Le stade brille de lumière. Ce soir, les Roc vont gagner. Assit sur le banc de touche aux côtés de notre coatch, j'encourage mon équipe, imitant nos splendides cheerios. Il est 22 heure trente, il reste 10 minutes de jeu et les Roc mène de 15 points. Dingaan me remplace au post de quaterback jusqu'à ce que mon bras se remette en place, et donc jusqu'à demain. Je ne porte plus de plâtre grand bien m'en face, et pour une fois un immense sourire éclaire mon visage. Je suis plus beau que je ne l'ai jamais été ce soir. Mes yeux brillent, mon corps sourit et j'ai envie de fêter la victoire certaine de l'équipe. Après le match, nous nous rendons au resto avec les cheerio. Leur capitaine à bien entendu decommander, soit disant qu'elle avait besoin de sommeil. Mon cul, elle doit aller voir son Amarok. Mais ce soir, rien ne peut étancher ma bonne humeur. Même le fait que Lydia est plus belle que jamais dans son uniforme bleu et rouge. Je la hais mais je l'aime. Je suis con pas vrai ? Enfin.... Je n'ai pas la tête à ça ! Je pousse un hurlement qui retentit dans tout le stade lorsque la sonnerie de fin de match retentit, et je bondis sur la pelouse. Nous avons gagné ! Nous avons gagné !!!

Deux heures plus tard, le resto résonne de nos rires. C'est les deux coatchs qui nous ont payé ce repas pour nous féliciter, mais ils se sont depuis longtemps endormi dans leur assiette. Er c'est la débandade. Lucas se casse avec sa copine, ils vont baiser dans la voiture ses crétins. Moi, celle que je veux, enfin celle qui me veut, dois me séduire ( ce qui est plutôt dur en se moment ) et je la ramènerais chez moi. Alors mes beaux petits culs ? Laquelle d'entre vous va tenter de faire de moi le dieu de sa nuit ? Le resto brille de mille feu, la stéréo hurle dans musique dernières générations, toutes en basses et en électroniques. Allez les filles, venez draguer le bel Alaric. Je suis le prince de vos nuits mes chéries. Et Lydia n'est heureusement pas là.

Le stade est illuminé de mille feux. Nous, cheerleaders, encourageons les Rocs même si nous savons qu’ils vont gagner. Assit sur le banc de touche avec le coatch, ma future proie, Alaric. Mathieu Alaric encourage sa team. 22 heures 30 : plus que 10 minutes et les Rocs mène de 15 points. Dingaan, remplace le quaterback jusqu’à ce que son bras se remette en place. Il ne porte plus de plâtre, donc cela devrait bientôt être la fin, heureusement, se taper un mec avec un plâtre est tout sauf érotique et excitant. Oui, ce soir, j’aurais pour moi le prince de ce lycée. Le mec le plus beau que je n’ai jamais vu. Mes yeux brillent en regardant son corps, son envi et j’ai envie de faire plein de choses avec lui, là, tout de suite maintenant ! La victoire certaine de l’équipe ne me préoccupe pas du tout. Après le match, tout le monde se rend au resto. La capitaine a décidée de nous laisser libre, soit disant qu’elle avait besoin de sommeil. La place est libre, elle doit aller voir son amant, secret (ou pas). Mais ce soir, c’est décidé, rien ne arrêter ma soif de sexe, j’aurais le fils Alaric. Même, le fait que Lydia ne soit plus là m’aide, jamais je n’aurais pu approcher l’étalon en sa présence. Je la haïs cette fille, mais pour ma popularité, je me trouve obligée de l’aimer. Je suis machiavélique pas vrai ? Le dieu du lycée pousse un hurlement retentissant dans tout le stade lorsque la fin du match annonce la victoire des Rocs.

Deux heures après, le resto résonne de rire. Les deux coatchs nous ont payé ce repas pour féliciter les Rocs, mais ils se sont endormis dans leur assiette en peu de temps. Lucas se casse avec sa copine, ils vont baiser dans la voiture ces chanceux. Moi, celui que je veux, enfin, celui que toutes veulent, se laisse séduire (ce qui est plutôt dur à vivre pour moi). J’avance et vire toutes les cruches autour de lui. Ce soir, c’est la bonne, ce soir, il me ramènera chez lui. Alors mon bel étalon, soit le dieu de ma nuit ! Le resto scintille, la séréo vibre à cause de la musique dernière génération. Allez les filles, cassez vous. JE draguerai le bel Alaric.Il sera le prince de mes nuits mes cocs. Je m’ondule au rytme de la musique plus sensuelle que jamais.

« -Apollon est de sortit ! Je vais y aller par quatre chemins. Tu me plais beaucoup Lydia n’est pas là alors fait moi vibrer ! »

Un sourire pervers né sur mes lèvres. Je t’aurais Alaric, je t’aurais.

Les filles sont nombreuses à être venues se coller à moi. Elles savent bien que ce n’est pas souvent que je sors comme ça et que je vais ramener l’une d’entre elles chez moi. Elles sont nombreuses à avoir eu droit à mes faveurs, mais seules quelques chanceuses sont rentrées dans la villa des Alaric à mon bras. Bon, Lydia, c’est sur et normal. Du moins, avant qu’elle me plaque. Mais les autres… Elles sont folles de joie ce soir. Le fait que leur dieu préféré soit célibataire, cela ne fait aucun doute.

« -Apollon est de sortit ! Je vais y aller par quatre chemins. Tu me plais beaucoup Lydia n’est pas là alors fait moi vibrer ! »

Je tourne mes magnifiques prunelles lapis lazuli dans la direction de la cheerleader qui onde au rythme entrainant des basses. Je ne me souviens pas de son nom, mais je sais qu’elle est parmi nous depuis peu. Je caresse des yeux les courbes parfaites de son corps, ses longs cheveux aux teintes blond noisette oscillant entre l’or et le crème. Elle est jolie mazette. Oui, vraiment pas mal. Et elle fera parfaitement l’affaire surtout qu’elle a l’air chaude comme la braise. J’aime les filles qui prennent de l’assurance et viennent chercher les mecs. La galanterie s’est fini mes demoiselles. Maintenant, il faut vous bouger le cul. Je me levais en repoussant les filles qui était agglutinées autour de moi comme des abeilles autour d’une fleur luxueuse et la pris par la taille, collant son bassin au mien.

« - Tu me plait toi. Parle juste pas de Lydia et je te ferais gouter aux saveurs du 7ème ciel. »

Ma main glissa le long de sa cuisse jusqu’à remonter sous sa jupette ultra courte de cheerleader. Ce que j’y sentis me plus immédiatement et je l’embrassai goulument. Elle ferait largement l’affaire pour ce soir, ptete même un peu plus si elle était sage. Je claquai son cul avant de dire au revoir à mes potes sous les huées des footballeurs. Cette nuit allait être torride pour une nuit de Milwaukee.

Il tourne son magnifique regard lapis lazuli dans ma direction. Je ne me souviens pas que l’on m’ait déjà regardé comme il le fait. Il frôle des yeux les courbes parfaites de mon corps, mes longs cheveux blonds oscillant entre le paille et le platine. Et oui, Alaric, je suis pas mal. Et je suis chaude comme la braise. Je bouge le cul et ma jupette ondule sur mes cuisses. Mathieu se lève en repoussant les filles qui s’étaient agglutinées autour de lui comme des fourmis autour d’une reine et il me prend par la taille, collant son bassin au mien.

« - Tu me plait toi. Parle juste pas de Lydia et je te ferais gouter aux saveurs du 7ème ciel. »

Sa main glisse le long de ma cuisse et remonte sous ma jupette vraiment très courte de Cheerleader. Il sent rapidement que je n’ai pas de string ni rien pour cacher ma chatte de jeune femme. Cela lui a plus immédiatement et il m’embrasse goulument. Je te ferais la totale pour ce soir, ptete même un peu plus si tu le veux. Il claque mon cul avant de saluer les autres sous les huées des footballeurs. Cette nuit sera torride pour une nuit de Milwaukee. Dans sa voiture, nous nous embrassons ardemment et devant chez lui, je passe mes mains sous sa chemise et sur ses abdos avant de lui enlever et de rentrer. Je prend sa main et la mène à ma jolie chatte bien humide.

« -Regarde l’effet que tu me fais beau gosse. »

Je le mène sur le canapé et défait son jean Levis. Il est en calçons devant moi et je vois bien son excitation entre ses jambes.

Nous ne sommes pas sitôt sortit du bar qu’elle a déjà ses lèvres collées aux miennes. Et bée, elle ne perd pas une seconde. J’enclenche le moteur de la Ferrari et la fait ronfler avant de la démarrer. Puissante, souple, fine, elle a tout de la fille de mes rêves cette voiture. Je roule bien trop vite dans les rues jusqu’à l’immense villa des Alaric. Spike et Asya nous accueille à grand renfort d’aboiements mais je les fais taire d’un geste et gare la voiture dans la cour avec un crissement de pneu et un magnifique dérapage au frein à main. Oui, je sais, je ne peux m’empêcher de frimer lorsque je conduis l’une de mes voitures de sport. En plus, j’ai envie d’une ligne de coke, et je sais que le petit sachet de poudre blanche contient encore suffisamment de poudre blanche pour ma petite personne.

« -Regarde l’effet que tu me fais beau gosse. »


Cette fille est folle. Vraiment. Elle est chaude, et peut-être même un peu trop. Une véritable chienne en manque de sexe. Mes sourcils se froncent, mais je ne dis rien. Un petit rire sur les lèvres, je l’embrasse dans le cou avant de lui susurrer à l’oreille :

« -Doucement ma belle. On va monter dans ma chambre, j’ai pas forcément envie que mes parents nous surprennent sur le canap »

Enfin surtout mon père. Une gueulante entre nous deux, je ne veux pas qu’une fille y assiste. Je récupère mes fringues et la mène jusqu’à ma chambre. J’ai envie de baiser certes, mais j’ai quelques minutes devant moi quand même. Ok, je l’ai très bien sentit, elle ne se sent plus au niveau de l’entrejambe. Mais quand même. Un peu de tenu. Je pousse la porte de mon immense chambre sans n regard pour la déco, balance mes fringues par terre et la tire jusqu’au lit à baldaquin. Ouaip, c’est une chambre de prince que la mienne. Des photos partout. Lydia surtout, mais aussi Selena. Aèl, pis l’équipe de foot au complet. Un Mac trône sur le bureau en chêne blanc, un énorme écran plat avec une play dernier cri, des bouteilles d’alcool vide qui décorent le haut des armoires et encore des photos. Une splendide chambre de mec. Mais la fille devant moi est bien plus intéressante que cette chambre que je vois tout les jours. Pas de capote pour moi, j’espère qu’elle prend la pilule, je veux pas d’une nouvelle miss Thompson moi. J’ aime bien les gamins, mais déjà que l’autre attend des jumeaux, c’est bon hein.

Je l’embrasse de nouveau, brisant la barrière de ses dents. D’un même mouvement, je lui retire ses derniers vêtements et la couche sur le lit. Mes mains caressent son corps dans son intégralité avant de glisser vers son entrejambe. J’impose à mes doigts un lent mouvement de vas et vient, histoire de l’exciter d’avantage avant de passer aux choses vraiment sérieuse. C’est pas tout, mais je suis à l’étroit dans mon boxer moi.

Je l’ai refroidi, enfin, j’ai l’impression. Ses sourcils se froncent, un petit sourire aux lèvres, il m’embrasse dans le cou avant de me susurrer à l’oreille :

« -Doucement ma belle. On va monter dans ma chambre, j’ai pas forcément envie que mes parents nous surprennent sur le canap »

Enfin ! Je vais être dans la chambre à Mathieu ! Il récupère ses fringues et me mène jusqu’à sa chambre. J’ai envie de baiser donc fait vite, mais j’ai quand même quelques minutes devant moi. Ok, je vais exploser là, j’ai besoin de lui. Il pousse la porte de sa gigantesque chambre dont la déco est sublime malgré les nombreuses photos de Lydia et lui. Il balance ses fringues au sol et me tire jusqu’au lit à baldaquin. Oua, c’est une chambre de roi ! Des photos partout, sur tous les murs, des portraits de Lydia surtout, mais aussi de Selena, un brun aux yeux bleus et l’équipe de foot au complet. Un ordinateur mac trône sur un bureau en chêne blanc, un énorme écran plat avec une console de jeux vidéo, des bouteilles d’alcool vide qui décorent le haut des armoires et encore des photos. Une magnifique chambre de mec. Mais Alaric est beaucoup plus beau que cette chambre que j’ai sous les yeux. Il ne met pas de capote, mais je prend la pilule, je veux pas d’un môme moi ! Je hais les gamins, déjà que c’est chiant à tout âge, attendre un gosse au lycée, c’est niet.

Il m’embrasse de nouveau, fracturant la barrière de mes dents. D’un même mouvement, il retire mes derniers vêtements et me couche sur le lit. Ses mains caressent mon corps dans son intégralité de glisser vers mon entrejambe. Il impose à ses doigts un lent mouvement de vas et vient, histoire de m’exciter d’avantage avant de passer aux choses vraiment sérieuse. C’est pas tout, il est à l’étroit dans son boxer moi ! Je décide de le libérer et enlève son boxer. Je tiens entre les doigts le sexe tendu et dur de mon étalon. Je le masturbe lentement de haut en bas puis pose l’extrémité de ma langue sur ses bourses avant de remonter jusqu’à son gland. Tu veux que je te prenne en bouche, t’as une seule chose à faire mon bel Adonis.

Elle n’agit pas, du moins je le crois. Elle ne fait rien, détaillant ma chambre, puis se tordant sous mes caresses. Mais, alors que je ne m’y attends pas le moins du monde, elle me fait quitter mon boxer et pose ses mains sur mon sexe, déjà gonflé de sang suite à l’excitation qui est mienne. Je la regarde droit dans les yeux, perdant ma main dans ses longs cheveux blonds. Je suis désolé chérie, mais le prénom que tu risques d’entendre gémir ne sera sans doute pas le tien. Je faire des efforts mais… Je ne t’aime pas et elle si. Pourtant, je ne tentais pas de retrouver dans ses traits la magnificence de mon ex petite amie. Je ne cherchais pas à transformer les prunelles, à rendre la chevelure plus longue et claire. Je me contentais de force légèrement sur sa tête pour que mon sexe pénètre sa bouche. Je me laissai choir sur mon lit, la laissant à son occupation. Mes lèvres gémirent, ma poitrine se soulevait sous l’effet qu’elle procurait à mon entrejambe. Mon érection était presque douloureuse, mais je ne devais pas laisser le plaisir prendre le contrôle de mon être. Je lui baise la bouche, mais elle le veut bien. Je ne l’ai pas forcée, je n’ai jamais forcé une fille de ma vie. Mais, à travers les papillons qui prennent possession de mon bas ventre, le visage de Lydia m’apparaît. Je clos mon esprit, et gémis une nouvelle fois, fermant ma bouche, étouffant la moindre de mes paroles. Je ne dois rien dire, elle est cheerleader, et surtout, elle est fière. M’entendre crier le prénom de sa capitaine ne lui plaira absolument pas, et je n’ai pas pour habitude de me laisser avoir.

N’en pouvant plus, je l’arrache à mon sexe et la pénètre doucement. Elle ne devrait ressentir rien d’autre qu’un plaisir intense, surtout que je suis loin d’être mauvais au lit. Seul Aèl me dépassait. Mais bon… Il est un petit peu mort alors je n’ai pas de grands problème à m’affirmer dieu du sexe. J’ai 17 ans, et je suis un dieu. Un roi plutôt me souffle ma conscience. Mais je ne l’écoute pas. Je ne suis qu’un adolescent normal, juste plus beau et plus intelligent que la moyenne. La blonde peut s’estimer heureuse, je ne suis pas dégueulasse à regarder.

Il me regarde droit dans les yeux, perdant ses papattes dans mes longs cheveux. Il force légèrement sur ma tête pour que son sexe trouve refuge dans ma bouche. Je lui prodigue des coups de langue en insistant sur le gland, cela a pour effet de le faire tomber sur le lit, me laissant à ma préoccupation : son plaisir. Ses lèvres gémissent, sa poitrine s’élève sous l’effet que je lui procure. Son érection est gigantesque, mais j’aime ça : son goût délicieusement sucré, sa douceur et tout son être à mes côtes. Il me baisse la bouche, mais j’en veux bien plus encore. Je l’ai pour moi toute seule, pour toute la nuit, je ne compte pas m’arrêter là. Forcement, je n’ai jamais eu autant d’excitation de ma vie. Des fourmis prennent possession de tout mon corps, et je suis vraiment trop bien. Je clos mes yeux, et entend gémir une nouvelle fois Mathieu, la fellation est vraiment mon domaine de prédilection. Je ne veux qu’une chose, sa semence dans ma bouche.

N’en pouvant plus, il éloigne son sexe et continue en me pénétrant doucement. Je ressens un plaisir intense, il est loin d’être mauvais au lit. Oui Mathieu, soit mon roi pour cette nuit, mon dieu du sexe, mon Apollon, mon Adonis. J’ai 17 ans, et je suis la partenaire d’une nuit du roi Alaric. Je ne suis qu’une adolescente normale, et je me tape l’homme le plus doué au lit. Ses mouvements de vas et viens me procurent une sensation de bien être incroyable. J’embrasse l’étalon et m’agrippe à son dos. Je gémis très difficilement :

« -Oh oui, Mathieu, réalise avec moi tous tes plus grands fantasmes, fait moi mal, je veux me rappeler toute ma vie de cette nuit. »

La sueur dégouline de nos deux corps, on s’amuse déjà beaucoup alors que ce n’est que le début.

« -Oh oui, Mathieu, réalise avec moi tous tes plus grands fantasmes, fait moi mal, je veux me rappeler toute ma vie de cette nuit. »


Un grand sourire étire mes lèvres et je continue à faire ce que je fais si bien. Mais je sens au plus profond de moi que je ne peux pas. Que ce que je fais en se moment entrainera des conséquences bien plus grave que ce que je veux. Que des histoires vont emmener de cette simple relation qui me semble si banale. Désolé Kat, mais tu n’e qu’une file. Je dois te l’avouer, tu es particulièrement mignonne, mais voilà, rien de plus… Enfin…

Je laisse mes hanches tracer des mouvements plus vieux que le monde, mon visage rougir légèrement sous l’effort. Qui a dit que le sexe n’est pas du sport. Je suis navré, mais c’est bien plus que du sport. Les filles sont toujours en train de se plaindre de leur poids. Elles ont cas se laisser faire entre les mains d’un mec et je peux les assurer qu’elles maigriront. Mais non, c’est des filles, et comme d’habitude, elles vont dire que nous, les mecs, on ne pense qu’au sexe. Pitoyable. Être amoureux ne m’a pas rendu de la sorte. Ok, je dois l’avouer, je peux être un romantique parfait. Je peux même être fidèle. Mais par contre, l’amour e me rend pas con s’il vous plait quoi. Comme dirait la française, allô quoi. Enfin je m’égare. N’empêche, une question existentielle, mais toutes les françaises sont comme ça ? Parce qu’autrement et bien… Un pays de conne. Bref, Mathieu, arrête les monologues internes s’il te plait.

Je m’occupe d’elle comme il se doit, l’approchant au plus près des étoiles. Ma belle, tu n’as pas perdu ta soirée.

Mathieu effectue des vas et viens, m’emmenant aux cieux du paradis dans la seconde même. Mathieu, je fantasme sur toi depuis ma troisième et ce soir, je peux enfin t’avoir à mes côtés. Deux sensations m’envahissent : le bien être, se traduisant pas des picotements dans le bas du ventre et le stresse, traduit par une boule au ventre constante. Que se passera-t-il demain ? Certes, je l’ai eu pour moi cette nuit, mais beaucoup de filles peuvent s’en vanter. Me jettera-t-il comme une vieille chaussette ou restera-t-il avec moi un petit moment encore ? Ne vous méprenez pas, ce soir, ce n’est pas ma première fois, je l’ai déjà fait plusieurs fois mais jamais avec quelqu’un que j’aimais réellement, sincèrement. J’ai faim de lui, de son corps, ses caresses si agréables, le doux frottement de son sexe dans le mien. Mais lui parait comme… Absent, il ne peut s’empêcher de réfléchir ce qui me met plutôt mal à l’aise. Je le repousse doucement, le visage triste, tout ça ne me parait pas sincère, je vois bien que ce n’est qu’un coup d’un soir pour lui, que les sentiments qui me dépassent ne sont pas réciproques. C’est avec un air déçu que je prends la parole :

« -Je… Non Mathieu, arrête, tu vas me faire mal. Je… Je t’aime sincèrement mais ces sentiments ne sont pas réciproque, je vais souffrir si on continue et je sais que tu n’es pas ce genre de mec alors s’il te plait, prend moi juste dans tes bras, juste cette nuit et après tu n’entendras malheureusement plus parler de moi. »

Après ces mots, j’explose en sanglot, à la la, l’amour a vraiment ses raisons que la raison ignore.

Elle me semble absente, comme si elle était trop loin et que j’avais son corps entre mes mains mais que son esprit était partit loin, dans un monde que je ne peux connaitre. Elle est splendide dans la sombre clarté de la nuit, perdue dans un bonheur pur. Mais j’ai l’impression qu’elle veut plus, qu’elle veut autre chose que simplement nous deux corps qui apprennent à ce connaître dans la nuit et la chaleur.

Alors que je ne m’y attendais pas, elle me repousse, le visage grave, et elle m’en rappelle un autre que je préférerai ne jamais avoir vu de la sorte. Qu’est ce que tu… ?

« -Je… Non Mathieu, arrête, tu vas me faire mal. Je… Je t’aime sincèrement mais ces sentiments ne sont pas réciproque, je vais souffrir si on continue et je sais que tu n’es pas ce genre de mec alors s’il te plait, prend moi juste dans tes bras, juste cette nuit et après tu n’entendras malheureusement plus parler de moi. »

Non mais c’est pas vrai ! Putain pas ce soir. Je n’ai pas le temps de me faire suer avec tes putains d’état d’âme. Je veux oublier quelque chose de bien trop important et toit, t’es là, la bouche en cœur, le visage plein de larme et patati que je t’aime et patata que je veux pas souffrir. Mais j’en ai rien à foutre moi putain ! Ok, mon vieux Mathieu, tu es le dragueur le plus fort de ce bahut, tu as toujours eu les filles que tu voulais et aucune ne t’a résisté, alors c’est pas une trainée de cheerleader qui va innover non de dieu !

Je la pris dans mes bras, parfait joueur, parfait prince charmant et l’embrassai dans les cheveux. Puis, essuyant ses larmes d’un revers de la main, je lui murmurai :

« -Tu me laisse en plan la. Si tu veux réentendre parler de moi et me revoir, ça se fait pas ce que tu viens de faire. Vraiment… »

Une petite moue de chien battu avec ça et j’étais parfait. Décidément trop beau. Je peux être gentil, c’est sur. Mais avec mes proches. Elle n’en fait pas partit, et, aux yeux de tous, la rupture avec Lydia n’a rien changé à ma façon d’être avec les filles. Draguer, promettant mont et merveille. Elles y croient à chaque fois, se disant, il a mentit aux autres mais moi, il ne le fera pas. Que c’est con une meuf.

Le beau blond au corps de titan parait contrarié par ma réaction, il s’approche un peu plus de moi et m’embrassant tendrement dans les cheveux, il m’essuie les larmes que j’avais accumulées. Pour finir, il prend la parole d’une voix douce et aimante pour me rassurer.

« -Tu me laisse en plan la. Si tu veux réentendre parler de moi et me revoir, ça se fait pas ce que tu viens de faire. Vraiment… »


Putain, fait chier, pourquoi faillait-il qu’il dise ça ? Cette phrase relance mes violents sanglots. Après quelques minutes, je reprends mes esprits et dit, hésitante :

« -Je… Je suis désolée, ça doit certainement être les hormones qui me travaillent. »

Mensonge évidement mais bon, je ne peux laisser passer ma chance maintenant que j’en ai une. Je l’embrasse et reprends là où nous en étions, caressant le long de sa colonne vertébrale, j’ai remarqué qu’il aimait bien cela. Finalement nous bouches se rejoignent à nouveau et je lui offre entièrement mon corps avec un brin d’amertume. Je ne suis pas enthousiaste bizarrement mais plutôt… passive, je subis ce que fait Mathieu. Mais attention, cela ne veux pas dire que je n’aime pas les traitements de Mathieu, c’est comme une drogue pour moi.

« -Je… Je suis désolée, ça doit certainement être les hormones qui me travaillent. »

E.norme. Une vrai de vrai. Une meuf dans toute sa splendeur. Parfois, je me dis que je n’aurais jamais du approcher Lydia. Je serais resté ce connard que j’aime tant. Celui qui enchaîne les filles sans état d’âme et qui est incapable de tomber amoureux. Ca c’est la vraie vie. Et non pas l’espèce de loque qu’elle a fait de moi. Je devrais la haïr pas vrai ? Mais le pire, c’est que j’en suis absolument incapable. Putain, pourquoi je pense à elle à chaque fois que je baise ? ! Elle n’est pas le centre du monde. Juste celle du mien…. Et je suis vraiment aussi con que les meufs.

Kathaleïa est trop passive à mon goût. Et je n’aime pas les étoiles de mer. Certes, elle a trouvé un point sensible de mon anatomie, le bas de ma colonne. Mais apars ça, elle ne fait pas grand chose et franchement, ça me gave. Je récupère mon caleçon et mon paquet de cigarette avant de m’accouder au balcon de ma chambre. La vue sur le parc et l’allée de gravier blanc bordée de pin est magnifique. Et dire que j’habite ici. Des oiseaux de nuit hululent dans un arbre non loin et je laisse le vent caresser mon torse parfait. Vie de merde…

Mathieu expédie la fin de cette relation qui sera éphémère. Plus d’affection, plus de tendresse et d’amour dans ses gestes, il prend de la distance par rapport à moi. Et moi… je me sens plus mal encore, je ne fais rien quand je le vois sortir de moi, tremblant de tout son corps et me faisant une frayeur de plus. Trouvant son caleçon et son paquet de cigarette, il se lève et se pose à son balcon. Il cherche à se cacher mais je sais ce qu’il se passe véritablement dans son corps et son esprit. J’ai déjà connu ça et je ne veux aucunement le revivre.

***Flash back***

Nous sommes le 21 septembre 2010, j’ai quinze ans et mon petit copain du moment m’as proposé de venir chez lui, j’ai accepté, sachant pertinemment ce qu’il voulait. Je me suis donc préparée comme il le fallait, me faisant belle pour lui.
Le soir venu, j’allais entrer chez lui lorsqu’il me sauta dessus, tremblant et suant de tut son corps, il était violent et je flanchais sous sa force. Il ne faisait qu’hurler « T’as dla cam, dit moi que t’en as ! File là ! Bouge ! » Et moi, terrorisée, lui expliquant que non, il s’énerva et me frappa plusieurs fois de suite avant de s’enfuir difficilement. Je restais là en pleurs avant de m’enfuir et de ne plus jamais le revoir. Ce fut mon premier amour et mon dernier jusqu’à maintenant.

*******

Je regarde Mathieu et me replie sur moi, terrorisée. Pitié, que sa cirse de manque ne lui donne pas de mauvaise idée, je ne supporterai pas ce clavaire une seconde fois. Même pas pour le beau blond qui est devant mes yeux.

J’ai l’impression que mon sang bouille dans mes veines. Que mon corps entier tremble sous le manque qui déchire mon cerveau. Je connais les conneries que je suis capable de faire. Thompson me le rappelle à chaque fois que je croise son regard. Sur mon lit, Kathaleïa est couchée, perdue dans ses pensées. Elle tremble elle aussi, mais je ne peux savoir pourquoi. Et puis, je m’en fous. Franchement, la cocaïne est une merde et j’y suis totalement accro… Je m’en rappelle encore de cette première fois qui a chamboulée mon monde.

***Flash Back***
La soirée avait bien commencé et Aèl s’était je le pensais perdue avec Selena puisque ma meilleure amie avait disparu. J’étais tout seul, ma petite amie sur les genoux, écoutant les basses hurler. Déjà un peu émécher, mais très peu, juste joyeux. Et alors que je mis attendais le moins, Lydia m’embrassant dans le cou, Aèl revient vers moi, ses yeux bleus brillant et un splendide sourire sur le visage. Sans sa main se balançait un petit sachet de poudre blanche prometteur de gloire.

« -Alors Matthew ? T’es un gosse ou pas ? On va vor qui est le plus fort. »

Et armé de sa carte bleue, il trace un trait blanc. Une raie plus réellement. Et il en prend lui-même avant de me monter la table. Lydia est partie de mes genoux et la moue qu’elle fait veut tout dire. Elle est si belle qu’elle parvient à me faire hésité. Je me perds dans ses prunelles bleues vertes, et elle braque un regard glaciale sur Aèl. Mais ce dernier ose les épaules, se fichant totalement de la belle blonde à qui il a fait connaitre la vie. Je sourie à mon meilleur ami, qu’importe le regard de Lydia. J’men fous ! Tfaçon, il y en a bien d’autre des filles qui me courent après comme si j’étais le nouveau dieu d’une religion que j’aurais fondée.

******
J’ai vraiment été con. Lydia avait raison, et ce que je pouvais penser à l’époque. Je n’étais qu’un con… Un gamin stupide qui paye aujourd’hui ces erreurs.

Mathieu tremble de plus en plus et risque vraiment gros. Je suis de plus en plus mal et ma respiration se fait difficile, les larmes floutant ma vision déjà mauvaise, et bien oui, je reste une centaure donc la vue n'est pas mon fort.
Je réfléchi encore a ce première amour si dévastateur qui a détruit bien plus de mon bras droits, mon cœur, mes espoirs avenir. Comme m'avait dis ma grand mère , la solitude est la meilleure des compagnies.
Bref revenons a nos moutons. Mathieu. Je finis finalement par le regarder dans le blancs des yeux et y voit de la peur mais moi aussi j'ai peur et je n'aurai Pas la force d'affronter une nouvelle fois ce fléau qui détruit tans de gens. C'est donc finalement lentement que je me rhabille et sors de la pièce avant d'avoir gentiment envoyer un message a la personne notée dealer sur son téléphone. L'amour peut rendre fou mais pas deux fois de suite.

Perdue dans mes pensées, je reste de marbre lorsque je vois Kathaleïa, lorsque ses prunnelles embuées me sautent aux yeux. Elle ne me quitte pas du regard mais je ne peux le supporter. Je vois Selena et tout les reproches de ma meilleure amie dans les pleures de la cheerleader. Je ne peux m'empêcher de la fixer, de ne pas la lâcher de mes si belles prunnelles plongées dans les noisettes qui sont les siennes. Elle s'habille et tapotte quelques secondes dans mon iPhone immaculé. Qu'est qu'elle espère trouver ? Elle a très bien compris de quel mal je souffrais, pourquoi mes mains tremblaient. Et je pourrais la haïr pour ça. Je ne supporte pas qu'on connaisse mes faiblesses. C'est aussi une des raisons qui fait que Tarek ne peut devenir mon proche. Il sait bien trop de choses sur moi. Mon père, mes peurs et autres. Elle cherche un numéro avec dilleur ? Elle ne sait pas ce que c'est alors. Jamais je n'irais nommer Thompson de la sorte. L'un comme l'autre. Jamais Medhi n'a été appelé ainsi, enfin si, en soiree, mais autrement, il reste Thompson. Quand à l'autre.... Connard serait le véritable mot.  Je m'égare du sujet là...
Désolé Kathaleïa...

-Kat attend ! Tu... Qu'est c'qui à ? T'as vraiment pas l'air bien. J'suis désolé, vraiment. Mais... Je peux pas dire à mon coeur, lui ordonner de t'aimer. J'peux essayer, mais... Je sais pas, je me sens con là. J'suis pas prêt pour une nouvelle relation..