Le jeune garçon est sauvage, et les paroles de Luis sont comme des couteaux plantés dans mon cœur. Je sais maintenant que c’est mon propre fils, la chaire de ma chaire qui m’effraie le plus au monde. Et le visage de Luis fait se décomposer mon visage. Je ne vois même pas les lumières autour de moi, je peux même as apercevoir l’esprit en face de moi. Alors, son état, son mal aise, je ne peux même pas en jouer parce que je ne m’en rends pas contre. Je suis perdue dans ma douleur, et je sers contre moi l’inconnu qu’est l’infinie. Luis l’a perdu, je le sais, et il doit le chercher ou penser qu’il est mort depuis bien longtemps… Mon fils doit avoir quoi ? 470 ans ? J’avais 14 ans lorsqu’il est né, et guère plus lorsque les loups m’ont offerts cette cicatrice qui déchirait mon bas ventre, détruisant à jamais la lignée des rois. Maintenant que je suis morte, la puissance de Satan à fait disparaitre toute les imperfections de mon corps, et elle en faisait partit depuis bien trop longtemps.
Je vois l’esprit parler, les images disparaitre mais je ne le comprends pas. J’ai tellement mal que mon corps prend instinctivement ma forme lupine et je me roule en boule, cherchant à disparaitre sous terre, et oublier ma douleur dans le confort des animaux. Pitié, tuez moi une nouvelle fois. Je veux que mon cœur arrête de battre et enfin devenir une autre personne !