Je cherchai Lydia des yeux. Elle devait surement être là, j’en étais sur. Cette soirée organisée par Haley Gerzen, une cheerleader, belle et populaire que je m’étais tapé un bon nombre de fois, contait tout les populaires de SRHS. Ma belle petite amie devait être là, et je voulais vraiment m’expliquer avec elle. Depuis la fête chez moi, elle ne m’avait plus adressé la parole. Je ne sais comment elle l’avait sut, mais elle avait apprit que je m’étais exiler avec Kathleen Thompson et n’arrivait pas à me pardonner. Bref, j’en avais marre, et surtout j’avais envie de la sauter. Oui, oui, je sais, vulgaire en plus mais question cul, aucunes filles n’arrivaient à sa cheville. Ok, Nicky était forte au pieu, mais Lydia était encore meilleure. Et j’en avais marre de ne plus pouvoir profiter de l’expérience de ma petite amie officielle.
La maison d’Haley était vraiment belle. Grande villa, je pouvais me balader en short de piscine puisque la jolie blonde possédait une immense piscine. Et donc les autres jolies damoiselles pouvaient profiter de mon torse d’athlète. Je poussai un profond soupir et m’assis au bar en attendant que les filles se mettent à danser. La musique de Projet X les fit arriver. Enfin. Lydia était à leur tête. Très bien ! Je me levai brusquement et pris violement son bras. Elle poussa un petit cri surprit avant de me suivre. Je la menai jusqu’à une chambre où nous serions tranquille et plantant mes prunelles assombries dans les siennes je lui demandai durement :

-Bon Lydia explique moi franchement c’est quoi ton problème non de dieu ! J’ai rien fais pour mériter un tel traitement !

Je la regardai fixement, ne pouvant m’empêcher de la détailler de haut en bas. Elle était tellement splendide dans sa tenue bleu nuit. Et en plus de tout cela, sa robe était extrêmement courte. Vraiment courte. Absolument superbe. Pourtant je croisai mes bras sur ma poitrine, ce qui eu pour effet de bander mes muscles. Non mais c’est pas vrai. Mes splendides yeux bleus se plongèrent dans ceux tout aussi splendide de celle qui est sensé être ma petite amie.

Haley (une de mes cheerios, pas l'autre débille de New Yorkaise) avait organisé une soirée chez elle, et bien sur j’étais présente. Vous croyez quoi. Une soirée de populaire, ce n’était pas comme la soirée chez Mathieu où il y avait tout les losers de se putain de lycée. Mathieu je te déteste ! Je fis rapidement le tour des magasins, je n’allais pas prendre une robe sur mesure pour cette simple soirée. Je fouinai un peu partout, avant d’arriver chez Versace. Nikel, j’étais fière de moi, pas mal ce magasin et je connaissais la créatrice pour être en photo avec elle sur mon Twiter. Oui, j’ai un Twiter, bien normal quand on va être célèbre et que l’on commence. Je pris une robe bleu nuit, plus courte que la normal. Mmmh, parfait. Pendant que je l’essayai, le vendeur me jeta une œillade intéressé. Je lui fis un immense sourire et me pencha légèrement devant le miroir pour voir si le décolleter était vraiment magnifique, tout comme sa propriétaire. J’étais vraiment fière de mon physique. Merci mes parents, c’est vraiment sympa de votre part de m’avoir fait si magnifique. A coté de moi, ma sœur faisait presque pitié. Elle était guerrière et sanguinaire alors que j’étais sexy et pulpeuse. Comme je suis fière de moi ! Lydia arrête, tes chevilles font enfler et tu pourras plus mettre ses magnifiques chaussures que tu aimes tant. Tient, en parlant de chaussure, il m’en fallait une nouvelle paire. Manolo. Pas mal. Je fonçai dans ce magasin. Wahou, je n’allais pas porter un seul objet de chez Prada. Pas normal. On prendra donc une pochette en cuir de cette marque pour assortir. Voilà, cette fois j’étais vraiment parfaite. Un petit pchit de Parisienne et j’étais la reine.
La musique de Projet X me fit sauter sur le dancefloor. J’étais fière de moi mais pourtant une main me stoppa. Non mais c’est pas vrai ! Mathieu planta ses splendides prunelles bleus dans les miennes avant de me tirer par le bras Je poussai un petit cri pitoyable avant de lui emboiter le pas par obligation. Il avait de la force ce con ! Il me mena jusqu’à une chambre, il foulait quoi, me violer ! Abrutit !

-Bon Lydia explique moi franchement c’est quoi ton problème non de dieu ! J’ai rien fais pour mériter un tel traitement !

Il me regardait de haut en bas, et croisa ses bras sur son torse nu. Je n’y crois pas. Il se baladait en short de piscine. Je levai les yeux au ciel avant de soupirer bruyamment. C’est quoi mon problème ? Mais c’est toi mon problème connard ! Je m’éloignai légèrement de lui, histoire d’éviter ses splendides yeux, il me faisait fondre alors j’évitai son regard.

-T’as rien fait ! Mais tu crois quoi espèce de crétin ! T’as foutu enceinte la fille Thompson, de un t’as couché avec elle et de deux tu l’as foutu en cloque. Sa t’arrive jamais de réfléchir ! Tu l’as préféré à moi !

Je laissai parler ma jalousie. Oui je sais, je fais pitié mais là, j’avais vraiment la haine ! Quel espèce de con ! Va troncher ta Thompson et laisse moi en paix non de dieu ! J’avais vraiment vraiment la rage contre lui. J’ai ma fierté, on ne me compare pas à elle. Cette rouquine m’avait volé mon mec, elle était une loseuse, une vrai maintenant ! Alors que lui était un véritable populaire, un mec digne de moi et non d’elle. Je le regardai durement, rejetai ma longue chevelure blonde derrière mes épaules avant de croiser les bras à mon tour, une moue s’affichant sur mon visage parfait.

-T’as rien fait ! Mais tu crois quoi espèce de crétin ! T’as foutu enceinte la fille Thompson, de un t’as couché avec elle et de deux tu l’as foutu en cloque. Sa t’arrive jamais de réfléchir ! Tu l’as préfère à moi !

Putain Lydia, ne me parle pas de Thompson ! Je ne veux plus jamais entre parler de cette famille de fondateur, ils me dépriment tous autant qu’ils sont ! Dire que j’ai quand même couché avec deux de leur membres, dont un qui est un mec et cela me rend fou. Mais donne des envies de meurtres que je sais ne jamais mener à bout, malheureusement si vous voulez mon avis. Mais je les ai aussi fait souffrir, la honte pour la Thompson d’être enceinte de moi et la douleur pour lui. En tout cas, j’allais devoir prévenir ma famille que j’allais être père de jumeaux… J’allais me faire niquer pars mon père, je doute que j’allais le mettre au courant lui. Et encore heureux. Quoi que, il allait beaucoup crier mais ne lèverai jamais plus la main sur moi. J’étais maintenant suffisamment grand et fort pour lui foutre la pater de sa vie s’il essayai de me frapper. Merci les salles de muscul. En tout cas, tout le monde n’avait pas les mêmes pensées que mon géniteur. Ma mère allait sauter au plafond de joie lorsque je lui apprendre la « bonne » nouvelle. Des jumeaux, et surtout un petit garçon à qui transmettre le collier pour ses 10 ans. La bonne blague ! Jamais un Thompson même à moitié Alaric ne toucherai à ce médaillon.
Mes prunelles étaient plantées sur Lydia, elle s’éloigna de moi et je ne comprenais pas. C’était quoi qui motivait sa jalousie ! Elle n’a jamais été jalouse auparavant, même lorsque je m’étais tapée une populaire moche. Mais là que je foutais enceinte Kathleen, elle petait un câble et faisait la gueule. Mais n’importe quoi ! Bon ok, je ne m’énervai pas contre elle mais je n’en étais pas loin. Je n’aimai pas quand elle se mettait en colère contre moi, je n’avais plus le droit de la toucher après ! Et la petite moue qui était apparu sur son visage était vraiment craquante, faisant ressortir une petite fossette juste au dessus de la bouche. Je soupirai à mon tour avant de lui répondre :

-Lydia, Kathleen est une belle gosse, j’ai quand même le droit de coucher avec elle ! Et ne t’inquiète pas, je te préfère quinze fois à elle. Et tu le sais ma belle, je te suivrai n’importe où.

Je lui fis un sourire et la prit dans mes bras avant de lui voler un baiser. Mauvaise idée… Elle avait extrêmement mal réagit. Son couteau sous ma gorge était aiguisé au possible et son visage était terriblement dangereux. Elle faisait flipper oh my gosh. Heureusement pour moi, j’avais suffisamment de force pour la métriser en un tour de main, Lydia n’était qu’une fille et je connaissais parfaitement bien son corps, je savais qu’elle n’était pas aussi musclé que Kate.

-Lydia, Kathleen est une belle gosse, j’ai quand même le droit de coucher avec elle ! Et ne t’inquiète pas, je te préfère quinze fois à elle. Et tu le sais ma belle, je te suivrai n’importe où.

Il me sourit avant de me prendre dans ses bras et de m’embrasser. Il croyait quoi ! Je sortis mon couteau à une vitesse cent pour cent elfique et lui planta sous le cou, une petite larme de sang coula sur la lame jusqu’au manche. Mes prunelles dures étaient plantées dans les siennes, mon visage beaucoup moins craquant que tout à l’heure brillait d’un éclat dur. Je savais ce qui se tramait dans la petite tête de mon bel petit ami, je n’étais pas une maitresse de l’esprit pour rien. Il pensait pouvoir me contrôler mais il ne connaissait pas ma véritable force. Il vivait dans une illusion, personne sur Terre ne savait que j’étais musclée, bel et bien. Un entrainement intensif, offert à toute la famille royale. Les elfes étant une race puissante mais splendide, nos muscles ne sont pas de la gonflette. Des muscles de danseuse, fins et pourtant puissants. Félin…

-Ne refait jamais cela sans autorisation Mathieu, tu ne sais pas à quel point je suis beaucoup plus dangereuse que ce que tu crois.

Je le lâchai, et il se massa douloureusement le cou. Et oui mon chéri, il faut se méfier de moi. Mais en le voyant ainsi devant moi, je ne pus m’empêcher de le comparer à Amarok. Il avait cette beauté royale et tellement terrienne, contrairement à mon bel amant. Ses magnifiques yeux bleus étaient plantés sur moi, glacé d’effrois. Il passa sa main dans sa chevelure blonde, la décoiffant encore plus qu’elle ne l’était déjà. Ce simple geste eu pour effet de gonfler son biceps droit, et je poussai un profond soupir. Cette merveille vivante était à moi, et pour que je disse cela, c’est que Mathieu était vraiment beau. J’avais été élevée chez les elfes, la race la plus belle de l’univers. J’avais donc des goûts de luxe question mec, je ne couchai pas avec les moches. Il y avait déjà un près classement, s’ils étaient populaires ou non. Et ensuite, leurs têtes d’anges ou non. En fonction de cela, ils avaient le droit de toucher à mon physique de reine ou d’aller se faire voir. Et Mathieu n’était pas le roi du lycée pour rien, il était d’une beauté exceptionnelle, populaire et gueule d’ange. Il avait tout pour me faire fondre, c’était l’ « homme de mes rêves ». Ca c’est pour les gens romantiques. Mais je dois avouer qu’il ne me laissait pas indifférente, je ne l’avais pas choisit au hasard en 5ème.
Je le regardai toujours aussi froidement mais au final mes prunelles se firent moins dures. Je ne pouvais vraiment rien faire contre lui. Il était bien trop beau. Bon ok, Lydia ferme ta gueule. C’est bon, c’est juste une petite histoire de coucherie, arrête de faire la dingue. Très bien.

-Très bien Mathieu, on va oublier ça, mais ne me refait plus jamais un coup comme ça ok ?!

Je lâchai mon arme et elle tomba bruyamment à mes pieds. On va pas faire ça en douceur. Je pris entre mes doigts la fermeture de ma robe et elle tomba à mes pieds. Je n’avais pas de soutient gorge, je me retrouvais donc en string devant mon petit ami. Quittant le tissu qui était tombé à mes pieds d’un simple mouvement de talon, je le regardai fixement… Je sais ce que tu vas faire, tu es bien trop facilement manipulable chéri.

-Ne refait jamais cela sans autorisation Mathieu, tu ne sais pas à quel point je suis beaucoup plus dangereuse que ce que tu crois

Je m’éloignai rapidement d’elle, et posa mes mains sur mon cou. Du sang coulait. Aih ! Ca fait mal non de dieu ! Elle me regardait froidement, je savais que je devais me méfier mais je louchai dans son décolleter comme à mon habitude. Elle était bien trop sexy cette petite garce. Et bien dangereuse. Elle n’est pas la reine de Milwaukee pour rien. Elle est terrible et pourtant si belle. Son corps me fait de l’œil, pendant que je la vois plongée dans ses pensées. Impressionnant… Rien de sa réflexion mentale ne s’affiche sur son visage, lequel reste étroitement fermé. Raaah ! D’un seul coup, elle me regarde, plantant ses prunelles glaciales dans les miennes. Je tente un sourire, histoire de me faire « pardonner » et lorsqu’elle ouvre la bouche pour ajouter quelque chose je crains le pire :

-Très bien Mathieu, on va oublier ça, mais ne me refait plus jamais un coup comme ça ok ?!

Oh putain, génial ! Elle pardonne vite, elle n’est pas rancunière et temps mieux. Comment fêter notre réconciliation ma chérie ? Je crois qu’elle a comprit toute seule, c’est bien Lydia, tu fais preuve d’intelligence pour une blonde. Elle quitte sa robe, laquelle tombe à ses pieds. Jolis sous vêtements beauté. Je m’approche d’elle, la prend dans mes bras et posse mes lèvres contre son cou. Ton corps m’avait manqué Lydia…

-Tu ne vas pas faire long feu ma chère. Il est dangereux de faire attendre la bête.

Je l’embrasse sauvagement, ça fait bien trop longtemps que je n’ai pas pu m’occuper de son cas. Sans plus un seul mot, je la fis tombé au sol et nous fîmes se que je voulais depuis un moment, super réconciliation. Je comprends très bien pourquoi tu es ma petite amie ma chère. Et je te remercie de m’avoir fait devenir celui que je suis bébé.

-Tu ne vas pas faire long feu ma chère. Il est dangereux de faire attendre la bête.

Mathieu m'embrasse, sans autre forme de procès. J'y crois pas, il est toujours aussi con ce pauvre mec ! Mais je me laisse faire, sans aucuns soucis. Oui, il m'avait manqué moi aussi ! et je vous emmerde ! Ce mec est le roi de Milwaukee, et il n'est pas le plus populaire de homme de mon bahut pour rien. J'ai tout testé, j'ai tout fait. Les mecs, les filles, les races les plus improbables, mais rien ne l'égale. Amarok lui arrive à la cheville, mais uniquement à la cheville. Un roi. Voilà tout ce qu'il est. Je n'y suis pour rien si je ne résiste pas. Mais quelles filles le pourrait ? Quelles filles peut se venter d'avoir résister à Alaric ? Personne, aussi vrai que je m'appelle Lydia.

Nous fîmes se qu'il avait envie de faire depuis qu'il m'avait mené jusqu'à cette chambre. Nus comme des vers, beau comme des dieux dans ce que la nature à fait de plus beau. Coucher sur le lit, je sentais ses mains parcourir mon corps de déesse, couvert d'une très légère particule de sueur. Nous étions tout deux des sportifs, avec l'endurance qui va en conséquent. Je lui souris, et me redressant, planta un langoureux baiser sur ses lèvre. Il m'avait manqué, je sais, je suis conne !

"-Tu sais Mathieu, c'est dur de te faire la gueule. T'as gueule d'ange me soule profondément.

J'ajoutai un magnifique sourire à mes paroles, lui prouvant que je n'étais finalement pas une causse si morte.