un amérindien. Mais en temps normal, il arbore un corps à se damner, un visage rieur et un look de mannequin un peu rock. Personne ne nie l'attraction qu'il entraine quand il vous croise dans un couloir et vous lance son éternel sourire de séducteur.



You, behind your computer
prénom/pseudo ∞ 'Rek ; âge ∞ 20 ans ; Comment es-tu arrivé là ? ∞ Le goût du risque ; Que penses-tu du forum? ∞ Awesome ! ; Et le code dans tout ça ?Validé by MDJ; Un dernier truc à dire? ∞ Je t'aime Lydia ? ;


******


This is my story
"Toutes les violences ont un lendemain"



Enfance

Amarok est né dans un village paisible, au VIème siècle, soit environ cent ans avant la fin de l'Antiquité. Sa mère, Faelan, était médecin et tisserande. Bruna aux yeux turquoise, elle était la plus jolie du village. Elle se maria après avoir eu le jeune démon, séduite par Lich'ant, forgeron. Mais si le frère et les soeurs d'Amarok l'appréciaient, ce n'était pas le cas de son beau père. Il savait que le petit garçon était le fils du dit Belzébuth, Skaevt Ragna. Il le savait par sa femme, et ça ne lui plaisait pas du tout de voir ses enfants jouer avec le fils du Diable.
Après quinze ans de méfiance et de haine, il y eut un incident plus grave. Alors que le jeune esprit du feu jouait avec son frère et ses soeurs près du ruisseau qui coulait dans la prairie voisine du village, son beau père se montra et hurla à son fils ainé occupé à faire tournoyer l'enfant au dessus de lui de "Lâcher cette bête !". Enish, comme brûlé, lâcha le petit brun et, par malchance, celui ci tomba à l'eau. Il hurla, la douleur insupportable fit couler ses larmes rouges et pour la première fois, il vit de la peur dans les yeux de ses pairs et le mouvement de recul de Kàla. Il roula hors du ruisseau, implorant, mais le forgeron esquissa vers lui un mouvement menaçant et, terrifié, il prit ses jambes à son cou. Il courut jusqu'aux bois, se cogna, trébucha beaucoup. Il avait peur, il avait mal et alors qu'il reprenait un peu ses esprits, un orage éclata. La pluie commença à tomber à grosses gouttes, brûlant sa peau sèche jusqu'à l'os. Après avoir trouvé refuge dans une cavité rocheuse, il réalisa qu'il ignorait comment il avait réussi à marcher et que ses épaules étaient à vif. La pluie l'avait presque tué. Il frissonna, et serra ses bras autour de ses genoux, ses cheveux trempés gouttant sur le sol de granit. Dehors, un éclair pourfendit le ciel dans un bruit de roche qui explose, et le garçon sursauta. Il se tapi un peu plus dans l'ombre, et attendit.
Le lendemain, à son réveil, l'eau qui avait dégouliné tout au long de la nuit du haut des nuages s'était enfuie. Il s'étira, constata avec surprise la guérison de ses blessures et risqua son nez dehors. La nature avait des couleurs éclatantes, lavée par la tempête de la nuit passée. Ravi, Amarok décida de rentrer. Mais au bout de quelques heures, il du se rendre à l'évidence... Il s'était perdu. Et l'absence de toutes odeur dans l'air prouvait que dans sa fuite, il s'était éloigné considérablement du village. Il chercha des jours entiers. Puis se résigna. Il apprit à chasser, allumer un feu grâce à sa magie, mais l'eau resta son cauchemar. Un soir, la pluie tomba si fort qu'à l'abri dans sa grotte, il remarqua qu'elle perçait dans les fentes. Le tonnerre roulait furieusement dehors, et il entendait les hiboux et les loups. Loin, très loin, un chien aboyait férocement. C'était une nuit sombre, très sombre, et la foudre et le vent faisaient craquer les arbres. Un coup de tonnerre plus fort que les autres fit bondir le démon au dehors, dans la lumière d'un éclair. Et alors qu'il était prit au piège comme un lapin dans des phares, il lui sembla voir un homme, tout près, qui le fixait. Il y eut un autre craquement dans le ciel, et il détala. Les branches des arbres lui donnaient l'impression d'être des bras décharnés qui essayaient de l'attraper. Et finalement, à force de courir, il déboula dans un champ de blé écrasé par l'eau et face à un village, un village qu'il connaissait bien, qu'il avait quitté vingt ans plus tôt. Bouche bée, grelottant, il plissa les yeux et s'avança vers les maisons illuminées par les feux de cheminées. Il s'approcha de sa maison, et entendit le feu craquer à l'intérieur. Et le silence. Il n'en fallait pas plus pour qu'il comprenne que quelque chose se passait. Et alors qu'il tendait la main vers la porte, un craquement capta son attention. Il se retourna d'un bond, sa longue tresse détrempée claquant sur sa peau, et identifia l'ombre inconnue aperçue dans les bois. L'homme s'extirpa de l'ombre, un air sévère sur le visage, et le toisa, ses bras musculeux croisés sur sa poitrine.
Son corps se tend, prêt à le lancer dans une fuite.
"Q-qui êtes vous ?"
L'homme eut un sourire en coin, narquois, avant d'ouvrir la bouche.
"Mon nom est Skaevt. Ta mère a du te parler de moi.
-Oui. Vous êtes le Cornu.
-Pas seulement. Tu es mon fils, Laenan. Ta mère est morte, je l'ai prise. Et toi, tu vas venir avec moi."
Les mots secs claquent dans l'air, brusques, et cinglent le coeur du jeune démon. Choqué, il pivote, pousse violemment la porte et sa famille sursaute. Il voit sa mère étendue sur sa couche, les traditionnelles pièces posées sur ses yeux, et son regard se fait dur. Il ressent une rage profonde, incontrôlable, et avant qu'il ait pu penser des flammes s'élèvent autour de lui en un gigantesque brasier. Il entend à peine les cris de ses pairs, se rend à peine compte qu'il s'élance dans le village et que les maisons craquent sur son passage. Il plante ses crocs et sa dague dans la gorge des guerriers, déchaîné, déconnecté de sa réalité. Il lui semble que ça dure des heures, mais quand il s'arrête, le ciel n'a pas changé au dessus de sa tête. Sa folie meurtrière un peu calmée, il regarde autour, et voit les corps, les plaies et les marques enflées de sa morsure mortelle. Un autre que lui ne s'en serait pas soucié, mais lui sent comme un glaçon énorme qui descend lentement jusqu'au fond de son estomac qui se retourne. Épouvanté, il s'enfuit, mais avant d'avoir pu s'éloigner vraiment il trébuche, et l'homme qui se dit être son père s'approche de lui à grands pas, ses yeux incandescents luisants toujours dans le noir. Il attrape son bras, le relève violemment, et l'entraîne à sa suite pour "l'entrainement". Pour Amarok, c'est le début d'une longue série de supplices et de tortures.

An 947. Le jeune prince envoie son pied droit dans la mâchoire de la bête enfermée avec lui dans l'arène, et se propulse en l'air, les ailes enroulées autour de lui, pour atterrir souplement de l'autre côté du kraa furieux. Il entend les gens applaudir, crier, encourager mais il ne se bat pas pour eux. Il se bat pour vivre, pour prouver qu'il n'est pas aussi faible que ce que pensent les gens. Ces gens, Amarok ne les aime pas. Il voit du coin de l’œil que son cousin lui fait un petit signe de V avec ses doigts, et répond d'un micro sourire. Il n'a pas le temps pour ça, là tout de suite. L'animal pivote, fou de rage et de douleur, et l'enfant bondit, souple comme un chat. Il se réceptionne sur la tête du monstre, et enfonce ses deux mains dans les yeux pleins de haine. Il y a une clameur stupéfaite qui monte un instant dans l'assistance, puis se meurt, et Satan déclare son fils vainqueur. Ensanglanté, choqué, il se laisse entrainer hors de l'arène et se blotti contre le corps puissant du jeune démon qui suit partout son cousin Kaèr. Il sait qu'avec eux, il est en sécurité.
Erreya a mal. Et peur aussi. Amarok, en face de lui, lutte contre les hommes de son père qui le maintiennent face au jeune prisonnier. Erreya regarde les chaines attachées à ses poignets, étirant ses bras de chaque côté de lui, vers le plafond immense. Ses cheveux blonds et ses yeux bleus tranchent sur son teint mat encore que bien trop pâle pour un démon. Il pleure. Fils d'un diable et d'une mage des glaces, aberration d'hybride, il fixe son regard pur sur le prince et baisse la tête. Ils l'ont attaché aussi, et il ne veut pas voir son ami être ainsi ravagé et humilié. Les minutes s'étirent, et puis le calvaire d'Amarok cesse. Erreya relève la tête, sent une paume ferme saisir ses cheveux dans son poing, et sa respiration meurt dans sa poitrine. Il n'a pas le temps de voir venir la lame qui cisaille proprement sa gorge, il est déjà mort. Le prince hurle. Il se débat, il jure, et ses yeux verts pleurent de sang. Il déteste cet endroit.
"Tu vas passer la nuit là mon fils. Et lui aussi. Regarde le bien. Regardes ce que tu lui as fait, à vouloir désobéir à mes recommandations. J'espère qu'à l'avenir, tu n'emmènera plus les autres avec toi, dehors."
Le prince baisse la tête, les dents serrées. La nuit va être longue.

"Hey, 'marok. Lèves toi petit. Debout. Voilà, là, c'est bien, tout va bien petite chose. Je vais te soigner. Viens avec moi. Quoi ? Mal à ton aile ? Je vais regarder ça. Ha, ha, ne t'en fais pas, je ne te ferais aucun mal. Non petite chose, je ne suis pas envoyé par ton père. Allez, laisse toi faire. C'est bien. Et maintenant dors, petite chose. Il faut que tu récupères.
Amarok ouvrit péniblement les yeux. Il plissa les paupières, étourdi, surpris de ne pas reconnaitre sa chambre. Il examine la décoration de la pièce, la chaleur qui s'en dégage, et une odeur arrive à ses narines. Ses oreilles frémissent. Ça sent le petit déjeuner. Il se redresse dans le lit au moment où son cousin entre dans la pièce, tout sourire, un plateau fumant dans les mains.
"Tu es réveillé. C'est bien, je suis soulagé petite chose.
-Je dors depuis longtemps ?
-Presque neuf jours. Ton père ne veux pas te voir de l'année, ça c'est la bonne nouvelle."
Le prince sourit. Oui, ça c'est une bonne nouvelle.
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Maitre du jeu

Gaïa
Gaïa


PROFIL►PORTRAIT : Amarok Ragna, hatred from a father fills yours 12040506185255159
► ARRIVÉ LE : 31/03/2012
RPG

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MessageSujet: Re: Amarok Ragna, hatred from a father fills yours   Amarok Ragna, hatred from a father fills yours EmptyMar 24 Avr - 12:49

Présentation validée Amarok, bon rp parmi nous Wink
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