Only one song can burn everything you ever think, all of you knowledge. And bury Truth
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Sujet: Only one song can burn everything you ever think, all of you knowledge. And bury Truth Jeu 26 Déc - 13:00
Mes doigts roulaient sur le clavier de l'ordinateur dans un bruit dangereux. Je sentais mon coeur se serrer à mesure que les lettres formaient des mots et ses derniers des phrases. Voilà bien longtemps que je n'avais pas écris, que je n'avais pas chanté. Thought the trees, et rien d'autre depuis. Ma voix avait changé, mon coeur s'était fait bien plus dut. Je ne pensais pas qu'un jour on puisse me blesser de la sorte. Qu'une fille ait autant d'emprise sur ma personne. Je me sentais détruit, je sentais la haine contre moi-même grandir au plus profond de mon être. Les mensonges, les promesses bafouées. J'aurais tellement aimé être lui, être celui qui la rendait heureuse maintenant. Elle m'avait ôter ce doit que je m'étais offert, elle avait détruit tout ce que je croyais. Ma bague ricocha contre une touche, produisant un son étrange à mes oreilles. Si elle savait. Elle n'était pas la première à laquelle j'avais fait la plus belle des promesses. Elle n'était pas l'Unique. Ce n'était pas elle qui aurait dut devenir ma femme, Gaïa m'avait trahit lorsqu'elle avait prononcé le nom de celle qui devait devenir ma reine, celle qui serait la meilleure pour gouverner et instaurer de nouveau la paix sur Aeras.
L'air me venait aux oreilles au fut et à mesure que les mots naissaient. Pourquoi ? C'était l'unique question qui me venait à l'esprit. Pourquoi avait fait ça, pourquoi m'avoir fait ça. J'aurais pu être parfait si tu m'avais laissé ma chance. J'aurais pu être celui qu'il te fallait pour toujours. Je t'aurais traité comme une princesse, je t'aurais aimé moi. Mais tu es partie, tu m'as laissé seul avec mes souvenirs. Je ne voulais pas connaître le futur sans toi. Tu ne pouvais savoir à quel point je t'aime. Mais tu mentais tout ce temps. C'était ton démon, et personne d'autre. Et malgré ça, malgré ton putain de coeur de pierre, je ne peux t'en vouloir. Je te pardonnerai tout, toujours, tu le sais pas vrai ? Même la coke n'avait à me faire oublier ce trou béant qui avait prit l'intégralité de mon coeur. Je ne vivais plus loin de toi. Mais je le devais. J'avais un peuple à faire vivre. J'avais une femme que je devais aimer de la meilleure façon que je pouvais. En rêvant qu'elle ne tombe jamais sur cette musique. Sur cette chanson qui n'a d'autre but que de me délivrer mais n'aurait d'autres désirs que nous séparer. Où es-tu aujourd'hui ? Je suis un fantôme dans un océan, dans une pluie empoisonnée qui me coupe tout chemin, tout retour possible. Et toi, tu vis. J'entends ton rire, je vois ton putain de visage chaque fois que je ferme mes yeux. Mon lit n'est que glace sans toi dans mes bras. Tu ne comprends pas ce que je dis pas vrai ? Tu ne m'entends pas, et même si s'était le cas, tu t'en fiche. Tu m'as oublié quand je rêve de te retrouver à mes côtés. De me réveiller de cet appel qui à tout fini entre nous. De ton visage, le rire aux lèvres lorsque tu m'as fais comprendre que tu ne voulais pas de moi. De tes sourires à chaque instant, à chaque moment où j'ai voulu parler avec toi. Toutes ses année n'ont pas comptées à tes yeux ? Six ans, six longues années à t'aimer. Je voulais terminer ma vie avec toi. Je voulais être l'Unique. Mais non, tu me laisses seul dans cette chambre glaciale, vide, embuée de souvenirs. Des photos de toi qui envahissent les murs et que je n'arrive à détruire. De ton odeur sur mes fingues. De ton parfum que tu as oublié là, misérable radeau flottant dans cet océan de douleur que tu as créé, usant de tout ton art et de toute ton intelligence. Tu as vu Lydia ? Tu as réussi à faire ce que tu voulais. Tu as réussi à mes prouver la place que tu occupais dans mon coeur et qui ne pourra jamais être prise comme tu te l'est accaparée comme un trône. Et Plume dans tout ça ? Je n'avais rien à lui offrir qu'une épave dont on repart la carcasse avant de la remettre à l'eau. J'étais "l'homme parfait" mais je n'étais qu'un menteur. Je me fichais d'elle, je n'avais que faire de la jolie blonde. Jolie. Voilà le mot. Loin de la magnificence de mon ex petite amie. J'étais malade. Fou d'Amour, celui avec le grand A des films, pour une garce qui m'avait piétiné, qui m'avait utilisé et c'était débarrassé de moi comme on le fait d'un vulgaire cabot quand elle en avait terminé. Et maintenant c'était trop tard pour faire marche arrière. J'allais me marier. Jamais rendre heureuse Plume. J'allais faire d'elle ma dame Alaric. J'allais m'enterrer et faire mon coeur à jamais. C'était facile. Je l'avais toujours fait...
“Allez y. Lancez la musique.
Only one song can burn everything you ever think, all of you knowledge. And bury Truth